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Pour un petit coup avec toi

Chapitre 1

Je ferais n'importe quoi

Hétéro
Un an, encore un an à tenir avant la fac. Enfin, un peu moins maintenant, mais l’idée est là. Je n’en peux plus de cette école, de cette ville, de vivre chez mes parents. L’année prochaine, j’irai vivre loin d’ici dans un studio étudiant, libre et indépendant. Je pourrais enfin faire ce que je veux, avoir un nouveau départ, sans papa-maman pour me faire chier sans arrêt.
C’est triste à dire mais je n’ai pas beaucoup d’attaches dans le coin. Il n’y a personne que je trouve intéressant, hormis Maryjane. Maryjane, c’est mon amie d’enfance, on se connaît depuis qu’on est tout petit. À l’origine, nous étions voisins. Lorsque sa famille a déménagé, nous avons su garder contact. Puis aujourd’hui, nous sommes au même lycée. Nous avons beaucoup parlé de l’avenir, nous comptons partir dans la même université. Ce genre d’amitié, cela dure toute une vie, rien ne pourra jamais nous séparer. Elle est tout pour moi, je n’ai besoin de rien ni de personne d’autre, et je sais que ce sentiment est partagé. Nous sommes tous les deux des gens très timides et pas très sociables. Nous avons toujours eu du mal à nous intégrer dans un groupe. Du coup, nous passons la plupart du temps ensemble isolés dans notre coin. Nous sommes perçus comme des geeks, des intellos, des types bizarres, alors c’est une chance que nous nous ayons pour nous supporter l’un l’autre.
La semaine passée, c’était mon anniversaire. J’ai enfin rejoint le club de ceux qui ont la majorité. La plupart des gens normaux de mon âge organisent des fêtes avec plein de monde pour ce genre d’occasion. Moi, il n’y avait que Maryjane, et ce fut la même quelques mois auparavant lorsqu’elle fêta ses propres dix-huit ans. Je crois que ça en dit long sur notre popularité.
J’ai du mal à l’avouer, mais j’ai un petit faible pour elle. Elle est peut-être petite, maigre, et plate comme une planche à pain, mais je lui trouve bien plus de charme que les filles sportives à grosses poitrines. C’est comme ça, je ne me l’explique pas. Son côté innocent et coincé me fait craquer.
Les garçons ne se sont jamais intéressés à elle. Elle pense à tort que c’est parce qu’elle est moche et hideuse. L’idiote, elle est super mignonne ! La vérité, c’est qu’elle ne sait pas se mettre en valeur, faut dire qu’elle porte encore des vêtements de grand-mère, ça n’aide pas. Enfin bon, sur ce point, je ferais mieux de ne rien dire, je ne suis pas mieux loti, à la différence que moi, moche, je le suis vraiment. Je suis un mec squelettique aux lunettes, rien à voir avec le cliché du « beau brun mystérieux » qui fait rêver les filles. Elle, si elle avait un peu plus de confiance en elle et si elle prenait un peu plus soin de son look, je suis sûr qu’elle aurait toute l’école à ses pieds. Ça la fait rire lorsque je lui raconte ça, elle dit que j’exagère.
Dans un sens, cette situation m’arrange. Ça me ferait mal de la voir sortir avec quelqu’un d’autre. Je sais, je ne devrais pas penser comme ça, c’est indigne d’un ami. Bien sûr, en vrai, je ne lui souhaite que le bonheur, mais je ne peux pas contrôler mes sentiments. Je ne lui ai jamais parlé de ce que je ressens. Je ne peux juste pas, je me sens ridicule. Déjà parce que... bah je suis moi quoi, je vois mal une fille tomber amoureuse de moi ; mais aussi parce que j’ai parfois des pensées un peu trop salaces la concernant et que j’en ai honte. Elle qui est pure et prude, je la perdrais pour toujours si elle savait que je me branlais parfois en pensant à elle.
Je me sens sale, mais j’essaie de me rassurer comme je peux en me disant que c’est sans doute « normal ». Je veux dire, je suis vierge et je suis proche d’une fille depuis mon enfance. En grandissant, avec la puberté, les hormones travaillent. Ça doit être « naturel » au bout d’un moment de fantasmer sur la possibilité de faire des choses ensemble, non ? Peut-être que je ne suis pas vraiment amoureux, que c’est juste une question d’opportunité. Je ne sais pas.
Aujourd’hui, c’est contrôle de maths. C’est une bonne journée de merde qui s’annonce quoi. J’ai du réconfort en retrouvant Maryjane dans la cour de récré avant le premier son de cloche. Elle s’est fait des tresses avec ses cheveux crollés ce matin, j’adore ça, ça lui donne un air de gamine. Nous parlons de tout et de rien avant de devoir aller en classe. Le temps me semble si long... L’après-midi, l’heure du contrôle tant redouté arrive, je me foire complètement ; ça m’apprendra à ne pas avoir assez révisé. Elle, elle n’a pas l’air d’avoir le moindre problème. Ça ne m’étonne pas, elle a toujours été la plus intelligente des deux.
Je suis soulagé lorsque la journée se termine enfin. J’attends Maryjane pour qu’on reparte ensemble jusqu’au bus. Nous faisons toujours ça, mais aujourd’hui, je ne sais pas pourquoi, elle est à la traîne. Je prends mon mal en patience jusqu’à ce que je me décide à aller voir ce qu’elle fait. Je me balade dans les couloirs, vais dans la salle des casiers, mais elle reste introuvable. Je lui téléphone sur son portable, mais elle ne répond pas. Ce n’est pas normal, je commence à m’inquiéter. Je n’imagine pas une seconde qu’elle puisse être partie sans moi, ce n’est pas son genre, je continue donc de fouiller l’école.
Il n’y a presque plus personne maintenant. Je visite les classes où je sais qu’elle a eu cours, on ne sait jamais. Après quelques nouveaux échecs, je me décide à aller vers la classe de math. Quand je m’y approche, j’ai un haut-le-cœur, c’est vraiment le dernier endroit où je voudrais être. J’entends du bruit, il y a quelqu’un à l’intérieur. Je ne sais pas si c’est une bonne ou une mauvaise nouvelle... N’ayant absolument pas envie de me retrouver nez à nez avec le prof et qu’il me demande ce que je fais encore dans le coin, j’essaie d’être discret. J’entrouvre juste un peu la porte pour vérifier vite fait si Maryjane est là.
Que... quoi ?! Non, ce n’est pas réel, cela ne peut pas être réel ! Je crois que même dans mes pires cauchemars, je n’aurais pu imaginer un truc pareil ! J’ai l’impression d’avoir le cœur qui se brise en mille morceaux. Je manque d’air, j’étouffe. J’ai envie de vomir. Non, non, mon Dieu, dites-moi que ce n’est pas vrai !
Elle est bien là, mais j’aurais préféré le contraire et n’avoir jamais assisté à ça. Elle est penchée contre le bureau du prof, le torse écrasé, la jupe relevée et la culotte baissée au niveau des chevilles, pendant que Monsieur Matignon est en train de la — j’ai du mal à le dire — de la baiser ! Pitié, ce n’est pas possible. Je sais que c’est un beau mec qui fait fantasmer beaucoup de filles, mais de toutes les salopes qu’il aurait pu se taper, pas Maryjane ! Pas ma Maryjane ! Pourquoi elle ? Pourquoi me faire ça à moi ?!
L’espace d’une seconde, je me dis que ce salaud doit être en train de la violer. Il ne peut pas y avoir d’autres explications. Je la connais, c’est une fille prude, jamais elle ne s’adonnerait à ce genre de chose de son plein gré, elle n’est pas comme ça. Je ne suis pas bien costaud mais je ne peux pas laisser faire ça. Je m’apprête à intervenir lorsque mes yeux croisent son visage. Non, je refuse d’y croire, dites-moi que ce n’est pas vrai ! Ma thèse s’effondre, c’est encore pire que ça ! Elle prend du plaisir ! Non seulement elle gémit, mais en plus, elle l’encourage :

— Oh oui ! Oui ! Oui !— Tu aimes ça petite salope, hein ?! fait Monsieur Matignon en lui donnant une fessée. — Ouiiii ! Je ne comprends pas. Qui est-elle ? Ce n’est pas la Maryjane que je connais... Je ne peux pas m’être trompé sur son compte à ce point-là... C’est horrible à dire, mais je crois que j’aurais préféré qu’il s’agisse d’un viol...
Je n’ose pas bouger, je ne sais pas quoi faire d’autre que contempler cette scène d’horreur. Je suis choqué de voir le prof la prendre de façon aussi brutale. C’est une fille douce, pure, fragile, comment ose-t-il la sauter comme la dernière des putes ? Elle ne mérite pas ça ! Voilà qu’il la tire par ses cheveux blonds maintenant ! C’est déjà assez horrible de la voir faire « ça » avec un prof, mais si en plus il lui fait du mal ! J’ai envie d’aller lui défoncer la gueule ! Maryjane, ma pauvre Maryjane... qu’est-ce qu’il te fait... Elle a les yeux levés au ciel, on dirait une droguée qui ne sait plus où elle est. Attends, cela veut dire qu’elle... jouit ? Elle se fait malmener, mais elle en jouit ? Je ne peux pas y croire. Elle se tient fermement au bureau pour résister à ses coups de butoir tout en demandant d’en avoir encore. Je suis en train de pleurer. Merde, cette fille, je l’ai connue gamine. Jusqu’alors, je la croyais encore innocente. C’est un tel choc de la voir comme ça. En train de se faire sauter comme une traînée, et d’aimer ça. J’ai du mal à me dire que la petite fille avec laquelle je jouais encore hier au ballon est là devant moi, une bite dans la chatte, criant son plaisir.
Je ne comprends pas. À chaque fois que j’ai tenté d’aborder le sujet du sexe avec elle, elle s’est repliée sur elle-même, rougissante et honteuse. Je l’imaginais à peine oser se masturber, alors se taper un prof... Comment s’y est-il pris pour la changer de cette façon ? Qu’est-ce qu’il a de plus que moi ?! Je suis jaloux ? Oui je suis jaloux ! Merde ! Qu’est-ce que je donnerais pour être à la place de monsieur Matignon, pour être celui qui la met dans un tel état. Je suis écœuré, j’ai été tellement con. À force de jamais oser lui faire part de mes sentiments, quelqu’un d’autre a tenté sa chance et a pris ma place. C’est moi qui aurais dû prendre sa virginité, c’est moi qui aurais dû être en train de la souiller. Une part sombre au fond de moi a toujours rêvé de lui faire perdre son innocence et de la pervertir. Quand moi j’en avais honte, d’autres ne se sont pas gênés. Le salaud, mais quel salaud ! Se rend-il seulement compte de la chance qu’il a ?
Je regarde mon prof pilonner inlassablement la chatte de ma meilleure amie, sa grosse queue lui défonçant le vagin. L’enfoiré. Il a l’air de bien prendre son pied ! Il ne porte même pas de capote ! Je n’en reviens pas, voilà maintenant que j’ai une érection ! Qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez moi ? Comment est-ce possible d’avoir à la fois le cœur brisé et d’être excité ? Aussi difficile que ce soit, j’ai envie de rester, j’ai envie de regarder. C’est comme mater un porno en direct avec mon amie d’enfance en actrice principale. Je m’imagine être à la place du mec. J’ai envie de me branler. Ou mieux, de pouvoir me joindre à eux. Putain, j’ai plus que jamais envie de la baiser !
Maryjane semble enchaîner les orgasmes, je n’ai jamais vu une fille jouir de cette façon, c’est tellement intense. Elle se laisse faire, comme une poupée gonflable attendant de se faire fourrer. Ce qu’elle est belle, cela me donne encore plus envie d’elle. Le prof de math se sert d’elle comme d’un vide couille. Qu’est-ce qu’elle représente pour lui ? Combien il s’en tape comme ça, des jeunettes ? C’est immonde. Une fille comme ça, il faut l’aimer, merde !
— Ah, petite salope ! geint-il. J’espère que tu n’as pas oublié ta pilule aujourd’hui parce que je vais gicler au fond de toi !— Oui ! Oui ! Il fait encore quelques violents allers-retours en elle avant de se figer au fond de son vagin en poussant un cri guttural.
— Allez, vas-y ! Prends tout ! Aaaah !
Je vais gerber, cet enculé est en train d’éjaculer en elle. C’est tellement dégueulasse. Pourtant, elle aime manifestement ça, elle jouit avec lui ; tellement fort qu’on dirait qu’elle va s’évanouir.
Il reste en elle un moment le temps de bien se vider les couilles, puis il se retire. Elle ne bouge plus, à peine consciente. Je peux voir du sperme s’échapper de sa chatte rasée. Trop c’est trop, je m’en vais en pleurant. Si j’avais un doute auparavant, désormais, je le sais : c’est bien de l’amour que je ressens, et j’ai le cœur brisé. J’ai la tête qui tourne, mes pensées s’entrechoquent. Que dire, que faire, je suis complètement paumé. Je m’assieds sur un muret à la sortie de l’école pour réfléchir à tout cela et sécher mes larmes. J’ignore combien de temps est passé, mais je suis réveillé de ma torpeur par Maryjane :
— Ouf, tu es toujours là. Désolée, j’ai été un peu longue.— Où étais-tu ? Fais-je un peu fâché.
Je réalise après coup que ça a l’air d’une réaction naturelle pour la situation, alors qu’en fait, je voulais essayer de lui faire cracher le morceau en me montrant suspicieux.
— Chez le prof de math. Je voulais lui poser une ou deux questions sur l’interro. J’étais trop impatiente pour attendre les résultats et savoir si je m’étais trompée ou non à la question deux. Ça a été plus long que prévu. Encore désolée. On y va ?J’acquiesce et nous prenons le chemin vers l’arrêt de bus. Putain, elle m’a menti sans même broncher, mais quelle salope. Depuis combien de temps est-ce que ça dure ? Je suis en train de tout remettre en question.
Nous sommes tous les deux silencieux sur le trajet. Elle me prend en toute amitié par la main. Je suis toujours fâché et confus. Elle joue les innocentes, toute gentille et mignonne, alors que moi je sais qu’elle a la chatte encore pleine de sperme de notre prof de math. Je suis tellement écœuré, plus rien ne sera jamais comme avant.
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