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Vacances avec ma Filleule

Chapitre 12

Inceste
La soirée s’est passée sobrement ; je pense que tout le monde était nostalgique en pensant à la fin des vacances. Après un moment quand même fort agréable, nous rentrons à la maison. Delphine passe à la douche et va se coucher directement, se plaignant de son ventre : c’est vrai que malgré les recommandations du gynéco, elle n’a pas chômé ! Alex me propose de dormir avec elle, prétextant le fait que sa tante mérite d’être seule cette nuit dans un grand lit sans « élément perturbateur » pour un repos complet car demain la journée sera longue à cause des préparatifs de retour. J’accepte, même si je sais ce qu’elle veut en vérité.Nous passons à la salle de bain l’un après l’autre ; Alex commence. Quand c’est mon tour, je trouve les vêtements d’Alex éparpillés sur le sol, hormis son string posé en évidence sur le lavabo. Je le prends et le porte à mon nez et le hume fort pour sentir l’odeur de son intimité ; il est encore chaud et moite. Je fais ma toilette, me déshabille complètement et pars vers la chambre d’Alex avec ce petit bout de tissu sous le nez. Quand j’entre dans sa chambre, elle m’attend, nue sur les draps, fixant mon sexe en érection. Tenu par mon pouce et mon index, je lui tends son bien. •    C’est quoi, ça ? •    Bah tu vois bien, un string ! •    Ne me prends pas pour un con… Pourquoi c’était dans la salle de bain ? Je ne t’avais pas interdit d’en porter ? •    Si, c’est vrai, mais j’avais froid. 
 Elle me fixe droit dans les yeux en faisant une moue de petite fille prise la main dans le sac. Mon cul ! Ce n’est pas 2 cm² de tissu qui vont te tenir chaud. Tu sais ce qui va t’arriver ? Je vais être obligé de te punir.
•    Oh oui, punis ta vilaine filleule !
 Sur ces mots, elle se met à quatre pattes sur le lit, son cul pointé dans ma direction, et me regarde par-dessus son épaule avec son index droit entre les dents. Voyant sa croupe tendue devant moi qui m’offre une merveilleuse vue sur ses trous d’amour, mon sang ne fait qu’un tour. Je m’assois sur le bord du lit près d’elle, passe mon bras sous son ventre et la porte sur mon avant-bras pour la mettre sur mes cuisses ; son ventre nu claque sur mes cuisses quand je la lâche. À peine en position, je lui assène une fessée magistrale qui résonne dans toute la chambre. Alex se cabre et crie de douleur. Trois autres fessées tombent avec la même force ; à chaque fois qu’elle veut mettre ses mains sur ses fesses pour les protéger, je lui pince les tétons et les tortille sans retenue. Comprenant qu’elle doit subir mes assauts sans protester, elle couvre sa bouche de ses deux mains pour essayer de retenir ses cris. Les marques des mes doigts, rouges et boursouflées, zèbrent son divin cul ; des larmes coulent sur ses joues. •    Tu ne croyais pas que pour ta punition j’allais te baiser ?  Elle me fait oui de la tête, couvrant toujours sa bouche, craignant qu’une autre fessée la fasse crier. •    Tu aimes ça, que je te baise ; c’est une récompense, pas une punition.  Je lui caresse son cul bouillant en réfléchissant. •    Tu veux être baisée ? OK, tu vas être baisée !  D’un coup je me lève et laisse tomber Alex de tout son poids sur le sol.
 •    Bouge pas, je reviens.  Je pars dans la cuisine et ouvre le frigo ; je souris : il nous reste un concombre. Je l’attrape et prends par la même occasion l’huile dans le placard et un entonnoir, puis je retourne dans la chambre. Alex est encore sur le sol en chien de fusil, se frottant le cul pour essayer de calmer la douleur. •    Alors comme ça tu veux être baisée ? Eh bien tu va être servie, Mademoiselle : Monsieur Concombre va visiter ton rectum. •    Sérieux ? Mais tu vas me déchirer le cul ! Il est énorme !  Je lui claque à nouveau le cul ; elle crie. •    Tu as voulu jouer et tu as perdu ; tu connaissais pourtant les risques en voulant me provoquer. Monte sur le lit maintenant, cul en l’air, et cale ta tête dans ton oreiller.
 Alex ne bronche plus. Les yeux plein d’inquiétude et avec encore des larmes sur les joues, elle s’exécute. J’admire ma punition : son cul est rouge violacé. J’attrape son collier de chienne qui est sur sa table de nuit et je lui mets. Je prends quelques photos de son minois mouillé de ses larmes et de son cul martyrisé, puis j’ouvre la bouteille d’huile et lui en verse une grande quantité sur le cul. Le contact de l’huile sur sa peau la fait frissonner. Je lui caresse le derrière pour bien étaler l’huile qui doit avoir un effet apaisant car je sens Alex se détendre sous mes doigts. J’en profite pour lui introduire l’entonnoir dans l’anus et j’y verse de l’huile. Son cul commence à bouger comme si elle déglutissait par son sphincter. L’entonnoir vide, je le remplis à nouveau ; elle refait la même chose.
 De ma main déjà huilée, je commence à branler le concombre pour l’enduire à son tour. Une fois brillant, je retire l’entonnoir et présente le bout le plus rond du concombre à l’entrée de son rectum. Alex sait maintenant ce qu’elle doit faire pour ne pas subir cet enculage ; elle pousse pour ouvrir légèrement son sphincter. J’en profite pour pousser à mon tour et faire entrer la pointe du légume dans son cul. Son souffle s’accélère. Je patiente un instant pour qu’elle s’habitue à cette intromission et pousse de nouveau de 3 à 4 centimètres. D’une main, elle essaie de retenir l’objet qui lui perfore les entrailles, mais pour toute réponse elle reçoit une claque sur le cul. Ses mains agrippent les draps tandis qu’elle se mord la lèvre inférieure pour s’empêcher de crier. Je continue ma progression en ajoutant régulièrement de l’huile et en faisant de petits va-et-vient pour aider la pénétration.
 Alex a bien 15 centimètres calés dans son cul quand je commence à la limer avec ce légume phallique. Pour Alex, les débuts sont douloureux ; mais plus je force, moins j’ai de résistance autour du concombre. Pour finir, après une bonne vingtaine de minutes, le concombre glisse tout seul. Je peux même le faire tourner dans son cul et je la lime de plus en plus fort. Ses cris de douleur se transforment en gémissements, puis en feulements. Je m’amuse maintenant à le sortir entièrement pour le faire pénétrer à nouveau ; elle accepte maintenant plus de 30 centimètres de ce phallus végétal.
 Je le retire entièrement, le pose entre ses jambes et prends une photo de son anus totalement dilaté pour lui faire voir demain, puis je remets l’objet dans son fourreau de chair et recommence les va-et-vient. Alex est sur le point de jouir quand tout à coup je lui retire le concombre et lui claque de nouveau le cul. Cette fessée la couche sur le lit. •    Pourquoi tu as fais ça, parrain ? Je ne crie pas et je ne me débat pas. •    C’est vrai, mais rappelle toi que c’est une punition ; donc interdit de jouir ! •    T’es dur… Tu m’as déchiré le cul ; je ne vais plus pouvoir m’asseoir pendant un mois, et maintenant que je prends un peu de plaisir tu me fesses et m’interdis de jouir ? •    Tout à fait ! Je suis ton maître, et tu es ma chienne qui est punie parce qu’elle m’a désobéi.  Alex fait la moue. •    Tu peux bouder, ma chère, mais sur ton tapis dans le salon. •    Sérieux ? •    Oui. Allez, zou !
 Vexée, elle s’assoit sur le lit mais se relève d’un bond, sûrement à cause de la douleur des fessées ou de l’intromission, mais plutôt des deux. Elle quitte la chambre sans un mot en boitant légèrement, me fixant avec un regard de tueuse et se frottant le cul comme pour essayer de le soulager. Je la regarde aller dans le salon, prendre une couverture sur le canapé et se lover sur le carré de mousse qui lui sert de tapis lors de nos jeux. J’éteins la lumière et me couche dans son lit. Dans le noir, je repense à ce qui vient de se passer et je bande comme un âne. J’ai un peu de remords ; je suis peut-être allé trop loin. Je sais que Delphine aime ces séances hard, mais est-ce qu’Alex les aime aussi ? Sans m’en rendre compte, je commence à me branler en repensant à tout ça. Et soudain il me vient une idée ! Je me le lève et je vais voir Alex dans le salon. Elle ne bouge pas. Je la bouscule avec un pied ; elle lève la tête. •    Regarde dans quel état tu m’as mis… •    Et alors, tu veux que je fasse quoi ? •    Suce-moi !
 C’est le test ultime : si elle me suce, c’est signe que malgré la douleur et l’humiliation elle a accepté sa punition ; sinon je m’excuserai et lui permettrai de retourner dans son lit, et moi j’irai dormir avec Delphine.
 Après un court moment de silence, Alex se met difficilement à genoux et agrippe mon sexe bandé qui pointe devant ses yeux. Son premier coup de langue m’envoie une décharge électrique dans toute la colonne vertébrale. Elle gobe mon gland et fait tourner sa langue tout autour. Elle s’amuse à faire rouler mes couilles dans une de ses mains pendant qu’elle engouffre ma colonne de chair dans sa bouche. Comme elle met de l’ardeur à la tâche, il ne me faut pas longtemps pour décharger dans sa bouche. Ma filleule, comme une chienne bien docile, aspire mon foutre jusqu’à la dernière goutte et nettoie ma bite jusqu’à ce qu’elle soit complètement molle. Ceci fait, elle commence à se recoucher sur son tapis. Je m’accroupis et lui tends la main. •    Viens. Tu dors avec moi ce soir.  Elle se relève avec un sourire aux lèvres visible même dans la pénombre. Elle me prend la main et me suit en direction de sa chambre. •    Doucement, parrain, j’ai mal au cul !  Je souris et la prends dans mes bras pour la fin du chemin. Je le dépose sur le lit et commence à lui retirer son collier, mais elle attrape mes mains. •    Non, je vais dormir avec. J’ai été vilaine, alors je dois faire voir à tout le monde que j’ai été punie.  J’empoigne ses joues et me penche pour l’embrasser. Ma langue entre dans sa bouche et commence un ballet sensuel avec la sienne. Ce baiser dure une éternité ; enfin, c’est ce qu’il me semble. Je relâche mon étreinte et Alex se couche directement ; j’ai à peine le temps de faire le tour du lit pour me coucher qu’elle dort déjà.
J’éteins la lumière et m’endors rapidement à mon tour...
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