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Vacances en camping-car

Chapitre 8

Inceste
Marion est allongée sur le dos, toujours nue, et éclairée par un léger halo de lumière qui émane du lanterneau. Son visage est légèrement ruisselant de sueur, et elle me regarde en souriant.
— Alors, il t’a plu ce petit spectacle ? Me demande-t-elle.— Oh que oui, tu m’as bien allumé, espèce de petite salope ! — Mais dis donc, t’es vulgaire quand t’es excité ?— Ouais, ça te plaît ?— Ca me déplaît pas !— Tant mieux, et tu sais quoi ?— Non ?— Je vais te baiser, ici même, dans cette capucine !— Intéressant ! On a combien de temps devant nous ?— Environs deux heures, et ce sera amplement suffisant pour te mettre une cartouche !
Je me jette aussitôt sur elle pour l’embrasser fougueusement. Je commence par sa bouche, puis son cou, puis sa poitrine, et enfin, je descends jusqu’à son sexe humide que je dévore intégralement. Je sens aussitôt Marion se cambrer de plaisir et, quand je lui écarte les lèvres pour fouiller l’intérieur avec ma langue, je suis obligé de lui tenir les jambes avec mon bras libre pour qu’elle arrête de bouger.Je continue donc de lui bouffer le sexe pendant quelques minutes puis, je remonte jusqu’à sa bouche et l’embrasse à nouveau.
— A mon tour, dit-elle.— Oh que non !
Je l’empêche aussitôt de se redresser et continue de l’embrasser.
— Tu veux pas que je m’occupe de toi ? Finit-elle par me demander.— Oh que non ! Tu es à ma merci, aujourd’hui...— Tiens, et en quel honneur ?— Tu m’as provoqué en te branlant devant moi, ma jolie, donc il faut bien que je me venge un peu, non ?
— C’est-à-dire que...
Je l’interromps en posant un doigt sur son clito que je me mets aussitôt à tripoter doucement.
— T’aimes bien quand je te fais ça ?— Oui, c’est... agr... agréable, répond-elle, haletante.— Qu’est-ce que t’aimes bien que je te fasse, encore ?— Plein... de cho... choses !— C’est-à-dire ?— Eh ben...
Elle ne peut répondre car je me mets soudainement à lui tripoter son petit bouton de chair à toute vitesse. Elle ferme aussitôt les yeux de plaisir, et se cambre à nouveau en arrière.
— Alors ? Réponds à ma question, lui dis-je.— J’adore quand... quand tu fais... ça... et...— Tant mieux !
J’accélère encore un peu le mouvement de mon doigt, et je vois de la mouille couler de sa fente sur son duvet.
— Arrête, tu... tu vas... me faire...— Réponds à ma question et j’arrêterais, d’accord ?— D’accord... J’adore quand... quand tu me... bouffes !— C’est tout ?— Non, aussi quand, quand...
Elle se cambre à nouveau en arrière, comme pour réprimer un nouveau gémissement, puis reprend.
— J’aime quand... quand tu me bra... branles !— OK...
Aussitôt, je plante mon index et mon majeur dans la fente de Marion, avant de les remuer dans tous les sens, tout en lui malaxant le clitoris avec mon pouce. Cette fois-ci, je suis obligé de poser la paume de ma main sur sa bouche pour ne pas qu’elle fasse de bruit et, quand elle essaye de repousser mes doigts qui lui fouillent le sexe, je la laisse faire, et les ressors trempés.
— Attends...
Comme à son habitude, elle m’attrape aussitôt la main et me lèche les doigts trempés de mouille.
— C’était... si... si bon !— Pourquoi tu as voulu que j’arrête alors ?— Parce que... je veux pas jouir maintenant !— T’as bien raison...
Je me jette à nouveau sur sa bouche et l’embrasse tendrement, puis, je redescends ensuite sur sa poitrine et lui mordille doucement les tétons.
— Qu’est-ce que tu veux que je te fasse, maintenant ? Je lui demande.— Je sais pas...— T’es sûre ?
Aussitôt, mes doigts retrouvent l’entrée de son sexe et replongent dedans, avant d’entamer un va-et-vient frénétique.
— T’es sûre que tu sais pas ? Je répète.— A... arrête... s’il... s’il te plaît !— Réponds à ma question, alors !— Je veux... que... que tu me... aaah...
Je la fais taire à nouveau en posant ma main sur sa bouche puis, après avoir retiré mes doigts ruisselants de son sexe, je la laisse finir sa phrase.
— Je veux que tu me baises ! S’exclame-t-elle.— Faut pas me le dire deux fois...
Je me mets aussitôt sur le dos, baisse rapidement mon short et mon boxer que j’envoie valdinguer dans un coin, puis, je me redresse, le sexe fièrement dressé et gonflé à bloc.
— Attends, me dit-elle en me voyant me rapprocher d’elle.
Je la vois à nouveau chercher quelque chose près de son oreiller, puis elle en ressort quelques secondes après un préservatif.
— J’ai acheté ça tout à l’heure, y avait un distributeur dans les chiottes, sur l’aire d’autoroute...
Elle se charge ensuite de défaire l’emballage puis, comme si elle était une experte, elle m’enfile la capote sur le sexe.
— Voilà, c’est mieux comme ça...
Je la remercie d’un signe de tête, regarde mon sexe qui, pour la première fois, était prisonnier de cet étui de latex puis, j’embrasse à nouveau Marion.
— Je pourrais m’occuper un peu de toi remarque, avant de passer aux choses sérieuses, me propose-t-elle, avant de me mordre le lobe de l’oreille.— Non, inutile !— Monsieur est impatient ?— C’est exactement ça !— Très bien, dans ce cas-là, c’est quand tu veux, bel étalon !
Aussitôt, j’attrape mon sexe d’une main, et l’enfonce doucement dans celui de ma sœur, avant de me coucher sur elle et d’entamer des mouvements de va-et-vient. Étant donné l’exiguïté de la capucine, nous n’avons pas beaucoup de place pour mener à bien nos cochonneries, et c’est pour cela que j’opte d’abord pour cette position assez simple. Elle n’a pas l’air de déplaire à Marion, en tout cas, puisqu’elle se cambre à nouveau tout en m’enserrant de ses bras nus.
— Ça va ? Je lui demande.— Ta gueule et baise-moi !
Une fois de plus, à cause de l’étroitesse de la capucine, j’ai du mal à la pilonner comme je le voudrais, mais j’arrive tout de même à accélérer la cadence de mes coups de reins, au plus grand bonheur de Marion qui se mord la lèvre de plaisir. Elle attrape ensuite mon visage de ses deux mains et m’embrasse fougueusement pendant que je continue mes va-et-vient, ce qui rend ce baiser encore plus torride. Après quelques minutes de baise, je ressors mon sexe encapuchonné et trempé de son sexe puis je me mets sur le côté, et elle m’imite aussitôt, comprenant qu’un changement de position s’opère. Quelques secondes après, je lui martèle à nouveau l’intérieur, tout en m’agrippant à ses seins avec lesquels je joue en lui tirant les tétons. Tout en la baisant, j’en profite également pour lui embrasser le haut du dos, et je lui mordille le lobe de l’oreille, tout en pensant de temps à temps à nos parents qui doivent être loin d’imaginer ce qui se passe au-dessus de leurs têtes.J’ai l’impression qu’il fait quarante degrés dans cette capucine tant je transpire à grosses gouttes, mais cela ne me stoppe pas dans nos ébats, loin de là. Je continue donc de baiser Marion à toute cadence, et une main glisse sur son clitoris pendant que son sexe est pris d’assaut par le mien. En lui titillant son petit bouton de chair, je la sens à nouveau se cambrer en arrière. Elle prend son pied, tant mieux, et elle n’a pas encore tout vu.Après quelques minutes supplémentaires de baise, je m’arrête doucement.
— Pourquoi tu t’arrêtes ? Me demande-t-elle.— J’ai envie d’essayer autre chose...— Quoi donc ?— Mets-toi sur le ventre...
Marion m’obéit aussitôt, sans broncher. Une fois qu’elle est en position, ma bouche se dirige vers son sexe trempé que je recommence à manger goulûment puis ma langue remonte petit à petit vers son petit trou que j’avais déjà commencé à explorer lors de nos ébats dans la chambre des parents. Je commence donc à lui lécher très doucement la rondelle, et j’écarte ses fesses pour pouvoir m’y plonger davantage. Elle se laisse faire sans rechigner, tant mieux. La première fois que je m’étais attardé vers cette zone, elle n’était pas très motivée pour aller plus loin mais, aujourd’hui, j’espérais qu’elle changerait d’avis, car j’avais très envie de jouer avec son petit cul. Mon massage buccal dura encore pendant quelques minutes et, au fur et à mesure que ma langue tournoyait dans son petit trou, je sentais que sa respiration était de plus en plus haletante. Lorsque la première phalange de mon index s’inséra à l’intérieur, elle eut un petit sursaut de crispation qui commença à disparaître petit à petit, après que j’ai commencé un léger va-et-vient.
— Ça va ?— Oui...
Je continue de lui pénétrer le petit trou à l’aide de mon doigt pendant quelques secondes puis, sentant que ma bite est prête à exploser tant je suis excité par cette situation, j’ai très envie de passer à l’étape suivante.
— Tu veux qu’on essaye ?— Oui, qu’est-ce que t’attends ?— Remets-toi sur le côté...
Une fois de plus, Marion m’obéit sans broncher et, quand j’approche mon sexe de son petit trou, je la vois descendre sa main droite vers son entrejambe pour se caresser la minette. Sans plus tarder, ma bite se dirige vers son cul. Les premiers centimètres sont d’abord difficiles puis, finalement, j’ai tellement léché et doigté ce petit trou quelques minutes auparavant que mon sexe parvint à s’y glisser progressivement.
— T’as mal ? Je demande à Marion.— Un peu...— Tu veux que je me retire ?— Non, continue...
Je continue donc de rentrer mon sexe doucement dans son petit trou puis, après quelques secondes, j’entame doucement une série de va-et-vient, tout en m’agrippant à ses épaules. Je ne peux m’empêcher de constater que la sensation est différente quand je la prends par cet orifice. C’est plus petit, et beaucoup plus serré que son sexe, mais néanmoins très agréable.Quant à Marion, elle ne dit rien, mais je constate d’un rapide coup d’œil qu’elle a toujours une main qui s’active entre ses jambes. Du coup, tout en continuant de l’enculer du mieux que je le pouvais malgré l’étroitesse de la capucine, je glisse à mon tour une main vers son sexe que je mets moi aussi à tripoter, tout en accélérant légèrement la cadence de mes coups de reins. Putain, qu’est-ce que c’est bon ! Après quelques secondes, j’entends Marion pousser à nouveau des petits gémissements de plaisir. Tant mieux, cela veut dire qu’elle semble finalement prendre son pied, et c’est tant mieux. Je continue donc de m’occuper de son petit trou pendant quelques minutes puis, tout d’un coup, je sens que la purée va venir. Je me retire donc du cul de ma sœur, enlève ma capote puis, comprenant ce qui allait se passer, Marion se tourne vers moi, et sa main se pose aussitôt sur mon sexe qu’elle se met à agiter de haut en bas, tout en me regardant en souriant.
— Alors, frangin, tu vas juter ?
Je lui réponds d’un signe de tête et, aussitôt, Marion ouvre la bouche en grand, avant d’accueillir quelques secondes après de longs jets de sperme qu’elle avale sans broncher. Une fois que c’est terminé, je me couche sur le dos, essoufflé, rapidement imité par ma sœur. Après un silence de quelques secondes, c’est d’ailleurs elle qui brise la glace.
— C’était... wahou !— Ouais, comme tu dis, et je pensais pas que...— Que j’encaisserais aussi facilement ? Moi non plus, si tu veux tout savoir...
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