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Ma femme, cette salope que j'aime.

Chapitre 4

partouze chez Lola.

Trash
On a baisé encore une partie de la nuit. Le lendemain, on s’est séparé en se promettant de nous revoir.
— Alors chérie, tu l’as eu son petit cul ?— Oui, cela me fait tout drôle. Il m’a avoué son âge. Il a eu 18 ans en juin.— Et alors, il est majeur ?— Oui, mais ce jeune m’étonne par son expérience.— Eh oui, tu te fais vieux...— Petite salope que j’aime.
Le reste de la journée est calme. On a rangé l’alcôve, lavé les accessoires. On va au bar de Choa. Laura est en train de servir. Elle nous fait un petit bisou. On commande un rosé bien frais pour ma chérie, une bière pour moi. Laura revient avec nos verres et s’installe à notre table. On dé-brife sur notre folle soirée. Elle nous annonce que Lola a fort apprécié et est prête à se joindre à nous pour nos futures séances de débauche. Elle nous apprécie.
— Oui, j’ai vu qu’elle en pinçait pour Marc.— Exact. Elle m’a soulé sur tout le chemin du retour.
On part tous les trois dans un fou rire communicatif. On commande une petite salade que Laura s’empresse d’aller nous chercher. Une fois repu, on se dit au revoir, qu’on la tient au courant. On déambule dans la zone naturiste, nu, forcément. On se tient amoureusement par les hanches. On s’échange de petits bisous. Ma main dérape sur le sillon de son cul. Je lui malaxe ses fesses. On s’arrête à un bar, ma chérie commande une glace, une bière pour moi.Une fois de retour chez nous, c’est calmement, mais amoureusement que l’on s’endort.Le début de semaine est calme. Mon épouse et moi, on se retient pour le week-end. On alterne entre plage naturiste, marché, petit passage au bar. Jeudi, Laura nous demande si nous avons quelque chose de prévu vendredi soir.
— Non, on ne prévoit jamais rien, lui répond Estelle, on prend la vie comme elle vient. Pourquoi ? C’est Lola, je parie.— Oui, elle nous invite tous à une petite fête chez elle.— Je veux bien, mais où habite-t-elle ?— Je viendrai vous chercher. 15 h 00 ?
Estelle me regarde en rigolant. Elle lui répond.
— et le dress code.— A poil, la villa de sa mère est en zone naturiste.
Ouf, je crois que l’on va monter dans l’échelle sociale de ce village. L’endroit put le fric, le sexe et d’autres choses peu recommandables. Je n’ai jamais vu les filles fumer, alors pas de risque de ce côté-là. Je regarde ma femme, elle se mord les lèvres.
— C’est d’accord, on sera à l’heure.— T’es un mec génial. Il y aura mon père et Charlotte. Tu peux appeler Romu ? Mes deux petites sœurs de Lola en pincent pour lui.— Et toi ?— Non, et puis il y aura mon mec du moment.— Tu ne nous as pas présentés, lui lance Estelle.— Normal ; je ne le connais pas encore... Hihihi.
On éclate tous de rire. On se sépare en confirmant notre rendez-vous.
Vendredi, 10 h 00, Romuald est à l’heure. On a prévu de nous faire chouchouter par notre esthéticienne. Une demi-heure plus tard, on est chez Monique, Momo. On est accueilli comme des stars. Comment vous la décrire ? Momo est une star dans le village, une pro, ça fait 30 ans qu’elle pratique et elle en a vu passer. Elle a 65 ans, un visage qui respire la sympathie, des seins en poire qui retombent et elle est grande, 1 m 85. Elle est fine, ne pèse que 60 kilos, selon ses dires. Bref une belle vieille.
— Alors, mes chéris. La totale ?— Oui, surtout pour le p’tit jeune, j’ai vu des poils disgracieux, lui dit Estelle.— Je m’en occupe, je vais vous mettre entre les mains de Chantal.
Une fois l’épilation intégrale terminée, Chantal est en train de nous prodiguer un masque sur le visage.
— Monsieur et Madame sortent ce soir ?
Sans lui dire où nous allons, nous ne le savons pas nous même, on lui explique que l’on va à une petite sauterie. Elle me demande si je désire que ma femme arbore des bijoux intimes à pince.
— Demandez-le-lui !
Estelle accepte. On en avait parlé en début d’été de se faire percer les tétons, les lèvres, et son capuchon, mais elle n’a jamais osé passer le cap. Après avoir passé deux anneaux aux tétons, deux aux grandes et petites lèvres, elle essaie son capuchon, mais cela ne tient pas.
— C’est le problème quand on a un clitoris trop développé, lui dit Chantal.— Comment ? Ça ne tient pas ? s’énerve Momo qui a entendu.
Elle regarde le clito de mon épouse.
— C’est vrai qu’il est énorme. Attendez, j’ai une solution.
Elle part et revient aussi sec. Elle passe un anneau avec une petite chaînette sur la petite bite de ma femme. Il rougit et gonfle aussi sec. Elle lui conseille de l’enlever de temps en temps et qu’elle ferait mieux d’en poser un vrai.
Romu, qui nous attendait dans la salle d’attente, souffle quand il voit Estelle.
— Tu es magnifique, lui dit-il en rougissant.— Tu es mignon, lui répond-elle en l’embrassant avec la langue.
Gêné, il me regarde et vu l’absence de réaction de ma part, il prolonge ce baiser.
— Ils m’ont l’air de bien se connaître, dit Chantal.— Tu ne peux pas imaginer.
Je règle, les bijoux seront remboursés si Estelle s’en fait poser des vrais. On rentre à la maison.
— Tu t’occupes de Romu, j’ai à faire.
Elle repart comme si sa vie en dépendait.
— Je ne sais pas où elle part, mais ça semble urgent. Bon, allez, à la douche.
Je savonne Romu, il me branle en m’embrassant. Il a l’air d’y avoir pris goût. Je place ensuite la canule à lavement sur le tuyau de douche et l’insère délicatement. Ça rentre tout seul.
— Tu t’es entraîné ?— Oui, j’ai un peu honte, mais j’aime les lavements profonds et poussés... Humph... Oui...— Comme celui-là ?— Han, oui...
Je le remplis comme une outre. Son ventre se gonfle. Je retire l’instrument de torture et lui demande de se mettre un doigt et d’aller se vider. Je me lave aussi. On prépare un petit encas et on attend Estelle, qui tarde, tarde. Elle n’a pas l’habitude de se faire appeler "Désirée". On se boit une petite bière, assis sur un sofa de notre alcôve, elle arrive essoufflée.
— Salut, les hommes, ne bougez pas. J’ai un truc à vous montrer.
Elle part direction la salle de bain, ressort rapidement nue. Romu et moi, on doit avoir la tête de deux ahuris. Elle s’est fait percer. Ses tétons avec des barres avec des petits cœurs, ses grandes et petites lèvres avec des anneaux, son fourreau il y a un anneau avec deux chaînettes. Elle s’est fait poser un piercing sur sa fosse nasale, comme la célèbre
— vache qui rit.
Je me lève et la prends dans mes bras. Elle a un mouvement de recul.
— Je t’ai fait mal ? Pardon mon cœur.— Non, c’est juste l’appréhension. Mais Chantal m’a interdit la piscine et la plage.
Je l’embrasse. Romu bande, moi aussi d’ailleurs, mais on est invité et ça risque d’être un peu sportif. Estelle s’installe à la petite table de salon de jardin et savoure la petite salade préparée par Romuald. On n’a d’yeux que pour les bijoux de ma femme, elle nous sourit.15 h 00, Laura nous emmène chez Lola. On arrive en zone naturiste, on se met dans la tenue adaptée à l’endroit. On passe devant de somptueuses villas. Ici, tout est "open", pas de barrière ou de portail. Juste de petites haies délimitent votre terrain. Lola, qui visiblement nous attendait avec impatience, embrasse Laura, Romu et Estelle. Elle a un temps d’arrêt devant moi.
— Vas-y, lance mon épouse, tu en meurs d’envie.
Lola se pend à mon cou et m’embrasse goulûment. Estelle me sourit. Je lui fais un petit clin d’œil. Lola nous emmène sur une immense piscine à l’arrière de la somptueuse villa. Choa et Charlotte sont déjà là. Choa félicite ma femme sur ces choix de piercing. Les deux petites sœurs de Lola, Aurélie et Camille, viennent nous embrasser. Elles kidnappent Romu au passage et l’entraînent vers un petit groupe de jeunes gens installés sur des coussins gonflables. Charlotte emmène son mari et ma tendre vers des gens plus âgés. Lola me prend par la main. On traverse un labyrinthe de petits couloirs, de salles et de salons jusqu’à une porte coulissante à double battant. Elle toque et entre.
— Maman, Papa, vous êtes là ?— Quoi ? Tes parents sont là ? lui murmurais-je à l’oreille.— T’inquiète pas, me répond-elle, ils sont... Comment dirais-je, très ouverts et très gentils.— Oui ma chérie, on arrive. Ton ami est là ?— Oui, oui...
Une porte s’ouvre et apparaît une plantureuse femme, 45 ans je dirais, brune aux cheveux longs, grande, yeux marron, à la poitrine énorme, des hanches bien marquées sur des fesses grosses et fermes et des cuisses musclées. Le pubis glabre et joliment décoré d’une pierre rouge sous le fourreau d’un clitoris déjà sorti de sa cachette. Je sais de qui les trois sœurs tiennent. Elle s’avance vers moi et me tend la main. À peine a-t-elle pris ma pogne qu’elle me tire à elle et m’embrasse.
— T’aurais pu attendre, dit une voix masculine.
Le père est tout aussi grand que sa femme. Pas laid ni trop beau, il vient me serrer la main. Je lui donne 30-35 ans. Je le connais à peine et je le détaille déjà. Surtout sa queue épaisse et son joli petit fessier. Mon érection revient.
— Enchanté, Monsieur. C’est Marc.— C’est Paul... Et on se tutoie. Il me sourit. Je vais rejoindre les invités. À plus, mon amour.— Et moi, c’est Amélie, Mél pour les intimes et je crois qu’on va le devenir très vite.
La mère m’entraîne, avec sa fille, dans un petit salon attenant à leur chambre et m’invite à m’asseoir dans un énorme sofa. Elle s’assoit à ma droite, Lola à gauche.Elle m’explique alors la situation familiale. Son ex-mari est mort dans un accident d’avion après la naissance d’Aurélie. Mais passe vite fait sur ce triste chapitre. Paul était le petit frère prévenant et réconfortant. Il a 30 ans. Il a élevé les filles comme ses propres enfants. Ils ont toujours vécu ici, dans cette somptueuse villa. La relation incestueuse avec les filles a commencé il y a à peine six mois, à la majorité de la petite dernière, tout bêtement quand vous voyez votre conjoint bander en regardant vos filles, autant qu’ils fassent ça devant elle.
— J’ai appris pour mes trois filles et votre folle soirée de l’autre jour, on se raconte tout. Lola nous a bassinés avec votre prénom toute la semaine. Et Marc par-ci, et Marc par là...
Bon, allons rejoindre mes invités. Ah, j’oubliai. Ici c’est à poil et sans poil, mais inutile de vous dire cela. Il paraît que votre épouse soit dans cet état d’esprit également.
Elle se lève, on la suit en se donnant la main. Lola semble heureuse et c’est bien là le principal. Je mate le cul de Mél, il semble ferme malgré son volume. Ses cuisses sont joliment dessinées.
— Vous êtes sportive ? (Pourquoi cette question idiote).— Oui, me répond-elle sans se retourner, tous les jours et on a un petit endroit pour cela et bien d’autres choses. Mes filles vous montreront ça plus tard.
Lola est rouge de honte et j’ai hâte de découvrir cet endroit. On est au bord de la piscine et les festivités ont débuté. Estelle est subjuguée par le charme que dégage la maman de Lola. Aurélie et Camille sont agenouillées devant Romu et la façon dont elles remuent la tête, elles n’enfilent pas des perles. Choa prend sa chère et tendre en double avec un mec inconnu. Ils s’embrassent à trois langues. Plus loin, sur la pelouse, une jeune, très jeune blondinette est prise missionnaire par un type de l’âge de son grand-père. Je cherche ma douce. Elle est en 69 avec Mel, Mel étant au-dessus. Je décide d’aller les rejoindre. Ne voulant pas être un malotru, je présente ma queue à la bouche de la Maîtresse de maison. Elle me sourit et me gobe le gland. Lola, cette petite cochonne, me gobe les couilles. Je vois Paul qui se fait sucer par deux vieilles aux seins minuscules. Laure est bien occupée à lécher les bites de trois mâles. Elle y met du cœur et de la salive.
Un mec inconnu vient fourrer sa queue dans la chatte d’Estelle. Elle est en extase vu le diamètre imposant de la queue qui la perfore. Il donne des claques sur les fesses de Mél. Elle a l’air d’aimer cela. Information enregistrée. Elle arrête de m’astiquer la bite et se met à quatre pattes, la tête au niveau de celle d’Estelle. Lola qui n’a pas bougé bouffe l’abricot maternel avec gourmandise. Je pointe mon sexe sur les lèvres de Mél. Elle me prend la bite et la pose sur son anneau plissé. Elle se dégage de la bouche de ma Femme et me regarde.
— Il paraît que t’es un pro de ce côté.
Elle replonge sur la bouche d’Estelle. L’invite est trop belle et j’ai à peine à forcer, mon nœud est littéralement aspiré. Quel bonheur d’avoir sous les yeux un popotin si imposant, si ferme, si imposant, si accueillant ! Je lui administre une fessée sur son large fessier.
— Han, oui...
Je me mets sur la plante de mes pieds et la burine comme un sauvage. Je suis comme un jockey sur sa monture. Lola en profite pour lécher ma bite dès qu’elle le peut. Mon ventre claque sur les fesses de Mél. Je la tiens parfois par les hanches, parfois par les épaules. Elle réagit comme une folle quand je lui tire sa tignasse.
— Ne... jouis pas... En moi. Il faut remplir... Han, putain que t’es bon. Remplir le verre... HUMPH... Le verre qui est... Là-bas... Sur le "mange-debout.— C’est pour le final, dit Lola en venant m’embrasser. Tu vas adorer.
Elle hume bon le parfum intime de sa mère. J’adore. Elle me tend son menton à lécher. Divin. Le mec qui était en train d’entreprendre ma moitié se lève et l’entraîne au verre. Il est déjà bien rempli. Ma femme masturbe le type qui rajoute sa participation. Il remercie ma femme d’un petit bisou.Je ne sais pas combien de temps on a tous baisé, mais cela doit faire un temps certain, car le soleil décline lentement. Choa est moi on s’écarte.
— T’as niqué avec tout le monde ?— Ouais, je crois.— Tu t’es fait enculer ?— Non, tu sais, une cavalcade sans éjaculation, c’est mon truc.— vu de ce point de vue là, tu as raison.
La maîtresse de maison rappelle tout son petit monde autour d’elle.
— Mesdames, mesdemoiselles, Messieurs... Vous avez dû remarquer que ma fille Lola avait invité trois nouvelles personnes. Je vous demande d’applaudir Romuald, Estelle et son époux Marc.
On est tous les trois confus.
— Mon mari a tiré au sort les gagnants du final qui sont ?— Je vous jure que c’est au hasard. Estelle et Marc.
Tout le monde nous applaudit.
— Lola, je t’en prie.
Elle arrive avec le verre et verse son contenu sur nos trois visages, nos bouches. On en a partout. On s’embrasse, se lèche, on aspire tout jusqu’à la dernière goutte. C’est de perversion à l’état pur. Certains penseront que c’est purement dégueulasse et je peux le comprendre, mais Estelle et moi aimons ça, et Lola aussi. Je crois que l’on va apprendre beaucoup. Je regarde autour de moi et chaque gars a une gonzesse à ses pieds. Ça pompe dure. On se masse de cet étonnant breuvage.On est passé par une étape douche à l’extérieur.
— Tu veux te faire enculer ? me demande tout de go Lola, Estelle éclate de rire.— Il y a un homme vaillant pour cela ?— Viens.
Elle m’entraîne devant Paul. Sa queue pendouille un peu.
— Papa, tu veux bien sodomiser Marc ?— Euh... Oui, mais il va falloir me remettre en forme.
Lola s’agenouille devant le chibre de son père et le prend en bouche. Paul me tire à lui pour me rouler un patin. Je lui caresse les fesses. Je sens une langue sur mon anus, c’est Estelle. Je me cambre pour lui faciliter la tâche. Le baiser est interminable, quand il me fait mettre en levrette. Mon épouse s’assoit devant moi et elle me dirige fermement vers sa chatte, que je me mets à déguster. Je sens le gland de mon nouvel ami me pénétrer.
— Putain, ta chatte, tu as dû en prendre des bites. Ça rentre tout seul.
Je souris intérieurement, ne voulant pas quitter la moule de ma salope de femme. Il arrive en butée et je m’étonne d’accepter un tel calibre. Il me demande si ça va, je lui réponds par l’affirmative.
— T’es trop bon. Ton petit cul de négresse est un appel à la défonce.
C’est la première fois que l’on me dit que j’ai un cul de négresse, mais si ça lui fait plaisir. Il me lime le cul, j’aime ça et je geins dans le sexe de ma femme. Il me retourne, met mes jambes sur ses épaules et m’embroche d’un coup. La vache que c’est bon. Je jouis bruyamment ce qui donne de l’ardeur à mon enculeur. Parfois, il ressort entièrement pour mieux me pénétrer. Puis, dans une dernière poussée, il m’inonde mes entrailles. Je suis bras en croix, les yeux fermés, je suis sur un petit nuage. Je sens un liquide chaud me remplir, il urine dans mon cul. Pourquoi pas, mais c’est pour moi une grande première.
— Toi et ta femme êtes les bienvenus. Regarde-les.
Lola et Estelle sont en 69.
— Ils sont tous partis à la plage. Il ne reste que nous cinq. Vous n’avez pas un peu Faim, dit Mél en donnant un baiser à son mec.— Laisse-moi finir et on arrive.
Elle décolle les deux filles et s’en va se mettre à table. On les rejoint non sans avoir pris une douche. Je suis confus de la traînée que je laisse derrière moi.
— T’inquiète, les femmes de ménage en ont vu d’autres. La prochaine fois, ce sera peut-être moi.
Je veux bien le croire. On parle des études des petites. Lola est en FAC de médecine, Camille est en étude de droit et Aurélie a eu son Bac S. Trois petites têtes bien remplies. On apprend qu’elle travaille pour un grand groupe pétrolier français, elle n°3 du groupe. Lui, il vit sur les rentes de sa femme. Non pas par fainéantise, mais pour être un papa au foyer. On leur dit que nous travaillons tous les deux à la FAC de Montpellier, dans l’administration. Estelle étant responsable des étudiants, moi je suis DRH, Numéro 2 après le Doyen de l’entreprise, car c’est une entreprise.
— Vous allez revenir ? nous questionne Mél.— Certainement, répond Estelle, mais on n’aime pas trop les soirées organisées, on préfère l’imprévu. Tu tires un coup et...— Tu te casses.
On éclate tous de rire. Mél nous demande si l’on veut visiter. On la suit, moi les yeux rivés sur son fessier. Paul me sourit. On passe dans la salle à manger, immense. S’ensuit un boudoir pour hommes pour y fumer. Un boudoir pour femmes, histoire de papoter. De l’autre côté, une immense cuisine qui ferait pâlir d’envie Laurent Mariotte. Ensuite, une buanderie digne d’un grand hôtel. La chambre parentale que j’ai déjà visitée. La chambre des filles, car oui, depuis toutes petites, elles ne se sont jamais séparées. Un grand lit d’une largeur de cinq mètres y trône. On enchaîne sur une salle de "home-cinéma", magnifique. Une immense salle de bain avec trois douches à l’Italienne et trois jolies vasques. Elle nous fait visiter quatre chambres d’amis, toutes équipées d’une salle de bain.
— On les fait entrer ? demande Mél à Paul.— Bien évidemment, ils font désormais partie de la famille.— Je vous demande de tenir secrète la présence de cette pièce. Seuls nous cinq sommes autorisés à y entrer.
Après avoir déverrouillé à l’aide d’une carte magnétique, elle tire sur les deux lourds battants coulissants et le choc...
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