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Hymne à la virilité

Chapitre 2

Divers
     Maxime fut tiré de son sommeil, en pleine nuit, par une sensation dérangeante au niveau de son caleçon en coton. Une sensation mouillée. Avait-il uriné au lit comme un bébé ? Il mit plusieurs minutes avant de recouvrer pleinement ses moyens, puis toucha son caleçon. C’était bien humide. Il ne comprenait pas, ça ne lui était pas arrivé depuis la petite enfance. Etait-ce la faute des comprimés ? C’est en frôlant sa verge au moment de toucher qu’il s’aperçut qu’elle était bien tendue. Et si… ? Il approcha sa main de son nez : c’était du sperme ! Bon dieu, il venait d’avoir sa première pollution nocturne. Il en avait déjà entendu parler, sans jamais l’avoir vécu. Il ne sut quoi en penser. Il releva le drap, alluma sa lampe de chevet et constata les dégâts. Il y avait une tâche foncée d’environ 5 cm de diamètre en plein milieu de son caleçon gris. Cela le répugna, sur l’instant. Il s’apprêtait à se lever pour en changer quand il sentit un vague frisson dans le bas-ventre. Son pénis maintenait toujours une solide érection. La plus forte qu’il ait jamais eue, à vrai dire. Il sentit qu’il risquait peut-être d’éjaculer à nouveau, plus tard dans la nuit, et que ça ne valait pas la peine de souiller un autre caleçon. Il décida de rester sur le dos, la couverture repliée sur ses jambes pour qu’elle reste propre.        Il fixa à nouveau son caleçon, comme pour être sûr de ne pas avoir rêvé. Son pénis, qui pointait vers la cuisse gauche, était vraiment en très grande forme. Il lui semblait même de le voir palpiter sous le tissu, en rythme avec ses pulsations cardiaques. Amusé, il plaqua le tissu sur son membre pour le mouler. Cela provoqua une montée de plaisir inattendue. Agréablement surpris, il le serra encore plus, accentuant le désir. Traversé par une pulsion, il décida de se masturber de façon classique. Il passa sa main droite sous son caleçon et commença des mouvements de poignet. L’orgasme ne tarda pas, et il fut l’un des plus intenses qu’il avait connu. Il laissa même échapper un râle, ce qui n’était pas à son habitude. Quatre jets opaques s’écrasèrent sur la tâche initiale, ce qui la fit doubler en taille.        Il retira sa main de son paquet tout en essayant de se remémorer le bien-être fugace ressenti il y a quelque secondes. Il se rendit compte qu’il venait à son échelle de réaliser une prouesse, à savoir éjaculer autant en si peu de temps après une première fois. C’était inhabituel, et probablement imputable aux comprimés. Si leur effet se limitait à pouvoir se branler deux fois par jour, cela ne l’aiderait guère contre les voyous. Il remarqua alors qu’il n’avait pas débandé ; son pénis, qui finissait de baver une goutte de sperme, était toujours tendu à son maximum. Et une sensation de chaleur traversa son bas-ventre. Il sentit soudainement plus de sang affluer dans son phallus. La pression finit par être assez douloureuse, comme si son pénis allait éclater comme un ballon trop gonflé. Toujours sur le dos, il agrippa le matelas de chaque côté, bascula sa tête en arrière, crispa sa mâchoire, et attendit que ce moment passe. Il lui sembla sentir son pénis se frotter contre son caleçon, ou plus exactement, avancer le long du tissu. Quand la douleur fut dissipée, il jeta un œil plein d’appréhension sur ce qu’il venait de se passer. Il resta coi plusieurs secondes, à la vue d’un phallus plus long que d’habitude. Peut-être était-ce une illusion d’optique ? Il voulut en avoir le cœur net. Il se leva, saisit un triple-décimètre et mesura son membre qui n’avait jamais dépassé les 12 cm. Il crut halluciner. Il s’y reprit plusieurs fois, manipula sa bite et sa règle dans tous les sens et le verdict était sans appel : 16 cm. La largeur demeurait la même : 3,9 cm.        Il s’assit dans son lit et contempla son nouvel engin. Il le saisit d’une main, à la base. Auparavant, le gland dépassait à peine de son poing. Maintenant il en était éloigné d’environ 2 cm. Cette vision de cette queue de taille inespérée dans sa main le poussa machinalement à se masturber. A nouveau. Son membre était toujours au garde à vous et ne manifestait aucun signe de fatigue. Toujours assis dans son lit, il ferma les yeux et s’imagina pénétrer une de ces blondasses typiques des films pornos amateurs sur le web. Il tambourinait frénétiquement son pubis contre sa chatte, la faisant gémir de plaisir. Puis il la retourna et la sodomisa. Il serra son poing plus fort pour simuler l’étroitesse d’un cul. Cela ne tarda à faire monter la sauce. Il s’allongea sur le dos et donna des coups de rein dans le vide. Un puissant orgasme lui arracha un gémissement de plaisir, tandis qu’il éjacula cinq jets qui s’étalèrent sur son T-shirt noir, au niveau de l’abdomen. Il resta ainsi pendant de longues minutes pour se remettre de cette incroyable jouissance, tout en continuant de caresser sa queue dégoulinante.        Jouir trois fois de suite, avec une quantité croissante de foutre, c’était surréel. Ces cachets étaient miraculeux, mais encore une fois, à part dégouter les petites frappes qui le traumatisaient en leur éjaculant dessus, ce ne serait pas d’une grande aide. Qu’importe, il se sentait désormais un peu plus dans la norme et à la hauteur de ce qu’une fille pouvait attendre de lui. C’est alors que la sensation de chaleur qui avait précédé sa poussée de croissance pénienne refit surface. Le pubis, le pénis et les testicules étaient en feu. La pression sanguine était à son comble dans le membre turgescent, et pourtant elle augmenta encore. Maxime crut que la peau allait se déchirer, mais il ne détourna pas le regard. Il voulait voir si son pénis allait encore grandir. Et c’est ce qui se passa. La peau s’étira comme un élastique et son phallus gonflé à bloc s’allongea de plusieurs centimètres supplémentaires en quelques secondes. La douleur avait été moins importante qu’auparavant, c’était déjà ça. Il fixa son membre comme s’il venait de voir la Vierge. Il paraissait si long, comme dans les films. Il le saisit d’une main, à la base, puis de son autre main, sur la partie restante. Hé bien son gland dépassait ! Il pouvait tenir sa bite à deux mains. C’était plus qu’inespéré, plus qu’un miracle. C’était un don divin. Il attrapa sa règle et mesura un magnifique 20 cm. L’épaisseur avait un peu évolué, à 4,2 cm. Le rendu était quand même assez fin, mais peu importe, il pouvait dérouler un préservatif standard en entier, maintenant, vu qu’ils culminent à 18,5 cm. Maxime avait appris les dimensions par cœur à l’époque de sa puberté, dans l’espoir d’être assez gros pour pouvoir les enfiler correctement. Il avait pris l’habitude de mesurer son pénis en érection toutes les semaines, scrutant chaque millimètre de croissance. Mais il était toujours bloqué à 12,1 cm et avait perdu espoir pour plus à l’aube de ses 17 ans. Cette nuit sonnait comme une revanche sur la vie, et être supérieur à la norme lui conféra un énorme regain d’estime de soi.        C’est avec un sourire satisfait qu’il rangea la bête, toujours bandée, dans son caleçon tâché, mais il nota une gêne au niveau de l’entrejambe, comme si le sous-vêtement avait rétréci d’une taille ou deux. C’était peut-être dû à sa bite qui soulevait le tissu vers le haut. Dans le doute, il la sortit, mais le caleçon paraissait toujours inconfortable au niveau des testicules. Il prit ces derniers dans sa main leur trouver une position adéquate, mais rien à faire. Et si… ? Pour en être sûr, il ôta son caleçon et alla inspecter son service trois pièces dans le miroir de la salle de bain. Pas de doute, ses testicules avaient sensiblement augmenté de volume. A vrai dire, son attention avait toujours été jusqu’à présent rivée sur son pénis, ne voyant pas l’intérêt à porter sur ses couilles. De mémoire, il lui semblait qu’elles faisaient à peine la taille de deux balles de ping-pong. Maintenant elles étaient un peu plus volumineuses que ça. Pas étonnant qu’il puisse éjaculer autant. Puis il réfléchit. Ses poussées de croissance semblaient intervenir après chaque éjaculation. Il regarda sa queue bien tendue, palpitante, et se dit que cette taille était bien suffisante pour l’instant. S’il éjaculait de nouveau, il était probable qu’il grimperait à au moins 24 cm, et ne se sentait pas prêt à atteindre ce cap. Tout ce qui venait de se passer était déjà tellement fantastique et improbable. Il ne fallait pas que cela lui monte à la tête.        Il remit à nouveau son caleçon tâché et y rangea prudemment sa bite en feu, car de toute façon aucun de ses autres sous-vêtements ne seraient à la bonne taille. Le bref instant où il frôla son membre fit monter en lui une brève bouffée de chaleur accompagnée d’un désir sexuel enflammé. Son gland émit un mince filet de liquide préséminal. C’est la première fois qu’il en émit autant, là où ça se limitait à une goutte juste avant l’orgasme. De toute façon, il savait que cette nuit inaugurerait beaucoup de « premières fois ». Il décida de garder son t-shirt zébré de cinq jets blanchâtres pour se dégouter d’éjaculer davantage.        Il s’allongea dans son lit sur le dos, les bras le long du corps, en tenta de retrouver le sommeil. C’était sans compter l’animal excité qui transformait son caleçon en chapiteau. L’élastique était soulevé sur plusieurs centimètres le long de son pubis poilu. Encore une première fois. Il n’était pas habituer à pouvoir voir la base de son sexe pendant une érection dans un sous-vêtement. Cela attirait sa main vers cet endroit. Il voulait agripper fermement son membre et le secouer le plus énergiquement du monde. Non, il ne fallait pas empirer les choses.        Il fixa le plafond, mais cette vue uniforme, ennuyeuse, favorisait le vagabondage de son esprit dans les méandres de la luxure. L’image de son caleçon fortement distendu l’excitait au plus haut point. Il sentit un peu de liquide lubrifiant suinter de son gland. Non, il fallait résister à l’appel. Il ferma les yeux et commença à compter les moutons sautant au-dessus d’une barrière. Un, deux, trois, quatre… mais le trentième mouton trébucha car son pénis en érection avait heurté la barrière. L’excitation du jeune homme avait fini par corrompre toutes ses pensées, quelles qu’elles soient. Non, non, il fallait résister. Son pénis continuait de battre la chamade tout en suintant un nouveau filet de lubrifiant. Une belle tâche se forma sur le caleçon, plus haut que la tâche originelle. Une partie du liquide dégoulinait le long du membre turgescent, l’autre gouttait sur ses poils pubiens. Il avait connu des éjaculations moins copieuses que ça.        Plus d’une fois, il résista à l’envie de porter sa main sur sa queue, mais rien ne semblait pouvoir le sortir de cette situation. Ses hormones bouillaient, sa bite trépignait d’impatience et sa soif de sexe devenait de plus en plus pressante. Il se laissa à faire quelques lents mouvements du bassin pour soulager un minimum la pression, mais le frottement du caleçon sur le gland ne fit qu’aggraver les choses. Il se résolut à arrêter quand sa bite éjecta un nouveau filet de lubrifiant, le plus gros jusqu’à présent. La tâche foncée était en passe de devenir aussi grosse que la première. Ses poils pubiens évoquaient maintenant une forêt inondée. Le jeune homme en rut devenait incapable de penser à autre chose qu’à des chattes bien remplies. Toutes ces chattes qu’il avait vu défiler sur son écran étaient à sa portée maintenant. Elles lui appartenaient. Il lui sembla pouvoir toutes les baiser en même temps. Son appétit sexuel était à son paroxysme. Il se remit à donner des coups de rein instinctifs et de plus en plus rapide dans le vide. Il s’imagina enfoncer ses 20 cm dans tous les vagins à sa portée et les labourer comme un fou. Encore. Encore ! ET ENCORE !        Sa respiration se saccada, sou pouls augmenta, ses mains se crispèrent sur le matelas et il laissa échapper un râle de plaisir, la tête en arrière, quand il éjacula dans son caleçon. Il avait réussi à jouir sans se toucher, une première (encore une) ! Son gland, plaqué contre le caleçon, expulsa sept jets, plus volumineux et épais que les précédents. Le tissu agit comme un tamis et l’éjaculat d’un blanc éclatant en sortit compact et gluant. Une première boule se décrocha tandis qu’une autre se formait. La partie la plus liquide dégoulina sur son pubis et ses testicules.        Tremblant, haletant, gémissant, Maxime mit du temps à s’en remettre. Il n’avait rien pu éviter. Il releva la tête pour constater l’ampleur du désastre. Une grosse boule gluante était tombée sur son abdomen, tandis qu’une autre restait collée au caleçon. Les deux tâches s’étaient rejointes et il y avait désormais plus de gris foncé que de gris clair sur la face avant. Il sentait également du sperme couler sous ses couilles et ses fesses. Ce spectacle d’un vêtement souillé à ce point par son jus l’effraya tout autant qu’il excita. Sa verge, elle, ne débandait pas, et déjà la sensation annonciatrice d’une poussée de croissance se propagea dans son bas-ventre.
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