"[...] pour apprécier la pénétration. Une fois en elle, le visage de Véro se tourna vers moi [...]"
Quelle souplesse ! Et lui, il l'attendait à l'intérieur ?


"J’ai ensuite pris Véro sous mon bras pour nous rendre tous les trois chez lui."
J’ai oublié de préciser qu’elle est cul de jatte, mais que son handicap ne l’empêche pas d’écarter les cuisses.


"Pour ne pas être gêné par la braguette qui, du fait de mon érection, risquait d’être douloureuse [...]"
Ah, ces nouveaux textiles sensitifs… On n’arrête pas le progrès !


"[...] il lui demanda d’attendre deux minutes avant d’enlever la main de son sexe. Ce dernier se déplaça, se mit à genou [...]"
Ce n’est que lorsque ma copine m’avoua qu’elle habitait la région de Tchernobyl que je compris pourquoi il était vert fluo et qu’il avait des dents.


"[...] en creusant le bassin en avant."
Contorsionniste dans un cirque, ou pour faire une piscine ?


"[...] en revenant vers nous entouré de son peignoir."
Avec ces nouvelles fibres textiles, il faut s’attendre à tout.


"J’ai profité du fait que ma puce bascule sur le lit pour ouvrir ses cuisses aux trois quarts vers la fenêtre et me placer entre celle-ci pour l’honorer à mon tour."
Un fétichiste des fenêtres... Je ne connaissais pas cette perversion-là !


"De sa main droite, il a remonté ma robe et branle violemment ma petite culotte blanche."
Et la petite culotte jouit dans un grand cri. Encore un fétichiste des nouvelles fibres textiles !


"J’avais un peu honte qu’il m’observe avec cette petite zigounette-là."
Un nouvel instrument d’optique ?


"Soupesant de ses mains sa poitrine corpulente [...]"
C’est ça, l’habeas corpus ?


"[…] une musique salsa recouvrait nos ébats […] la musique battait son plein."
Une couverture musicale dont le son n’était pas creux…


"J'avais le paquet de mouchoirs à côté de moi, j'ai commencé à le branler."
Encore un fétichiste !


"Je suis assez fière de mon pénis, elle fait 18 cm et 7 de large."
Le professeur de physiologie : « Prenez note que le clitoris des lesbiennes est tellement développé qu’on le dénomme pénis ; c’est pourquoi elles n’ont pas besoin d’hommes pour copuler. Mais, pour distinguer cet organe de celui des hommes, ce nom est féminin : on dit "une pénis". ».


"Élisa regarda l’interne saisir une capote dans sa poche qu’il devait réserver à Coralie l’infirmière, la rouler sur sa hampe et la prendre par les hanches pour s’enfoncer en elle avec précaution, comme s’il voulait éviter de la casser."
Mais non, tu ne risques pas de la casser, ta capote : elle est extensible. Alors, prends-la par les hanches – jusque là, ça va – et enfile-la d’un bon coup, surtout qu’elle est lubrifiée !


"Elle regardait mon gland sans doute un peu humide dans les yeux..."
C’est ce qu’on appelle avoir une tête de nœud.


"Mon père me mater en se carençant."
Une nouvelle pratique ?


"Je vis son engin s'élever comme le jour de la lever des drapeaux lors des commémorations."
Ce n’est pas pour rien que les drapeaux sont fixés sur une hampe !


"Il attrapa ma main et la passa sur sont torse muscler en descendant vers sont pénis qui former une légère bosse, a cette vision je me suis penser qu'il été monter comme un cheval se qui me fit frémir la vulve."
C’était le cheval de Trois (centimètres).


"[...] puis je remonte doucement sur le devant de ta jambe de haut en bas."
Elle en était toute retournée !


"Je ne tardais pas à éjaculer dans sa bouche et au même instant l'homme et son énorme traquenard déversait son foutre dans sa chatte."
Elle était prise au piège.


"[…] ses seins, déjà bien formés avec des teutons bien larges.
Pas de quoi s’étonner : outre-Rhin, ils abusent de bière et de choucroute.


"[…] puis au fur et a mesure que je le suçait je me déshabilla entièrement avec mon cul un peu dilater."
Moi, pour me déshabiller, j’utilise mes mains ; mais certains recherchent la complication…


"Je soulève mon bassin en ramenant mes genoux sous mes cuisses."
Oui : sur Altaïr IV, nos jambes ont une articulation supplémentaire par rapport aux Terriens.


"Je me suis donc retrouvé en string devant l'homme qui allez me défleuré l'anus."
Cul-tivons notre jardin…


"Elle : « C’est avec ça que tu aimerais niquer ta cuisine » ?"
Encore une nouvelle perversion... Mais que vont-ils inventer ?


"Je posai sa langue sur sa fente humide."
Un avantage lorsqu’on pratique la zoophilie avec un caméléon ou un fourmilier.


"[...] son regard se posa sur mon sexe en érection qui pensait à la suite des événements."
Après « Le sexe qui parle », voici « Le sexe qui pense » !


"C'est alors que ma bite tombe sous la fellation de Rachel."
Pourtant, je lui avais bien précisé de ne pas mordre !

"Je posai sa langue sur sa fente humide."
Un avantage lorsqu’on pratique la zoophilie avec un caméléon ou un fourmilier.

C'est un tamanoir a ce stade ! rire

Merci lioubov pour cette tranche de rire des le matin

"[...] avec ses mains il me reprit les seins à pleine main [...]"
Un quadrumane ? Zoophilie avec un singe ? Et Manuel les empauma avec un pléonasme.


"[...] alors que lui me dévorait la poitrine à pleine bouche à l’aide ses mains baladeuses."
Manuel a même des mains carnivores…