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Une famille sexuellement débridée

Chapitre 5

Fils de pute...

Inceste
J’eus un mouvement de crispation mais c’était finalement plutôt agréable. Néanmoins, quand mon frère essaya d’introduire un doigt, je ruai dans les brancards. Ravager un vagin familial et brouter les couilles paternelles, passe encore. Mais là, je n’étais pas près psychologiquement, si tant est que je pourrais jamais l’être. Cela commencerait pas un doigt, puis deux et tout y passerait. Je me retrouverai avec une bite dans le cul, alors que j’étais juste en train de me pignoler sous la douche moins de 45 minutes avant. Pas de ça mon bonhomme !
Je quittai donc la scène de combats au moment ou les filles se faisaient un 69, maman voulant récupérer le meilleur de la décharge que papa avait foutu dans le cul de sa fille.
Je filai sous la douche.
J’avais dû jeter un froid car, quand j’en sortis, chacun était retourné à sa piaule, en attendant que la douche se libère.
Il se passait plein de choses dans ma tête.
Tout de même, j’avais sauté ma sœur, léché mon père et reçu mon frangin à grands coups de langue dans la raie du cul. Il s’en était fallu d’une dizaine de minutes pour que je baise ma mère en plus, si elle était arrivée plus tôt quand je bandais encore, et quelques secondes d’inattention pour que je me retrouve empapaouté par mon aîné. Je me dis même que, si j’avais été au comble de l’excitation au moment où il m’avait introduit un doigt, j’aurais capitulé sans enthousiasme mais sans résistance.
Je me mis au travail sur mon bureau pour me vider la tête et me concentrer sur autre chose. Franchement, ce que nous avions fait n’était ni très normal ni très moral. J’étais choqué mais pour autant j’avais quand même vachement aimé cette partouze impromptue.
Si la famille est très libre sur ses mœurs sexuelles, elle respecte en revanche une sorte d’étiquette assez rigide sur la vie quotidienne. Le dimanche, le déjeuner est servi à 12H45, précédé par l’apéro où nous sommes libres de nous présenter ou pas. Si nous n’en voulons pas, ça nous laisse un quart d’heure pour nous préparer.Je me présentais donc à 12 H 45 dans la salle à manger. J’étais à peine assis que mon frère, souvent dernier, arriva à son tour. Il était entièrement nu.
-  Tu vas pas manger à poil ? demanda maman.-  Ben pourquoi pas ? Au point où nous en sommes, on n’a plus rien à se cacher.... Eh, t’as vu Patou, je me suis rasé les boules. Tu vas pouvoir me sucer tout à l’heure....-  Bon, ben je crois qu’on va être obligé d’instaurer certaines règles. Dit papa, pendant que Patou prétendait qu’elle aurait d’autres chose à faire et des plus urgentes.
Il fut donc convenu que nous garderions à notre famille un aspect civilisé. On prendrait nos repas habillés à l’exception du petit-déjeuner que nous prenons en décalé. L’été, si la météo le permettait nous pourrions dîner nus dans le jardin. Et bien sûr on garderait nos ébats entre nous. Maintenant, quand l’un d’entre nous entendrait les cris d’une baise familiale dans l’une des chambres ou ailleurs, il pourrait se joindre librement.
-  Ça va être chaud, commenta Gilles. - P’pa et m’aman, vous niquez quasiment tous les jours, voire plusieurs fois par jour. Déjà qu’avant ça me foutait la gaule, mais maintenant qu’on peut participer autrement qu’en se pignolant l’oreille collée contre votre porte...j’vais souvent la pousser.-  Et puis, ajouta papa, de temps en temps, on avait l’habitude quand vous n’étiez pas la d’inviter un copain...
-  On avait pigé, dis-je.-  Et donc, maintenant, on va plus se cacher... au moins avec ceux dont on sait que ça les choquera pas de baiser en groupe avec vous.-  Y’a qui ? Demanda ma sœur.
La liste n’était pas longue mais nous réservait quelques pépites qui ne laissèrent pas de nous surprendre.
-  Ça tombe bien. Comme on n’a pas la place pour les garder coucher, faudra que tu nous dises si tu veux partager ton lit avec l’un d’entre-eux ou avec tes frères, histoire de faire de la place et de profiter de leur présence plus souvent.-  Ça me donne une idée dit Patou...-  Raconte.-  J’aimerais bien me taper tonton Bernard.
Tonton Bernard n’est en fait qu’un cousin de maman mais nous l’avons toujours appelé Tonton. Il est aussi roux qu’un écureuil, et très grand. Il fut convenu de le faire venir rapidement mais on ne lui dirait rien et Patou irait le pomper bien discrètement.
— Il y a un autre problème que je voudrais soulever, ajouta Patou.-  Lequel ?-  Ben la douche.-  Quoi la douche ?-  Si on baise à cinq il faudra attendre son tour pour se laver, moi j’aime bien me remettre en forme tout de suite.-  Ben oui.... mais comment faire autrement ?-  J’ai bien une idée, dit mon frère.-  Accouche.-  On n’a pas besoin de tout le sous-sol. On pourrait y faire un coin à partouze, avec douche collective...-  Oui, oui, pourquoi pas.... on pourrait s’y mettre tous les trois pendant les vacances les garçons. Faut du carrelage...un peu d’isolation, monter une cloison, faire un peu de plomberie... On va calculer tout ça. On doit pouvoir s’en sortir à pas trop cher.
Nous passâmes le reste du repas à deviser de l’avenir, à nous organiser, à faire des plans.
Une fois le café pris et la table débarrassée, Gilles demanda :
-  Qui me fait une petite pipe ?
Mais Patou avait décidément du travail et maman aussi. On remit donc à plus tard.
Quant à moi, j’avais décidé dépasser la soirée chez mon pote Stéphane, celui dont j’ai baisé la mère. C’était plus pratique pour nous rendre à notre stage le lendemain matin très tôt, vu Que Steph habite tout près.
Au moment de partir, je dis au revoir à mon père, à ma sœur et je cherchai mon frère et ma mère.
Ils étaient dans la buanderie; Maman était penchée sur la machine à laver à laquelle elle se cramponnait, sa culotte encore autour d’une cheville, l’autre dégagée, la jupe au sol ainsi que le chemisier et le soutif. Gilles se tenait debout derrière elle, profondément enfoncé dans sa chatte, il l’enserrait du bras droit, pendant que, de la main gauche, il était en train de lui passer un boxer sous le nez.
-  Tu sens la bonne odeur d’homme, t’aime ça hein.... et ma bite, grosse vache, tu la sens ma bite ? T’es une grosse truie qu’aime le cul... dis que t’aimes qu’on te défonce en sentant  le calbut d’un mec.-  Hem, hem, fis-je.-  Tiens vl’a Tonio ! Tu sais ce qu’elle faisait Tonio quand j’suis arrivé ?elle reniflait nos calbards. Elle en avait un sous le nez et de l’autre elle se caressait la moule. Et pas plus gênée que ça ! J’te l’ai arrangée moi cette bonne salope. Allez, garçon, viens tirer ta crampe.
Il est vrai que je m’étais mis à bander dès que je les avais vus et que mon pantalon devait désigner une certaine raideur même pour l’œil le moins observateur.
Maman ne disait rien, elle avait l’air de s’enivrer en reniflant le sous-vêtement et elle tendait sa croupe du mieux qu’elle pouvait.
-  Allez Tonio, approche ton zguègue, fourre-la !
Alors je m’approchai, hésitant puis quand je fus tout près, l’image de la bite de mon frère pilonnant le cul bombé agit comme un électrochoc. Je ne vis plus que cet accueillant fessier, ouvris ma braguette, et baissai mon jean. Mon frère s’écarta, je me plaçai  bien contre les fesses, pris ma queue pour la guider vers le trou et m’y enfonçai d’un coup. Ça glissait tout seul, c’était bon. J’avais du mal à reconnaître dans ce dos penché et cette chevelure défaite l’image de ma mère. C’est comme si je forniquais avec une abstraction, au mieux une poupée animée. Je me tapais un corps sans visage, chaud, voluptueux mais sans vouloir réaliser que c’était celui qui m’avait conçu.

-  Attrape-lui les nichons... et toi, salope, ouvre la gueule.
Maman obéit et mon frère lui enfonça le slip entre les dents. Puis, tout en se tenant la queue, il s’approcha de l’escalier, gravit quelques marches et cria :
-  P’pa ! P’apa ?
Une voix lointain lui répondit.
-  Radine, on est en train de baiser ta femme !
J’entendis un : "quoi"?
-  On est en train de sauter maman. Viens !
L’idée que mon père me voie en train d’enfiler ma mère me déplut. Je réalisai ce que j’étais en train de faire. Je lâchai donc le morceau et Gilles reprit possession des lieux à l’instant précis où mon père arrivait.
-  Putain de garce ! Elle était encore en train de sniffer nos frocs, hein ? Faut le savoir les gars, faut pas changer vos slips tous les jours. Ça lui donne trop de travail.... et puis elle préfère les trucs qui puent bien la bite. C’est sa drogue.-  T’inquiète que j’vais te les tacher moi maintenant mes slibards ! Commenta mon frère;-  Alors, elle est bonne la chatte de ta mère ?-  Putain, super. Ça c’est de la trop bonne chatte. Ça s’enfile tout seul, ça glisse sans peine...-  Bon, je suppose que tu viens pas de commencer; laisse-moi la place.
Mon père se déshabilla rapidement et prit sa femme dans le cul, sans gel.
-  J’vais lui déchirer le rectum à cette garce pour bien la punir. Allez, lâche cette machine, agrippe plutôt une de ces belles queues ma chérie.
C’était moi le plus proche. Maman pivota plaça ses mains sur mes hanches et se baissa pour avaler mon zob pendant que mon père lui détruisait le cul. Gillou s’approcha pour caresser les nichons qui pendaient vers le sol et qui tournoyaient sous l’impact des coups de tringle.
-  Ouais, ça c’est de la bonne tournante. Allez Tonio, à toi, dans la chatte ou dans le cul comme tu veux.
Je pénétrai donc ma mère, mais sans oser encore m’attaquer à sa rondelle.
-  Elle est belle sa bite, hein ma chérie ? T’aime bien la queue du fiston ? Elle te remplit bien la moule ?
Maman ne répondit que par des borborygmes, occupée qu’elle était à sucer mon frère. Celui-ci, au bout de quelques instants, me poussa pour prendre ma place.
-  Moi aussi j’vais limer son trou d’balle !
Mais Gillou la secouait tellement fort qu’elle avait du mal à sucer.Parti bien avant nous, il était proche de la fin.
-  Tiens viens te finir entre ses nichons, tu vas voir comme c’est doux. Tonio, pignole-toi fort pour prendre la suite.
Mon frère se plaqua donc contre ma mère qui serra aussi fort que possible ses deux globes mammaires autour de la colonne turgescente. Elle était à genoux et mon père, derrière elle, passant la main entre ses jambes, lui chatouillait le clitoris.
Le sperme jaillit et les jets lourds expulsés très haut retombèrent en pluie épaisse sur le visage et les seins de ma mère, ainsi que sur les tablettes de chocolat du frangin.
Je m’étais trop précipité. A peine étais-je calé dans la gorge poisseuse du foutre de mon frère que je découillai à mon tour, avec moins de violence toutefois. Ma bite était toute trempée et maman la décrassa avec rage.
Quand elle eut fini mon père se mit debout;
-  Allez ! bouffe moins bien la queue jusqu’au jus et avale tout.
Pendant ce temps là, Gilles s’essuyait avec tous les slips qu’il pouvait trouver et prétendait que j’en fasse autant.Il était tard, j’aurais déjà dû être en route, aussi je ne pris pas le temps de me doucher mais me rhabillai, et pris congé avant même de voir papa éjaculer.
Lorsque j’arrivai chez Stéphane, sa mère me fit des œillades complices et toute la soirée, dès qu’elle le pût, elle me frôla le sexe ou appuya ses seins contre moi. Elle était chaude comme un volcan de Sicile. Mais entre son mari et ses six enfants (Stéphane a effectivement cinq frères et sœurs), il fut impossible de trouver un moment d’intimité, ce qui m’arrangeait bien.
Je ne comprenais pas sa rage à vouloir faire l’amour avec moi. Certes son mari n’était plus très sexy, mais je me dis qu’avec six enfants il devait tout de même la baiser souvent.
J’étais néanmoins très gêné. Je craignais que quelqu’un s’aperçoive de son petit manège et surtout mon pote. Avant de m’endormir, je songeai qu’il faudrait impérativement que Stéphane saute maman, ainsi pourrions-nous peut-être échanger nos mères et du coup, je ne craindrais plus d ’être surpris par mon meilleur ami...
Pour avoir vu Stéphane entièrement nu dans les vestiaires de la salle de sport et pour avoir, partager avec lui quelques plans branlettes en matant du X, je savais qu’il avait de quoi satisfaire maman.
Je fantasmais donc en imaginant leur coït et, l’excitation me gagnant, je portai ma main à mon sexe  que je caressai lentement en faisant défiler mentalement tous les gars qu’il me plairait de voir s’accoupler avec ma mère... et pourquoi pas avec ma sœur.
A suivre
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