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Vertueuse maman

Chapitre 1

Vices cachés

Inceste
Depuis ma jeunesse, j’ai toujours vu ma mère comme la plus parfaite des femmes. Sans rire, je n’avais d’yeux que pour elle durant toute mon existence. Cette affirmation peut sembler déroutante, voire incompréhensible. Pourtant, c’est la vérité. Ma mère est une femme ayant atteint la quarantaine, c’est une grande et belle créature en pleine force de l’âge. Plus grande que la moyenne, sa taille fine et ses larges hanches de maman accomplie lui confèrent une silhouette des plus plaisantes à admirer. Sa grosse poitrine bien ferme et sa bonne paire de fesses rebondies en font une femme au corps fatal et aux courbes parfaites. De beaux cheveux bruns lui descendent jusqu’en haut des fesses tandis que de magnifiques yeux verts la font resplendir tel un joyau ; une vraie beauté. Combien de fois l’ai-je matée alors qu’elle était sous la douche ; je l’observai en train de passer du gel visqueux sur ses gros seins dodus, les malaxant délicatement pour bien les nettoyer.
Je me souviens du savon qu’elle faisait glisser entre le sillon de son énorme croupe de jument pour atteindre les endroits en profondeur et être immaculée. J’ai toujours bandé pour ma mère, mais jamais je ne me suis masturbé en la regardant. La honte et la gêne étaient trop dures à supporter. C’est anormal pour un jeune de se branler sur le corps de sa mère, et même pour un vieux. Toute notre société nous crie que c’est anormal, que c’est abject et immoral ; alors, c’est ce que j’ai cru.
Mes potes de la fac me faisaient souvent la réflexion en la voyant pour la première fois: "Woaw, elle est bonne ta mère" me faisait-on. Très vite, j’instaurai les bases en disant que le premier qui me ferait à nouveau la remarque rentrerait avec ses dents en kit, que tout de même, c’était ma mère et qu’elle méritait plus de respect que ça. La pauvre m’a élevé seule alors, elle a dû faire beaucoup de sacrifices pour moi ; y compris avec les hommes. Ils lui tournaient beaucoup autour, mais quand cette malheureuse leur révélait mon existence, ils décarraient sans tarder.
Aujourd’hui, les choses ont changé. Je suis grand, indépendant, je travaille et vis ma vie comme je l’entends. Pour ma mère aussi, les choses ont changé. Elle ne m’a plus dans les pattes dont elle doit s’occuper 24/24h, et ça lui facilite la vie. Je suis grand, mais je suis encore en dessous des 30 ans ; je suis en forme, j’ai de la vigueur et de l’énergie à revendre. Tout compte fait, je crois que, malgré les mœurs imposées, j’ai toujours gardé au fond de moi une attirance certaine pour les formes de ma mère. Quand j’habitai encore chez elle alors que j’étais en études, je me souviens de sa façon de me préparer mon petit-déjeuner, de se cambrer pour me servir mon café en prenant soin de tenir le col de sa nuisette afin d’éviter que ses gros lolos ne débordent et sortent me dire bonjour. Elle ne le savait pas, mais sous la table, c’était un véritable chapiteau dressé à ce moment. Plus d’une fois, j’ai failli exploser tout seul rien qu’en sentant sa poitrine me frotter le visage.
Aujourd’hui, c’est vendredi, ma mère m’a invité à dîner à la maison avec elle, comme au bon vieux temps. Rien ne pourrait me faire plus plaisir que cela, voir ma sublime et gaulée de mère me faire à manger comme à l’époque. Ça va être une soirée formidable ! Ce soir-là, je quitte même le boulot plus tôt ; ces stupides dossiers attendront bien lundi. Mon travail n’est qu’à quelques kilomètres de mon ancienne maison et y arriver ne prend que très peu de temps. Je passe chercher un superbe bouquet de roses rouges pétantes, une bonne bouteille de vin pour l’occasion, puis je file à la maison. J’arrive rapidement sur place. Les souvenirs me reviennent lorsque je vois cette grande demeure dans laquelle j’ai passé quasiment toute ma vie. Alors que je m’apprête à sortir de ma voiture, j’aperçois ma mère par la fenêtre de la cuisine qui donne sur notre jardin, quelques mètres à peine la séparent de la route.
Je l’observe dans sa jolie robe couleur grenat, en train de préparer le repas de ce soir. Elle s’est faite belle pour moi, pour son fils chéri. Déjà, une érection me prend sans prévenir. La simple vision de ma mère préparant le repas m’émoustille au plus haut point ; l’envie de me branler me traverse même l’esprit. Quelle autre pensée en la voyant ainsi ? Je résiste malgré moi et me décide enfin à sortir de la voiture.
Dans mon plus beau costume (pour l’occasion), mon bouquet floral dans une main et ma bouteille d’alcool dans l’autre, je sautille jusqu’à la porte d’entrée et appose mon doigt sur la sonnette. Une élégante sonnerie retentit, le genre assez bourgeois. À peine quelques secondes d’attente, puis ma mère ouvre grand la porte avant de se jeter dans mes bras comme si je revenais d’une longue période à l’étranger. Je la serre également dans mes bras, sentant ses protubérances me caresser le torse, mes mains en profitent pour se balader sur ses larges hanches, tant désireuses de peloter son cul magistralement bombé. Sa belle robe, qui s’arrête aux genoux, m’offre une vision des plus divines sur ses deux grosses mamelles cloisonnées dans un décolleté beaucoup trop serré. Ce dernier est si serré qu’il fait doubler de volume la taille de cette superbe poitrine maternelle. Sa paire de bottes en cuir lui donne un aspect de maîtresse dominatrice, pour mon plus grand plaisir.
Ma mère m’invite à entrer, toute joyeuse et guillerette. Je lui offre mes roses en l’embrassant sur la joue, elle les adore. Je la contemple en train de les enfourner dans un vase avant de le remplir d’eau. Elle se penche vers l’évier pour activer le robinet ; son cul ressort tellement dans sa robe si serrée qu’on dirait qu’il va faire se déchirer la couture. Il n’y a pas que la robe qui souffre, mon pantalon à moi aussi est mis à l’épreuve. Ma bite est si dure que chaque sensation de frottement contre le tissu la rend un peu plus apte à dégorger son flux. Impossible de rester là à mater ma coquine de mère en train de se mouvoir dans sa cuisine. La seule vue d’elle en tenue me fait l’effet d’une véritable bombe sexuelle ; je fais alors mine d’aller aux toilettes pour constater les dégâts.
Une fois seul, j’ôte ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Presque toute seule, ma bite surgit de mon vêtement comme pour s’élancer à la conquête du monde. Ma mère m’a vraiment trop excité pour que je reste comme ça. Pour la première fois, je décide de me branler réellement sur elle. Je me mets à l’imaginer nue, en train de se couder contre le plan de travail. Elle me regarde d’un air malicieux et libidineux en m’implorant de lui prendre le cul. Je l’imagine s’écartant d’elle-même les fesses pour recevoir tout mon amour. Pas besoin d’imaginer plus longtemps, je me mets à jouir comme je n’avais encore jamais joui. Je crache encore et encore, tellement qu’une bonne partie atterrit sur le mur des toilettes au lieu du papier dont je m’étais saisi. Jamais je n’avais eu un orgasme pareil ; et c’est en pensant à ma mère que je l’ai eu.
Je finis de me nettoyer quand j’entends une douce voix m’appeler d’en bas. Le repas est prêt, me dit-elle. Sans attendre, je dévale les marches séparant la salle de bain de la salle à manger. Ma mère est là, assise à la table, elle a préparé un bon plat de lentilles accompagné de saucisses de Morteau ; à croire qu’elle a lu dans mes pensées. J’espère qu’elle ne s’est doutée de rien.
— Ça a été ? me demande-t-elle.— Hein ? Euh... Oui, oui très bien, bredouillis-je.
Elle ne peut rien savoir... C’était la seule phrase que j’avais en tête.
— Tant mieux. Tu sais, c’est important de lâcher la pression de temps en temps, me dit-elle tout en me servant une assiette.— Oui oui c’est... important de... relâcher la soupape, fis-je d’un rire gêné.
Venais-je de faire une remarque tendancieuse à ma mère ? Possible. Elle m’excite tellement que je ne sais plus où j’en suis ni ce que je dis. Il faut que je me contrôle, que je me maîtrise. C’est ma mère tout de même. Comment réagira-t-elle face à ça ? Comment réagir face une telle chose ? Je n’en ai pas la moindre idée.Nous mangeons dans une ambiance familiale. Elle me demande de lui raconter mon boulot. Je suis ingénieur en aéronautique alors les gens pensent toujours qu’on a plein de choses formidables à raconter. Le problème c’est que, lorsque je me mets à en parler, les gens sont paumés en 2 minutes alors ils font juste semblant de comprendre et de s’intéresser. Mais ma mère, elle, ne semble pas perdre le fil. Elle m’écoute avec attention pendant que ses yeux me dévorent du regard. Elle s’entortille une mèche de cheveux en buvant chacune de mes paroles, ne m’interrompant que de rares fois pour que je lui précise le sens d’un terme utilisé dans mon discours.
Nous finissons le repas en mangeant des boules de glace (parfum chocolat-vanille). En regardant ma mère lécher sa cuillère pleine de crème avec gourmandise, c’est une nouvelle érection qui me prend. Voir sa petite langue venir lécher délicatement chaque parcelle de crème blanchâtre provoque en moi une éruption sexuelle. Impossible de finir mon dessert en voyant cela. Le coup de grâce vint lorsqu’une goutte de vanille froide dégoulina sur le sein droit de ma mère. Une simple goutte minuscule sur cet énorme sein déclenche toutes sortes d’images en moi, plus salaces les unes que les autres. En voyant cela, ma mère pouffe de rire, puis elle se saisit de son sein afin de le porter au niveau de sa bouche et de lécher la petite trace de spe... euh pardon... de vanille. Elle se redresse, me regarde, puis éclate de rire comme si de rien n’était.
Je ne m’en étais jamais vraiment aperçu, mais ma mère a l’air d’être une sacrée cochonne. Si se lécher le sein devant son fils ne la dérangeait pas, j’avais peur de savoir ce qu’elle faisait au lit avec des inconnus. Je l’aide à débarrasser la table comme un bon fils attentionné. En fait, c’est surtout pour bigler un coup sur ses courbes finement délimitées par sa robe aux finitions étroites. Mes yeux ne peuvent se détacher de sa croupe si sensationnellement grosse et épaisse. Soudain, elle coupe l’eau de la vaisselle et pose l’assiette encore sale sur le plan de travail. Elle se tourne vers moi en s’appuyant contre l’évier.
— Alors ? Toujours bandé ?
Je fus alors parcouru par une décharge le long de ma colonne vertébrale. Mes poils se hérissèrent et mon teint vira au rouge vif.
— Hein... euh... De quoi ?!— Tu as très bien entendu petit polisson. Ta bite est-elle toujours aussi dure qu’à ton arrivée ?
Alors là... Silence pesant. Depuis que je suis arrivé, ma mère a remarqué que je bandais. Sait-elle que je bandais pour elle ? Est-elle au courant depuis toujours ? La honte m’envahit pleinement. Elle vint s’asseoir sur la chaise à côté de moi.
— Tu sais mon chéri, je ne suis pas sotte. Je sais pourquoi tu n’es sorti avec personne auparavant, me dit-elle d’une voix suave.— Mais... Enfin maman... Qu’est-ce que tu racontes ?— Sache qu’une femme ressent ce genre de chose. Elle voit bien quand un homme a du désir pour elle. Même s’il s’agit de son fils.— Je ne sais pas quoi dire... C’est si embarrassant... Je crois que je vais y aller...— Non attend ! Ne te braque pas ainsi. Je pense qu’il faut qu’on en parle... Tu ne veux pas savoir ce qu’en pense ta mère ? Ta sexy et bandante de mère ?— Maman !— Nous avons certaines choses à nous dire mon fils...
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