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Sylviane, pute à en devenir.

Chapitre 12

Famille recomposée.

Trash
Après s’être profondément lavées et "rhabillées", on part rejoindre ma voiture. Je les suis et elles ont toutes une drôle de démarche. Je souris en pensant les mètres de bites qu’elles ont prises. Le retour est calme, personne ne pipe mot. Arrivée en bas de l’immeuble, je les fais mettre nues et ordonne de prendre les escaliers. Je prends évidemment l’ascenseur. J’arrive le premier, j’ouvre la porte et les attends. Aurélie est la première à entrer, suivie de près par sa mère. Amandine souffle comme une vieille locomotive, elle est rouge pivoine. Je me sers une boisson énergisante, j’en propose une aux trois filles. Je m’assois dans mon fauteuil. Aurélie et sa maman sont en position d’attente, à genoux, et mains derrière la nuque. Amandine reste debout, ne sachant que faire.
— Puisque tu es nouvelle dans notre trio, qui devient quatuor, je ne te punirai donc pas. Tu n’avais pas de position chez Maîtresse Cathy ?— Si...— Tu as déjà perdu les politesses ?— Si... Monsieur.— Mets-toi en position.
Elle s’avance vers la table basse et se met à quatre pattes dessus, relève la tête, se cambre et ouvre la bouche. Ses gros seins pendent, on dirait ceux de sa génitrice. Elle a écarté les jambes, on peut voir sa chatte dégouliner. Cathy a bien fait de l’amener à l’épilation laser. Elle est lisse de partout, même les sourcils ont été remplacés par un fin tatouage. Ça lui donne un petit côté salope.
— Aurélie, j’ai faim. Fais-nous quelque chose de rapide.— Oui, Monsieur. Il reste des steaks hachés... Avec des frites ?— Très bien. Tu nous serviras à la cuisine.— Bien Monsieur, il sera fait selon vos désirs, me répond-elle en souriant.
Elle sait, après sa mère, que je lui porte une affection particulière. Je me lève et compare mère et fille. J’ai la copie conforme de la mère devant les yeux, mais une vingtaine d’années en moins. Je lui dis de me suivre dans sa chambre. Elle est étonnée de n’y trouver qu’un bureau et une chaise, son couchage étant composé du matelas recouvert d’une alèse. Je lui tends une couverture.
— Voilà, c’est ici que tu passeras le plus clair de ton temps. Le matin debout, sans bruit. Tu étudies ce que je t’ai donné la veille. Ensuite, tu t’attaqueras au ménage de ta chambre et des pièces communes. Interdiction de rentrer dans la nôtre et celle de ta sœur. Ne t’inquiète pas, Aurélie a aussi des tâches à accomplir, elle les connaît. Tu devras obéissance absolue à ta mère et à ta petite sœur. Pour l’instant, c’est tout.
Je repars vers le salon, ça sent bon la frite. Comme d’habitude, Aurélie s’est surpassée et a fait d’un simple steak haché frites, un excellent repas. Une fois rassasié, j’envoie Aurélie se coucher, il faut qu’elle se lève tôt pour faire notre marché au cours Mirabeau. Tradition oblige, elle ira nue sous son grand manteau noir. Elle me fait la bise et s’en va sans discuter.J’ai une vue imprenable sur deux fessiers presque identiques en train de faire la vaisselle. Elles font toutes les deux la même taille, ont les mêmes formes, sauf que... Amandine ne porte pas de plug anal comme sa maman. Je m’en vais en quérir un dans l’armoire des plaisirs. Je choisis un gros, pesant son poids et qui se termine par une queue de crin. De retour en cuisine, elles ont fini. Je leur dis de m’attendre au salon et en position. Sylviane me sourit.
— Maître, me dit-elle, je peux prendre la même position que ma fille.
Pas bête comme idée, je lui dis de prendre la table de la salle à manger. Une fois installées face à face, je claque les fesses de la jeune Amandine. Un souffle sort de sa bouche, mais pas de cris. Cathy a bien travaillé. Un peu de gel sur le plug et sur sa rosette, je pointe l’objet et pousse légèrement. Avec ce qu’elle a pris ce soir, il entre tout seul. Je remarque que Sylviane essaie de l’embrasser, mais Amandine tourne la tête. Une grosse claque sur ses fesses lui fait changer d’avis. Elles jouent de leur langue, la salive de mes deux grosses salopes coule sur la table.
— Allez, au lit.
Elles descendent toutes les deux et courent jusqu’à leur chambre respective. J’attache Amandine à l’aide d’une chaîne, d’un collier et d’un cadenas.
— Aurélie a la clé, elle te libérera demain matin. Bonne nuit.
Je n’attends pas sa réponse, je vais me coucher et m’endors dans les bras de ma salope préférée.
06 h 00, le réveil est des plus agréables, Sylviane s’est mise entre mes cuisses et me lèche les couilles, chose que j’adore. Je lui passe une main dans les cheveux et lui dis :
— Bonjour ma puce. Bien dormis ?— Oui, Monsieur, toujours quand je suis dans vos bras.
Je la repousse et je vais prendre une douche. Aurélie est en train de cuisiner un couscous, ça sent bon la méditerranée. Amandine est en position, plug toujours planté dans ses fesses. Je lui administre une fessée magistrale. Elle émet un petit son à peine audible.
— Tu as une tenue pour toi dans l’armoire de ta chambre, elle devrait t’aller. Allez, file.
Elle se lève et s’en va en courant. Je m’empresse de prendre Aurélie dans mes bras. Je la cajole. Elle me demande l’autorisation d’aller voir une de ses amies cet après-midi, que cela ne sera pas long. Je lui dis qu’il n’y a pas de problème, mais qu’elle devra porter la tenue que je lui choisirai. Un bisou dans le cou et je m’installe pour petit-déjeuner.
Je décide d’accompagner Aurélie au marché et d’aller voir mes commerçants habituels, sa mère étant chargée d’aller à Carrefour pour les courses du mois avec sa copine, Poéhéré, une Tahitienne. Je vais sélectionner les vêtements que devra porter Aurélie. Je choisis une courte jupette, un chemisier blanc sans manches, son blouson en cuir noir et de petites mules blanches. Je lui dis d’aller prendre une douche complète et de mettre son bijou anal. Je m’habille d’un jean et d’un polo. Je mets des espadrilles. Amandine est entravée dans sa chambre en tenue de soubrette. Ça déborde de partout.
On prend ma voiture et on arrive au parking souterrain. Je la fais marcher devant moi. De ses deux mains, elle remonte l’arrière de sa jupe afin que je puisse voir ses jolies fesses rondes et son bijou. Je ne peux retenir une claque sévère qui résonne dans tout le bâtiment.
Une fois sortie, je lui demande de faire les courses seule et de me rejoindre "chez le vieux" (cf chap 1). Je dis bonjour à Bachir, le patron, et je lui commande une bière. Il y a peu de monde, seuls les habitués sont là.
Une demi-heure plus tard, elle revient, mais pas seule. Elle est accompagnée de Damien (cf chap 6). On se salue et elle me dit qu’elle l’a trouvé au bas du cours. On repart tous les trois, direction le sex-shop où je l’avais rencontrée en ayant confié les sacs de course à Bachir. On arrive, Patrick, le patron, nous fait un accueil chaleureux. Une fois les bracelets remis, on va aux vestiaires. La queue de Damien est immense. Aurélie en a peur, pas pour longtemps. On descend d’un étage, là où il y a un petit salon fait d’une table basse, de divan en moleskine et d’un écran TV qui diffuse des bandes-annonces de films hard. Aurélie se colle à moi et regarde la queue de Damien prendre du volume.
— C’est pas plus gros que ton poignet quand tu te fist. Ça va rentrer et tu vas en jouir comme une grosse chienne. Ta mère y a déjà goutté. Elle a aimé.— La vache, ça impressionne quand même... Mais si vous me dites que ça va renter... J’en mouille déjà.— Pendant que tu seras empalée sur ce manche de pioche, attends-toi à ce que ton petit cul soit visité par des pervers, regarde...
Elle tourne la tête et s’aperçoit que l’on a été suivi par une ribambelle de mecs. Elle déglutit. Damien est au mieux de sa forme et s’allonge sur la table. Les voyeurs s’installent sur les sofas.
— T’inquiète, ma belle, ton beau papa sera le premier à te prendre, la rassure Damien, il va t’élargir en douceur. Allez, viens t’empaler.
Aurélie, obnubilée par cette bite hors norme, monte sur la table et chevauche Damien. Impatient de prendre cette belle androgyne au crâne coupé à ras, il pousse son bassin vers le sexe d’Aurélie. Au contact de sa fleur, il dit en me regardant :
— La vache, elle mouille sévère... Hummm... Elle est chaude comme la braise... Han... Oui, ma petite salope, descends...
Il la tire par les hanches et commence à remonter jusqu’à être en butée. Aurélie souffle d’extase. Les voyeurs se branlent lentement. Il y a des queues de toutes sortes, tous les modèles.Aurélie tire sur ses deux fesses, m’invitant à la mettre. Je ne suis pas un goujat, je lui casse un petit tube de lubrifiant sur son anneau plissé et lui introduis un doigt. Elle a posé sa tête sur l’épaule de Damien et sourit. Avec ce qu’elle a pris hier soir, son anus m’avale deux doigts sans problème. Je présente mon gland sur sa rosette palpitante et rentre sans forcer.
— OUH, que c’est bon ma puce... Tu as le cul aussi accueillant que celui de ta mère.
Commence alors un pilonnage en règle de deux mâles en rut. Aurélie couine, elle mord légèrement l’épaule de Damien. Il en rigole.
— Hé, doucement, sale garce...
On alterne les entrées et les sorties, mais ce qu’elle préfère, c’est de sentir nos deux queues ressortir en même temps et la reprendre plus fort encore. La petite table grince sous nos assauts. Un type vient présenter sa verge devant la bouche de ma jeune cochonne, qui, sans hésiter, entrouvre les lèvres. Le mec lui baise la bouche. Aurélie bave, a des haut-le-cœur, mais ne lâche rien. Elle doit se croire au "Marquis". Je me retire de la place et laisse une autre bite lui prendre son fondement. Il faut que j’assure ce soir, j’en aurai deux de plus à satisfaire. Je regarde le spectacle assis sur un pouf en me branlant lentement. Mon Dieu, qu’est-ce qu’elle est belle ! Une avalanche de sperme de la part des voyeurs un peu trop pressés. Au bout d’une heure de ce traitement, Damien abdique. Vu les spasmes de sa queue, il doit la remplir jusqu’au gosier. Les petits vicelards s’enculent, se sucent et jouissent du spectacle qui leur a été offert.
Damien, qui en temps normal n’est pas un gentleman, porte mon p’tit bout de femme jusqu’à la douche. Elle me regarde et me dit :
— Merci, Monsieur...
Une fois à l’appartement, je reçois un appel de leur mère. Elle est invitée au resto par sa copine et me demande l’autorisation. Évidemment, je l’autorise. Aurélie part se relaver plus en profondeur. Je vais libérer la grosse Amandine. Elle a été sage. Elle se met en position sur la table basse. Elle a toujours son plug fiché entre ses deux grosses fesses. Aurélie est revenue, elle est toute pimpante, elle m’étonne de jour en jour. Elle se retourne et me montre son bijou. Une claque résonne dans l’appartement. Elle me regarde en se pinçant les lèvres. Aurélie réchauffe son couscous. Je lui annonce que sa mère ne mangera pas avec nous. Elle s’en fout et continue ses tâches ménagères.
— Tu iras laver ta sœur, elle doit sentir le bouc. Ne te presse pas, on a le temps, je n’ai pas trop faim, enfin si. J’ai faim de vous deux.
Elle part en courant en emportant sa sœur derrière elle. Je les vois s’engouffrer dans la salle de bain et la douche couler. Je goûte à son couscous, il est délicieux. Je m’installe au salon devant JPP. Je regarde sans prêter grande attention, j’écoute les deux petites se chamailler.
— Allez, il faut que tu sois propre de partout, dit Amandine, si tu veux qu’il t’encule, il faut que je te lave le cul. — Mais, tu m’as remplie comme une outre, je suis pleine.— Pas autant qu’hier, ma grosse salope. — Aïe, AURELIE, ARRÊTEEUUUU...— Encore une...
Intrigué, je me lève pour les espionner. Aurélie est munie de la poire à lavement. Effectivement, elle lui met la dose.
— Allez, un dernier pour la route. Tu ne voudrais pas salir la queue de Monsieur. Allez, arrête de faire ta chochotte.
Elle lui fourre encore une poire dans le fondement et lui bouchonne l’anus. Elle l’a fait se relever. Amandine se tient le ventre. Elle lui fait prendre une douche. Aurélie en profite pour caresser sa sœur, à l’embrasser. Il est vrai qu’hier soir, elles ne s’en sont pas privées. Je me retire quand elle sort de la douche pour se sécher. Je vais les attendre encore dix minutes avant qu’elles ne réapparaissent. Amandine se met en position sur la table basse. Aurélie va contrôler la cuisson de son plat.
— Monsieur, c’est prêt !— Sers-moi à la cuisine. Tu manges avec moi ?— Si Monsieur me le permet, oui.
On mange avec appétit. Comme d’habitude, c’est excellent. Ensuite, pendant qu’elles débarrassent, je vais dans ma chambre. Je prends dans ma boîte des plaisirs quatre bracelets en cuir et un large collier. Je retrouve mes deux petites salopes dans leur position respective. Qu’elle est belle la petite Aurélie, les deux mains appuyées au mur de salon, jambes écartées, tête droite et son bijou anal en place. Être aussi jeune et aussi perverse, ce n’est pas donné à tout le monde. Je vais équiper la boulotte d’Amandine avec les bracelets et le collier. J’aime assez sa position de soumise en attente d’une queue ou tout autre objet. J’appuie sur son ventre plein. Elle gémit, la petite salope. Elle tortille du cul. Sa sœur l’a tellement remplie, que ça suinte autour de son bouchon. Je lui mets une laisse et l’entraîne aux toilettes. Elle retire son plug et se lâche dans un grand soupir.
Je la mets au-dessus du bidet (et oui, dans un appartement des années 70, ça existe encore) et elle se lave le fondement. Je remets son bijou, celui qui se termine par une queue de crin. Superbe pouliche de trait, me dis-je.
J’entends une clé dans la serrure de la porte, c’est Sylviane qui rentre des courses. Elle est rouge pivoine de l’effort fourni à remonter nos emplettes. Après avoir rentré tous les sacs et cabas dans le petit couloir, elle se met nue et commence le rangement des courses. Je demande aux deux filles d’aller aider leur mère. Que c’est beau de voir deux gros culs se dandiner dans la cuisine et un autre se tendre à chaque fois qu’Aurélie s’abaisse ou lève les bras pour atteindre le haut d’une étagère.
Il me vient une idée, c’est d’emmener mes trois cochonnes avides de sexe hard sur l’aire d’autoroute dont m’avait parlé Cathy. C’est un endroit où les couples, les homos, les pervers en tous genres, viennent s’adonner aux pires des outrages aux bonnes meurs, surtout en fin d’après-midi.
Je leur demande d’aller se préparer avec, pour Sylviane, son petit short en cuir blanc qui lui rentre dans les fesses et lui moule sa fente tellement la matière est fine. Pour le haut, je choisis un tee-shirt col en V très profond et sans manches qui laisse deviner son opulente poitrine. Pour Aurélie, je lui ai préparé une jupette noire ras la moule, une chemise blanche sans manches qui se noue au-dessus du nombril. Pour Amandine, les choses se compliquent, on n’a pas eu le temps de refaire sa garde-robe. C’est avec des fringues de sa mère qu’elle va s’habiller. Je choisis une jupette blanche à peine plus longue que celle de sa sœur et un top blanc lui cachant à peine les seins. Pour les godasses, des espadrilles feront l’affaire. Pour moi, ce sera short hawaïen, tee-shirt blanc et mes savates.
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