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Une nuit au Château

Chapitre 3

Une délicieuse revanche

SM / Fétichisme
Episode précédent: perdues sur une petite route de campagne à la recherche d’un coin pour camper, mon amie Claire et moi sommes accueillies dans un vieux Château par une femme d’une beauté troublante qui s’avérera être une Maîtresse dominatrice des plus perverses... Après nous avoir droguées et attachées nues comme des esclaves, elle nous utilisera pour divertir une assemblée d’invités masqués en m’obligeant pour commencer à fouetter et à abuser mon amie Claire. Feignant d’être droguée et de ne pas reconnaître mon amie, je vais jouer avec elle jusqu’à lui arracher un orgasme en la sodomisant avec le manche de mon fouet après lui avoir enflammé la croupe à coups de lanières... Mais mon rôle de Dominatrice ne durera qu’un temps. La Maîtresse des lieux décide d’inverser les rôles et de détacher Claire alors que ses gardiennes s’emparent de moi...
Les deux gardiennes qui me maintiennent à genoux sur le sol poussiéreux m’attachent les mains dans le dos puis me jettent sur le lit. Contre toute attente, le même sentiment de crainte mêlé de désir charnel que j’avais ressenti lorsque j’étais attachée en croix dans ma chambre s’empare de moi.
La maîtresse glisse un ordre à l’oreille d’une de ses gardiennes qui disparaît aussitôt alors que Claire, une cravache à la main, vient s’agenouiller sur les draps de velours près de moi: “Charlotte... petite garce... Comme ça tu ne me reconnais plus ?”. Elle me prend par les cheveux et tire ma tête en arrière: “Maintenant, c’est moi qui vais m’occuper de toi... et je te promets que tu vas t’en souvenir !”.
La gardienne réapparaît avec un colosse harnaché de cuir au bout d’une laisse. L’homme à l’allure de gladiateur est doté d’une musculature impressionnante et d’un sexe massif dont j’ose à peine imaginer la taille en érection.
Claire prend le commandement des opérations. Elle fait s’allonger le colosse sur le dos, puis me tire par les cheveux et me force à m’agenouiller entre ses jambes, la croupe en l’air et le visage écrasé contre son pénis. J’entends des ricanements monter dans l’assemblée alors que l’énorme boudin collant enfle contre ma joue.
Impossible de me dégager avec mes mains attachées dans le dos !
Claire relève ma tête, attrape l’énorme sexe à pleine main et l’écrase contre mes lèvres: "Avale ! Sale pute !”. N’étant pas en position de résister, j’ouvre la bouche, mais le gland est bien trop gros pour que je puisse l’enfourner... Claire me lèche alors la joue puis me susurre à oreille: “Elle est trop grosse pour ta bouche de salope ? Ce n’est pas grave ma chérie... Lèche-la bien, je sais par où la faire rentrer !”.
Pendant que je lèche docilement l’énorme gland cramoisi, Claire se met debout sur le lit et fait voler sa cravache sur ma croupe: “Maintenant, lèche-lui les couilles... Dépêche-toi sale chienne !”. Les yeux embués de larmes, je m’exécute et fais glisser ma langue de long de l’imposante colonne de chair jusque sur la peau flétrie de ses bourses.
Le colosse semble apprécier et se masturbe en silence pendant que je recouvre ses couilles de bave. Claire se place derrière moi et glisse ses doigts dans ma chatte déjà à moitié trempée. Elle explore longuement ma vulve, remonte sur mon anus, le caresse du bout des doigts puis se redresse: “Enfile-toi un doigt dans le cul !”. Sa cravache siffle dans les airs et s’abat sur ma croupe: “Allez cochonne, doigte-toi le cul !”.
Avec mes poignets attachés dans le dos, je dois me cambrer pour atteindre la raie de mes fesses... J’enfonce tant bien que mal un doigt dans la moiteur de mon cul pendant que Claire continue de me fouetter: “Tu aimes ça, hein petite cochonne... Te doigter le cul devant des inconnus...”. Je réponds d’un “Oui” chevrotant en écho aux coups de cravache qui enflamment mes lèvres, espérant ainsi mettre fin à mon supplice...
Claire laisse tomber sa cravache et s’agenouille derrière moi: “Enfile tes autres doigts, cochonne !”. Je m’exécute docilement alors qu’elle étire mon anus en écartant mes fesses des deux mains. Les invités semblent goûter à la scène et se regroupent autour du lit pour regarder. La situation est des plus humiliantes. Je suis partagée entre le sentiment de honte et l’étrange plaisir d’être dominée et utilisée comme un vulgaire objet sexuel.
Mais ce ne sont que les préliminaires. Claire me relève en tirant sur mon collier comme on le ferait pour rappeler un chien à l’ordre: “Ça ira comme ça, vilaine cochonne ! Maintenant, assieds-toi sur sa queue !”. Encouragée par ses coups de cravache, j’enjambe maladroitement le colosse et m’accroupis dos à lui tout en me demandant comment accueillir un sexe aussi monstrueux...
Impatiente, Claire maintient l’engin du colosse à la verticale et me force à descendre dessus en tirant sur mon collier. Ma croupe s’écrase sur l’énorme gland visqueux. Tous les invités se sont regroupés autour du lit et je peux voir distinctement leurs regards lubriques briller derrière leurs masques dans la lueur des torches...

Alors que je m’efforce de garder l’équilibre, le colosse encercle ma taille de ses grandes mains et me force à m’empaler sur son sexe. Je tente de résister, mais en vain... Son membre surdimensionné défonce ma croupe et étire lentement mon anus. Une bouffée de chaleur m’envahit... Tout mon corps est perlé de sueur...
Claire exulte et encourage le géant tout en caressant ses couilles: “Allez mon grand ! Défonce-lui son petit cul de salope !”. L’homme obéit sans sourciller et m’attire contre son sexe avec la force d’une machine de chantier. Mon anus se dérobe sous la pression et son énorme gland rentre dans mon cul d’un seul coup.
Je manque de m’évanouir. L’assemblée pousse un “Oooh” d’étonnement mêlé d’admiration. Même Claire reste un instant bouche bée à la vue de cet énorme sexe à moitié emprisonné entre mes fesses...
Sans doute partagé comme moi entre douleur et plaisir, le colosse relâche son étreinte et me maintient dans cette position grotesque, accroupie, embrochée au sommet de sa queue. Claire, agenouillée face à moi m’écrase et me tord les tétons tout en m’observant avec un regard pervers que je ne lui connaissais pas.
Elle quitte mes yeux, plonge sa tête entre mes cuisses, pose délicatement sa bouche sur ma vulve rougie par ses coups de cravache puis aspire mon clitoris entre ses lèvres... Je laisse échapper un soupir de plaisir... La bouche experte de Claire estompe peu à peu la douleur du Plug de chair qui palpite dans mon cul.
Je lutte pour ne pas jouir. Les invités nous regardent dans un silence quasi religieux. Le spectacle que je donne, haletante, à moitié empalée sur ce sexe monstrueux agit sur l’assemblée comme un puissant aphrodisiaque... La maîtresse des lieux a ouvert son décolleté et caresse la pointe de ses seins tout en me fixant, les yeux brillants de désir... Non loin de moi, une femme s’est accroupie aux pieds de son compagnon et le gratifie d’une fellation des plus passionnées... Juste à côté, deux hommes encerclent une belle blonde qui se laisse envahir par leurs mains avides de chair... j’aperçois même, çà et là, quelques hommes qui se masturbent discrètement tout en me dévorant des yeux...
Je n’arrive plus à résister... Une boule de chaleur explose dans mon ventre et irradie tout mon corps... Parcourue de spasmes, je jouis en silence tout en éjaculant au visage de Claire. Mes jambes vacillent, mais le colosse me tient toujours fermement embrochée au sommet de sa queue. Lui n’a pas encore joui, mais mon anus qui se contracte en saccades sur son gland le met au supplice...
L’assemblée reste silencieuse. On entend juste les gargouillis de la femme accroupie, étouffée par le sexe de son compagnon qui lui tient la tête des deux mains et déverse son sperme au fond de sa gorge... A côté, les deux comparses aux mains baladeuses se sont immobilisés pour me regarder, délaissant leur belle blonde les seins à moitié sortis de son chemisier ... Plus loin, un des hommes qui se masturbait en me regardant n’arrive plus à se retenir et éjacule “in extremis” dans son verre de champagne...
Claire s’essuie le visage du revers de la main et lèche ma cyprine sur ses doigts en m’adressant un petit sourire coquin. Elle se penche à nouveau entre mes cuisses, mais cette fois pour s’occuper du colosse... Elle commence par effleurer ses couilles du bout des doigts puis elle remonte lentement sur sa hampe qu’elle caresse comme un objet sacré. Le colosse semble apprécier et répond à ses caresses par des petits mouvements nerveux. Je commence à comprendre le jeu pervers de Claire. Elle s’amuse avec ce sexe surdéveloppé comme on jouerait aux allumettes avec un baril de poudre...
Mon orgasme m’a enlevé toutes volontés de résister. Encore un peu sonnée, je regarde mon amie fourrer sa tête entre les jambes du colosse et lui lécher les couilles tout en le masturbant. Ce dernier lutte comme un diable pour ne pas jouir, mais Claire ne semble pas vouloir en rester là... Elle glisse une main sous ses fesses musclées et stimule son anus en le masturbant de plus en plus fort...
L’effet ne se fait pas attendre. Comme dans un ultime effort pour retarder l’inévitable, le colosse se cambre sous moi et rompt le silence de la salle par un long râle bestial. Je sens son gland tressaillir et inonder mon cul d’un incroyable flot de sperme... La sensation est divine et l’instant est si intense que je suis à nouveau sur le point de jouir...
Visiblement satisfaite, Claire se redresse, pose délicatement ses mains sur mes épaules et se penche sur moi pour m’embrasser. Elle goûte à mes lèvres, les aspire, les mordille puis pénètre ma bouche de sa langue mouillée... Je ferme les yeux et me laisse emporter par un nouvel orgasme...
Alors que je m’abandonne totalement à son étreinte, Claire s’appuie de tout son poids sur mes épaules et me force à m’empaler entièrement sur le sexe du colosse... Étonnamment, l’énorme pieu de chair glisse en moi et m’envahit sans plus aucune résistance... J’en ai le souffle coupé. La sensation incroyable d’être remplie dépasse tout ce que j’avais connu ou même imaginé auparavant.
Mon orgasme redouble d’intensité et semble ne plus vouloir s’arrêter... Claire se redresse sur le lit, relève mon menton du bout des doigts et me regarde jouir avec le sourire de la victoire... Le colosse qui était resté passif jusque-là commence à remuer lentement dans son foutre tout en m’agrippant fermement par la taille. Il n’a rien perdu de son ardeur, bien au contraire. Son sexe est si gros en moi qu’il stimule jusqu’à mon point G...
Claire m’abandonne à mon sort... Elle s’accroupit juste derrière moi et écrase sa croupe sur le visage du colosse. Ce dernier semble apprécier cette douce humiliation et continue de remuer en moi en redoublant d’ardeur...
Je fais maintenant face à l’assemblée qui se presse autour du lit pour me regarder jouir. Ne prenant même plus la peine de se cacher, plusieurs hommes se masturbent sans retenue, juste devant moi. Du haut de son estrade, une jambe sur l’accoudoir de son fauteuil et la jupe à demi ouverte, la maîtresse des lieux caresse sa vulve en goûtant à chaque détail de ma sodomie...
Appuyée d’une main sur mon épaule, Claire ondule sur le visage du colosse qui me pilonne de plus en plus fort en me secouant comme un pantin. Je n’en finis plus de jouir. Ma cyprine gicle dans les airs à chaque coup de boutoir et asperge jusqu’aux invités devant moi... Tout mon corps est pris de tremblements... Mes forces m’abandonnent peu à peu et je finis par perdre connaissance...
Je n’ai plus aucun souvenir du reste de la nuit. Quand je me suis réveillée le lendemain, entièrement nue et recouverte de sperme, tout le monde avait disparu. Seule la maîtresse des lieux était là, assise près de moi sur le bord du lit, en train de m’observer dans la lumière douce des flambeaux.
Elle a décroché mon collier en me disant que mon amie et moi étions libres de partir ou de rester encore quelques jours si nous le souhaitions et, devinez quoi... J’ai repris le collier de ses mains et je l’ai remis à mon cou...
Nous sommes restées jusqu’à la fin des vacances et croyez-moi, je ne me suis jamais autant fait baiser que cet été-là. Claire s’est découvert une âme de dominatrice avec une imagination et une perversité sans limites. Pour ma part, j’ai préféré le rôle de la femme soumise, convoitée de tous, hommes et femmes, et toujours à disposition pour assouvir leurs fantasmes les plus secrets...
Je me suis aussi liée d’amitié avec le fameux colosse. Figurez-vous qu’il s’appelle Romain... Un prénom bien assorti à son allure de gladiateur ! Il m’a emmenée et m’a sodomisée dans presque toutes les pièces du château... Dans les cuisines, sur les tables en chêne encombrées des plats du soir ; dans le grand salon, sur les peaux de bêtes près du feu et même dans les anciennes salles de torture, réaménagées en lieux de plaisir et de luxure...
La maîtresse des lieux, elle, m’a initiée aux plaisirs subtils du sadomasochisme, finissant toujours par m’arracher des orgasmes d’une intensité étourdissante... mais ça, c’est une autre histoire...
Bons baisers, Charlotte.
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