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Professeur particulier

Chapitre 1

Cours n°1, n°2 & n°3

Hétéro
Samedi, 11h30. En ce début de mois de mai, je me retrouvais face au portail d’un grand immeuble situé à une dizaine de kilomètres de chez moi. On m’avait dit de sonner au 5C.
— Bonjour, ai-je fais quand une voix féminine m’a répondu, je suis Marc, je viens pour les cours d’anglais.— Oui, bonjour, c’est au cinquième, je vous ouvre.
La porte vitrée s’est ouverte, et je me suis retrouvé dans le hall. Sur l’ascenseur, un écriteau indiquait que celui-ci était en panne. Je me suis alors dirigé vers les escaliers en grognant. Il faut dire que je n’avais pas spécialement envie d’être là. Deux jours auparavant, j’avais reçu un message d’une dame, me demandant si j’étais disponible pour donner des cours d’anglais à sa fille, dix-huit ans, déjà redoublante, en vue du bac, deux mois plus tard. J’étais directement allé voir mes finances sur l’application mobile de ma banque, pour me rendre compte que je devais absolument accepter ces cours. J’étais encore étudiant à la fac, à quelques semaines de l’obtention de mon Master, et les finances commençaient à être dans le rouge. J’avais donc répondu, poliment, que ce serait avec le plus grand des plaisirs, et ainsi, je me condamnais à passer mes huit prochains samedis dans cet immeuble sans ascenseur. Une fois au cinquième, j’ai attendu une minute, le temps de reprendre mon souffle, avant de frapper à la porte.
Une femme d’une quarantaine d’années m’a ouvert la porte, sourire poli aux lèvres.
— Bonjour Marc, m’a-t-elle dit, entrez, je vous en prie.
Tout aussi poliment, je l’ai remerciée et suis entré dans l’appartement. Un appartement tout à fait standard, comme j’en avais vu tant d’autres cette année, à force de donner des cours chez les gens. Elle m’a présenté l’appartement comme si j’étais venu le visiter pour l’acheter, et j’ai acquiescé en souriant lorsqu’elle m’a montré où se trouvait le salon, la cuisine, ou encore la salle de bain.
— Anna est dans sa chambre, suivez-moi.
Au bout du couloir, la femme a frappé à la porte de la chambre de sa fille avant de rentrer.
— Anna, je te présente Marc, il va te donner des cours d’anglais pour le bac.
La jeune fille avachie sur son lit m’a regardé un instant, puis a levé les yeux au ciel. C’était mal engagé...
°°°
COURS N°1
Derrière la capuche de son sweat-shirt trop large, Anna était une jolie jeune fille. Une jolie bouche, un joli nez, et surtout des yeux incroyablement bleus. Ses cheveux blonds débordant de sous sa capuche lui donnaient un air angélique, mais l’expression sur son visage laissait penser qu’elle avait un sacré caractère.
— Bien, a dit sa mère, je vous laisse travailler.— Merci.
Une fois seuls, j’ai posé mon sac sur la chaise du bureau d’Anna, essayant de ne pas faire attention au désordre apparent. Je sortais des bouquins et autres feuillets de mon sac quand la jeune fille, qui n’avait pas bougé de son lit et pianotait sur son téléphone, m’a dit :
— Vous fatiguez pas trop, vous allez pas rester.— Ah ? Pourquoi ?— Parce que j’ai pas besoin de cours particuliers.— C’est pas ce que ta mère m’a dit.— Je suis majeure, déjà, vous savez ? Ma mère a pas grand-chose à dire.— C’est elle qui paye, donc si. Viens travailler à ton bureau, ce sera mieux.
Ma dernière phrase était un peu plus sèche, et sans appel. Anna m’a longuement regardé, droit dans les yeux, comme par défiance. Mais j’ai fini par l’emporter, et elle s’est levée pour me rejoindre à son bureau. Elle ne m’avait pas quitté des yeux. Elle s’était approchée de moi, très près de moi, le regard un peu teigneux, comme en plein défi. Mais je n’avais pas bronché. J’avais juste été séduit par son parfum.
— Dis-moi un peu où vous en êtes en cours ? lui ai-je demandé pour débuter la leçon.
Anna m’a regardé avec de grands yeux avant de me dire qu’elle n’en avait pas la moindre idée. Cela allait être très compliqué. Je lui ai alors fait lire un texte en anglais, pour connaître un peu son niveau, et là encore c’était laborieux. La prononciation n’était pas terrible, elle butait sur les mots, j’allais avoir du travail.
— Tu as compris ce que tu as lu ? lui ai-je demandé quand elle a eu terminé le texte.— Pas tout.— Tu as compris quoi ?— Que ça parlait d’un film ?— Oui, c’est une critique parue dans un magazine anglais. On va reprendre ensemble.
Et on a repris ensemble. Je lui ai expliqué les mots et les tournures qu’elle ne comprenait pas. J’étais content car je la sentais un peu plus captivée qu’au début. Cette fille allait être un challenge pour moi, et un joli challenge. Penché au-dessus d’elle, occupé à lui expliquer le texte, j’avais du mal à ne pas respirer son odeur, regarder le grain de sa peau, l’observer quand elle enlevait une mèche de devant ses yeux. Je devais cependant me calmer, et rester concentré sur mon travail.
Cela n’a pas été chose facile. On a travaillé, certes, et je pense même que l’on a plutôt bien avancé, en revoyant de nombreuses bases grammaticales, de nombreux mots de vocabulaires récurrents, de nombreux verbes irréguliers. Mais mon attention était difficilement portée sur le travail uniquement. Anna n’était pas ma première élève, très loin de là. Mais elle dégageait quelque chose que les autres n’avaient pas. J’essayais de détourner mon regard de la jeune fille, mais alors je tombais sur son lit, sa couette défaite, un jogging en boule par terre. Et mon imagination créait le reste. J’étais dans son antre et je me demandais bien ce qu’il s’y passait lorsqu’elle était seule.
— Monsieur ? l’ai-je entendu dire.— Hmm ?— Vous aviez la tête ailleurs...— Désolé. Appelle moi Marc, hein.— Non, j’aime bien "Monsieur".
Elle m’avait répondu ça avec un sourire assez perturbant. Je ne savais pas à quoi elle s’apprêtait à jouer, mais cela me terrifiait et attisait ma curiosité par la même occasion. Pour éviter d’y penser, je me suis concentré sur le texte que nous étudions, et je me suis efforcé à bien tout lui expliquer, à être le plus pédagogue possible.
Le cours a fini par se terminer, et ça a presque été un soulagement. J’ai félicité Anna pour son travail, qui m’a gratifié d’un « Merci Monsieur » et d’un grand sourire, après quoi je suis sorti de sa chambre à toute vitesse. J’ai retrouvé sa mère dans le salon, devant la télé. Elle s’est précipitée pour me demander comme cela s’était passé, et je lui ai affirmé que c’était très positif, qu’il y avait du travail à faire mais que je sentais Anna capable et motivée. Rendez-vous était donc pris pour le samedi suivant, et pour six autres encore, comme convenu.
°°°
COURS N°2
En ce deuxième samedi de cours avec Anna, la météo était plus que clémente, presque estivale. Mon jean me tenait chaud, et j’avais dû relever les manches de ma chemise. Comme la semaine précédente, j’ai sonné à l’interphone, et ai grimpé les cinq étages à pied. Du coup, j’avais encore plus chaud.
— Bonjour Marc, m’a dit la maman en m’ouvrant la porte. Anna est dans sa chambre. Vous voulez un petit rafraichissement ?— Bonjour, oui avec plaisir. Il fait une chaleur d’enfer aujourd’hui.— Je vous amène ça !
Je l’ai remerciée, puis je suis allé frapper à la porte d’Anna. J’ai entendu un « Entrez ! » et j’ai ouvert la porte. Anna était en train de ranger quelques affaires à côté de son lit. Je me suis arrêté net en la voyant. Elle n’avait plus rien à voir avec la jeune fille que j’avais vue la semaine passée. Le jean large et le sweat-shirt avaient disparu et laissé place à une jupe descendant à mi-cuisses, et un tee-shirt blanc, assez près du corps pour mettre en valeur une belle poitrine.
— Bonjour Monsieur, m’a-t-elle dit avec un sourire.— Euh, bonjour Anna. Tu sais que tu peux m’appeler Marc, hein.— Oui oui, je sais.
Ce "Monsieur" qu’elle continuait à utiliser me perturbait, mais me plaisait également, aussi je ne lui ai rien dit de plus et l’ai laissée m’appeler comme elle le voulait.
La mère d’Anna est entrée alors que sa fille s’installait à son bureau et que je m’installais sur la chaise à côté d’elle et sortais les affaires de mon sac. Elle a déposé une carafe de jus de fruits et deux verres, avant de s’éclipser poliment. J’ai rapidement bu un verre, la chaleur de l’extérieur et la tension que je sentais dans cette chambre me faisait suer à grosses gouttes.
Nous avons finalement commencé le cours. Comme la fois passée, j’ai fait lire un texte à Anna, puis nous avons vu et revu les difficultés qu’elle avait rencontrées. Les difficultés étaient encore nombreuses, mais je sentais que notre travail porterait ses fruits.
La séance s’est déroulée de manière très studieuse. Quelques verres de jus de fruits étaient les seules pauses que nous nous accordions. Le cours allait tellement bien que nous avons fini dix minutes plus tôt que prévu. Mais en professeur sévère mais juste, j’ai quand même décidé de lui faire lire un dernier texte avant de la libérer. Elle s’est rebellée un instant, prétextant qu’elle avait déjà bien travaillé, mais je n’ai pas cédé. Je lui ai tendu un texte d’une dizaine de pages.
— On le commence maintenant, et pour la semaine prochaine, je veux que tu notes tout ce que tu n’as pas bien compris, on travaillera dessus.— OK. Mais... Vous m’aidez un peu s’il vous plaît ?— Oui, bien sûr, je suis là pour ça !
Anna m’a alors souri, et s’est levée de sa chaise. Je n’ai pas compris ce qu’elle faisait, jusqu’à ce qu’elle vienne s’assoir sur ma cuisse.
— Qu’est-ce tu fais Anna ? me suis-je empressé de demander.— Je m’installe pour que vous m’aidiez, Monsieur !— Non, attends, je ne crois pas que ce soit une bonne idée.— Si, ne vous inquiétez pas.— Justement, je m’inquiète et...— Monsieur, a-t-elle dit en posant sa main contre mon torse palpitant. Je sais ce que je fais, ne vous en faites pas.
Cette fois-ci, j’ai cédé, c’est Anna qui avait gagné. Mais comment lui résister ? Le contact de ses doigts sur ma chemise m’avait électrisé. Anna a alors ajusté sa position, à califourchon sur ma cuisses, ses jambes de part et d’autre de la mienne. Elle s’est mise à lire à haute voix, et j’essayais de me concentrer, mais je n’arrivais à sentir que son entrejambe plaqué contre mon jean. Anna, elle, a continué à lire le texte sans bouger. Du moins au début.
Car doucement, je l’ai sentie s’agiter sur ma jambe. Lentement, très lentement d’abord, puis un peu plus vite. « The point system is all the negative and positive points that she gives to the potential buyers... » lisait-elle mais je l’écoutais à peine. J’étais bien trop concentré sur les mouvements de son bassin, de plus en plus rapide, contre ma jambe. Anna continuait sa lecture, mais je sentais sa voix plus fébrile. Puis elle a lâché le texte, posé ses mains sur mon genoux, et cette fois je l’ai sentie se frotter carrément contre ma cuisse.
Elle ne lisait plus du tout, elle se masturbait, et pétrifié, je n’osais pas bouger, encore moins dire quoi que ce soit. L’érection qui grandissait dans mon boxer était de plus en plus importante, et j’étais effrayé à l’idée qu’elle s’en rende compte. Mais elle ne s’est aperçu de rien, trop concentrée sur le plaisir qu’elle prenait. Elle a fini, quelques secondes plus tard, par se cramponner un peu plus fort à mon genou, laissant échapper un gémissement aigu, et j’ai compris qu’elle venait de jouir.
Puis, pendant une minute qui m’a paru interminable, elle n’a plus rien dit. Elle a simplement repris son souffle, et s’est levée pour se planter face à moi. Dans le même silence, je l’ai vue passer ses mains sous sa jupe et faire glisser sa culotte le long de ses jambes. Du bout du pied, elle a poussé le sous-vêtement vers moi, que je n’osais même pas regarder.
— Merci Monsieur, a-t-elle fini par répondre. A la semaine prochaine ?
Et sans attendre ma réponse, elle est sortie de la chambre.
Comme en apnée, j’ai fini par reprendre ma respiration. Qu’est-ce qui venait de m’arriver ? J’ai touché ma cuisse, le tissu de mon jean était imbibé d’un liquide collant. Puis, après un rapide coup d’œil vers la porte, je me suis penché pour attraper la culotte. Une petite culotte blanche, très sage, et très mouillée. Je me levais quand j’ai entendu frapper à la porte, et par réflexe, j’ai jeté le sous-vêtement d’Anna dans mon sac pour le cacher.
— Ça a été ? m’a demandé sa mère qui entrait dans la pièce à petits pas.— Très bien, oui, ai-je réussi à répondre de la manière la plus neutre possible. Anna a des difficultés mais c’est une bonne élève, je n’ai aucun doute sur le fait que nos prochaines séances se passent aussi bien.
Je me suis senti frémir à mes propres mots. Effectivement, si les prochaines séances étaient comme celles-ci, il y avait de grandes chances pour que cela se passe bien. Rangeant en vitesse mes affaires, je me suis éclipsé sans demander mon reste.
Dehors, la chaleur était encore pire qu’à mon arrivée.
°°°
COURS N°3
La semaine qui a suivi n’a pas été des plus simples à vivre. Je n’arrêtais pas de repenser à quel point j’avais été mené par le bout du nez par une jeune fille de dix-huit ans. Et à quel point ça m’avait plu. Je mentirais si je disais que j’avais laissé en paix sa petite culotte, que j’avais mise par inadvertance dans mon sac. Et d’ailleurs, plus j’y pensais, plus je me disais que je n’avais pas fait cela par inadvertance, mais que le temps d’une seconde, mon subconscient avait pris le relais.
Plusieurs fois, j’avais sorti le sous-vêtement de mon sac. Je l’avais touché, je l’avais même porté à mon nez, un peu honteusement, mais je voulais connaître son odeur. J’ai pensé, une ou deux fois, à m’en servir pour mes plaisirs personnels, et puis j’ai renoncé. C’était une étape que je ne m’autorisais pas à franchir.
Et puis le jeudi, en fin de journée, j’ai reçu un message d’un numéro que je ne connaissais pas. « Bonjour Monsieur ! » me disait simplement le message. Je devinais qui en était l’expéditeur, mais j’ai préféré demander confirmation. Quelques minutes plus tard, je recevais une réponse.
« C’est Anna ! J’ai piqué votre numéro dans le téléphone de ma mère. Je vous écris parce que je voulais travailler le texte mais je crois que vous l’avez pris avec vous la dernière fois. Et au fait, vous avez pas pris ma culotte aussi ? »
Le message se terminait par un emoji en clin d’œil, qui me laissait penser qu’elle connaissait très bien la réponse à sa question.
« Oui c’est moi qui l’ai, ai-je répondu, je te prie de m’excuser, dans la précipitation je l’ai mise dans mon sac. Je te la ramène samedi. »« Oh gardez la, ai-je reçu dans la foulée. C’est un cadeau, parce que je vous aime bien. A samedi, Monsieur ! »
Notre échange de SMS s’est arrêté là, et cette fois-ci je n’ai plus pu résister. J’ai attrapé la culotte sagement rangée dans mon sac, sorti mon sexe sagement rangé dans mon pantalon, et je me suis masturbé jusqu’à souiller le sous-vêtement. Honteux, j’ai jeté celui-ci sur ma table de nuit, et me suis difficilement endormi.
Le samedi, je suis arrivé un peu en retard pour le cours d’Anna. J’avais du mal à me concentrer, et j’avais loupé le bus qui m’amenait jusqu’à chez elle. La chaleur étant toujours au rendez-vous, Anna avait à nouveau opté pour une tenue légère. Jupe courte et chemisier, dont les premiers boutons étaient défait.
Comme si de rien n’était, on a commencé à travailler. J’ai sorti le texte que j’avais oublié de lui laisser la semaine passée, et elle a commencé à le lire. Puis elle s’est arrêté, et m’a dit avoir une question.
— Je t’écoute.— Vous avez fait quoi avec ma culotte ? m’a-t-elle demandé avec un grand sourire.
J’ai lâché mon stylo et reculé sur mon siège. S’il on voulait travailler efficacement ensemble, il fallait qu’on discute.
— Qu’est-ce que tu cherches, Anna ?— Rien, m’a-t-elle répondu en souriant toujours. Je suis curieuse, c’est tout.— Et c’était quoi ce manège, samedi dernier ?— Rien, c’est juste que je vous aime bien... Pour un prof, je veux dire, vous êtes plutôt chouette.
Ne sachant pas bien quoi répondre, je me suis contenté de rester silencieux, en la regardant droit dans les yeux. Plus timidement cette fois, elle a renchéri :
— Et je me suis dit qu’on pourrait... vous savez... rendre le cours un peu plus amusant... s’amuser tous les deux... Monsieur ? a-t-elle demandé face à mon mutisme. Vous ne répondez rien ?— On... On verra ça à la fin du cours. Reprends la lecture s’il te plaît.
Anna a repris la lecture du texte, tandis que je faisais les cent pas derrière elle. Je n’écoutais absolument pas. Elle pouvait faire les pires fautes, je lui disais que c’était très bien. J’étais trop perturbé par ce qu’elle venait de me dire. S’amuser ensemble ? J’en rêverais ! Cette fille m’avait pris dans ses filets dès la première heure de cours. Est-ce que c’était moral ? Non. Pas du tout. Peut-être que ça en était encore plus excitant.
Le cours est passé, presque trop vite. Un quart d’heure avant la fin, j’ai décidé d’avoir une conversation avec elle en anglais. Je voulais que son oral soit aussi bon que sa compréhension et son écrit. Alors on a parlé, en anglais, tous les deux, de tout et de rien. Le temps qu’il fait, les séries qu’elle avait vues récemment, tout. Puis, alors que la conversation touchait à sa fin, je lui ai dit :
— OK, now get up please, and take your panties off.
Elle m’a regardé avec un drôle d’air, j’ai senti qu’elle avait compris, mais pas tout, alors j’ai repris en français :
— Ça veut dire que tu dois te lever et enlever ta culotte.
Cette fois-ci, pas de doute, elle avait compris, mais ne bougeait pas pour autant.
— You said that you wanted to play, ai-je repris, so get up, and let’s play. Take your panties off.
Anna s’est levée de son siège, et avec un sourire timide, a passé ses mains sur sa jupe, comme lors de la dernière leçon. Puis je l’ai vue glisser sa culotte le long de ses jambes. Je me suis avancé, lentement, avant de me baisser pour la ramasser à ses chevilles. J’ai eu envie de faire glisser mes doigts sur ses jambes également, dans le sens inverse de sa culotte, jusque sous sa jupe. Mais je me suis ravisé. Je voulais jouer, certes, mais progressivement.
— Je garde ça, ai-je dit en jouant avec le tissu entre mes doigts. En attendant, voilà ce que je te propose. On va jouer. Je te laisse jusqu’à demain soir pour y réfléchir, et te rétracter si tu en as envie. Sinon, demain soir, tu recevras mes instructions et des devoirs à faire. Qu’est-ce que tu en dis ?— Ça me va, a-t-elle répondu à voix basse.— Bien. J’y vais. A samedi prochain.— Au revoir Monsieur.
En sortant de chez elle, je me sentais un peu coupable d’avoir ainsi imposé à Anna cet ultimatum. Ce n’était pas très correct de ma part. Mais je n’ai pas eu à attendre le lendemain soir pour savoir si elle voudrait ou pas continuer le jeu. Deux heures plus tard à peine, je recevais un SMS de ma jeune élève me disant : « J’aimerais beaucoup jouer avec vous Monsieur, j’attends vos instructions... » suivi d’un petit emoji souriant.
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