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Au bureau avec ma secrétaire.

Chapitre 1

Hétéro
Après mes études, j’ai d’abord été embauché par une grosse société auprès de laquelle j’avais fait mes stages pratiques. Je m’occupais principalement de tout ce qui touchait aux systèmes de climatisation, que ce soit la production du froid ou du chaud dans les immeubles que construisait la société.Quelques années plus tard, ayant reçu une importante donation de la part de mes parents et l’héritage reçu au décès de mon parrain, j’avais monté mon propre P. M. E. à une centaine de kilomètres de la société qui m’avait formé... J’avais signé à mon départ une clause de non-concurrence...
Ayant conservé des liens avec l’I. U. T. où j’avais effectué mes études, j’ai embauché deux étudiants fraîchement diplômés qui se sont immédiatement enthousiasmés pour mon projet. Avec la secrétaire, nous formions une petite équipe de jeunes trentenaires très soudée et au bout la première année, la boîte était bien lancée... Les contrats rentraient bien, mes jeunes collègues ne ménageaient pas leur temps au point que pour les soulager un peu, j’ai dû recruter un dessinateur...
Bref... Tout marchait bien... jusqu’au jour où la secrétaire m’a dit qu’elle attendait un bébé et qu’à l’issue de son congé parental, elle voulait se consacrer à son enfant et à son mari. Cela ne m’arrangeait pas... mais c’était son choix.Pour faciliter la transition, j’ai fait appel à une boîte d’intérim du secteur pour trouver une secrétaire immédiatement opérationnelle...

La quatrième fut la bonne !C’était une femme de 40 ans qui souhaitait reprendre un travail après avoir amené ses deux enfants au seuil de l’adolescence et qui selon elle, n’avaient plus besoin de quelqu’un en permanence derrière leurs fesses ! Ah... j’allais oublier : elle était divorcée depuis longtemps...Si j’ai été séduit par son curriculum vitae et les appréciations très élogieuses de ses anciens employeurs, je dois avouer que son allure a facilité mon choix...Relativement grande pour une femme de sa génération, Diane a une silhouette très agréable à regarder... Blonde comme les blés murs, avec de longs cheveux rassemblés en chignons sur la nuque, elle a une allure folle... Son visage à l’ovale parfait est éclairé par de grands yeux gris et une bouche aux lèvres ourlées, toujours fardées avec soins.Sa silhouette de jeune femme mature m’a également séduit : une poitrine un peu avantageuse, des hanches galbées et des jambes interminables... ce que j’aime chez une femme !
Diane me rappelait un peu en blonde, la demi-sœur brune de mon père... et dont je conservais le souvenir ému : n’était-ce pas elle qui entre mes 16 ans et ma majorité avait fait de moi un inconditionnel des jolies femmes après qu’elle m’ait dépucelé (son cadeau d’anniversaire avait-elle dit alors...) et la liaison torride qui nous avait réunis ensuite pendant presque deux ans... Elle m’avait tout appris sur les femmes et ce qui leur faisait plaisir en matière de sexe !Depuis, je passais auprès de mes conquêtes d’un soir pour un bon coup ! Et je ne m’en privais pas... Chaque week-end ou presque, une nouvelle fille partageait mon lit !Je me trouvais encore jeune pour me fixer...

Les premières semaines avec Diane ont confirmé que j’avais fait le bon choix... Elle était ponctuelle, affable avec les clients, sachant répondre et éventuellement filtrer les appels téléphoniques... Quand le besoin s’en faisait sentir, elle ne rechignait pas devant des heures supplémentaires... Elle était parfaite ! Et comme en plus elle était très agréable à regarder... c’était vraiment TOP !
Nos relations étaient franches et cordiales... et il en était de même avec les autres collaborateurs et de temps à autre, il nous arrivait de la chambrer en disant qu’une jolie femme comme elle devait avoir pas mal de soupirants...
Elle répondait par une pirouette pleine d’humour...
Mais un soir, tout a basculé...Diane était venue comme chaque jour en fin de journée me donner à signer le courrier et les divers devis élaborés afin que je les valide pour qu’elle les mette à la poste à la première heure le lendemain...
Elle avait quelque chose à m’expliquer sur un dossier un peu complexe qu’elle avait mis en forme...Pour le faire, elle a contourné le bureau et elle est venue à côté de moi.Je sentais son doux parfum qui, je dois l’avouer, m’avait toujours quelque peu émoustillé... Elle était de plus en plus proche de moi et soudain, j’ai senti le poids de sa poitrine s’appesantir sur mon épaule...
Etait-ce une invitation ? Je l’ai pris comme telle... Ma main droite est passée sous la jupe et je l’ai remontée le long du bas qui a crissé sous mes ongles...Diane ne disait rien... Elle s’était simplement redressée, comme si elle attendait quelque chose !Qui ne dit mot consent ?Quand je suis arrivé en haut, j’ai senti la peau nue et chaude sous mes doigts...Diane ne disait rien... Plus haut, je m’attendais à trouver le tissu d’un string mais il n’y avait rien... Rien qu’un entrejambe nu et un sexe qui suintait doucement !Nous nous sommes fait face... moi assis dans mon fauteuil de patron, Diane debout, employée modèle... prête à tout ce que je voudrais... Aucune parole n’était échangée...Ma main fouillait ce sexe qui s’offrait... Je ne le prenais pas... car Diane avait ouvert le compas de ses cuisses comme pour me dire : « continue... c’est bon ! »Et j’ai continué... Je ne voyais pas ce que je faisais... la jupe était toujours rabattue sur mon avant-bras, mais j’ai su ouvrir les nymphes pour aller chercher son clitoris et le faire saillir hors de son capuchon... puis, j’ai introduit deux doigts dans le sexe décidément de plus en plus humide pour amener Diane à la jouissance !
Cela n’a pas tardé ! Dans un souffle, elle m’a dit :
— Merci... Depuis le temps que j’attendais ce moment...— Comment ça ? Tu m’étonnes !— Je connais ta réputation de coureur de jupons... Je me demandais quand tu te déciderais... Presque deux mois que je te provoque... Un mois où je ne porte plus de culotte ou de string...— C’est vrai que j’ai toujours apprécié tes tenues, ton élégance discrète... mais de là à en arriver à te faire jouir sous mes doigts...— Mais c’était si bon... et toi, je suppose que tu bandes dans ton pantalon ?— Oui, j’avoue que je suis excité !— Rangeons tout et emmène-moi chez toi... La soirée est trop bien commencée !

Moins de quinze minutes plus tard, nous rangions nos voitures au pied de l’immeuble et l’ascenseur nous emmenait au quatrième et dernier étage... A peine entrée, Diane voulut prendre une douche :
— Après une journée au bureau, je me sens sale... après, je suis à TOI !— OK... pas de problème... pendant ce temps là, je vais nous préparer un en-cas pour plus tard !
En fait, quand elle a découvert mon immense cabine de douches avec les jets multiples, Diane m’a proposé de prendre la douche en même temps qu’elle !Elle s’est rapidement déshabillée, la jupe, la veste de tailleur, le chemisier se sont retrouvés à terre, Diane ne portait plus que son soutien-gorge et ses bas maintenus par un serre-taille assorti...
Je n’en pouvais plus... Je me suis désapé aussi vite et quand nous avons été nus tous les deux, nous sommes entrés dans la cabine...La douche à deux s’est transformée en une série de baisers, de caresses, et finalement, Diane s’est agenouillée devant moi et a embouché mon sexe...Waouh... que sa bouche était chaude et sa langue habile...Sous la pluie de la douche, Diane allait et venait sur mon sexe qui butait parfois au fond de sa gorge, elle me pompait avec ardeur et d’une manière très savante, alternant les gorges profondes avec des baisers et succion sur mon gland... Je n’en pouvais plus tant cette caresse était bonne... mais j’en voulais plus !
— Viens... séchons-nous et passons dans la chambre... Nous y serons mieux !— T’as raison, j’ai envie de sentir ta bite en moi ! Elle n’est pas très longue mais j’apprécie son diamètre !
Pas besoin de préparatifs supplémentaires... Diane s’est allongée sur le lit, les bras et les cuisses ouverts... le sexe suintant d’humidité ou de cyprine... et moi, le sexe dressé devant mon pubis, j’ai porté l’estocade sans attendre...Les fantaisies, ce serait pour plus tard...Nous avions envie de baiser...Pourquoi tergiverser ? Nous ne nous sommes même pas posé la question du préservatif !Quand j’ai été bien ancré en elle, Diane a refermé ses bras sur mon dos et noué ses jambes autour de mes reins et disant à mi-voix dans une sorte de délire sensuel :
— Baise-moi... mais baise-moi... C’est si bon d’avoir un homme qui vous baise !
Je ne cherchais pas à analyser... Mon sexe allait et venait au fond de son sexe qui était de plus en plus chaud et humide... mais je me retenais de toutes mes forces, car après la fellation, je ne voulais pas m’épancher tout de suite... je voulais faire JOUIR ma partenaire avant d’inonder sa chatte de mon sperme !
— OUI... Oh oui... ouuuiii ! Je vais venir ! Vide-toi dans ma chatte de salope ! ça fait si longtemps !
Et au moment où la jouissance emportait Diane, j’ai largué quelques giclées de foutre au fond de sa chatte en poussant un grand râle de jouissance...Pour achever de tirer les dernières gouttes, je sentais les muscles intimes de Diane masser mon sexe encore enfoui dans le sien.Puis elle m’a désarçonné et s’est agenouillée entre mes jambes :
— Toi mon coquin, je ne vais pas me contenter de cela... Je n’en ai pas fini avec toi... Je vais t’assécher les couilles !— Si tu veux... Une belle meuf comme toi, c’est fait pour être baisée dans tous les sens !— OK... ça me va ! On verra bien demain... je risque de ne pas être très fraîche au boulot !— Je ne te bousculerai pas !
Diane s’est mise à cheval sur mon pubis, son sexe au contact du mien, elle a commencé à aller et venir sur ma bite logée contre son périnée... Sa chatte bavait et je n’ai pas tardé à bander à nouveau comme un taureau...
— Je savais que cette caresse te ferait de l’effet !— Oui... c’est bandant !— Tu vas voir... ça va encore être meilleur !
Elle s’est retournée et m’a à nouveau chevauché en me tournant le dos... Elle a pris mon sexe d’une main et le dressant à l’entrée de son vagin, elle s’est laissé descendre engloutissant ma bite au plus profond entre ses lèvres vaginales.Elle est restée ainsi quelques instants puis elle a commencé à s’agiter, à monter et descendre sur Priape... Je voyais sa raie s’ouvrir quand ses fesses venaient au contact et j’apercevais son œillet palpiter... C’était excitant au possible même si je ne suis pas un adepte forcené de la sodomie !C’était Diane qui pilotait... et je me retenais pour ne pas jouir trop vite... quand j’ai à nouveau senti ses muscles internes masturber l’extrémité de ma verge... J’ai soulevé brusquement mon bassin à plusieurs reprises et nous avons joui en même temps... je me vidai à nouveau contre sa matrice !

Quelque temps plus tard, nous étions allongés dans le bras l’un de l’autre sans rien dire... Diane caressait doucement mon sexe qui commençait à reprendre vie... Nous étions bien... et quand elle a jugé que j’étais à point après m’être sucé, elle s’est tournée vers moi :
— T’as des capotes et du gel ? J’ai envie de sentir ta bite dans mon cul... ça fait plus de deux ans que personne n’est passé par là ! Les godes... j’en ai soupé !— Des capotes... Bien sûr... j’en ai... mais du gel, on va trouver de quoi le remplacer...
Je suis allé chercher une noisette de beurre dans le réfrigérateur et j’ai commencé à masser l’œillet de Diane avec deux doigts pour lui graisser le sphincter...
— Oh... C’est froid... mais c’est bon...
Pendant que je m’étais absenté, elle s’était mise en levrette m’offrant l’intégralité de ses orifices... Sa rondelle palpitait d’impatience...Quand j’ai senti que son sphincter était bien ouvert et graissé, j’ai enfilé le préservatif et j’ai placé mon gland sur « l’entrée interdite » et lentement, je suis entré jusqu’à la garde... Mon pubis se logeant contre les fesses de Diane !
— Vas-y... encule-moi... j’ai envie de te sentir dans mon cul !
Elle n’avait pas besoin de m’encourager... je la maintenais par les hanches et ma bite allait et venait de plus en plus vite dans son sphincter...
— Vas-y... crache ton sperme... Oui... je jouis... c’est bon !
Effectivement, je me suis répandu au fond de la capote au moment où Diane commençait à jouir !

Nous nous sommes endormis quasi instantanément...Le lendemain matin, Diane est repassée par chez elle et elle est arrivée au bureau à l’heure, fraiche et pimpante, comme si sa nuit avait été calme et sereine !
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