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La tour d'ivoire

Chapitre 1

SM / Fétichisme
J O, Sophie ...
     D’extérieur le bâtiment paraissait vraiment morne, tapi dans la campagne sans saveur d’un recoin agricole quelconque . Un vaste jardin clos de hauts murs , une route de campagne qui desservait un hameau un peu plus loin, un champs de colza pour seul paysage . Rien de gaie dans ce tableau, pour ne rien rajouter de sympathique, le train qui venait de déposer Sophie dans la minuscule gare grisâtre avait bien 25 minutes de retard et elle avait voyagé quasiment debout durant tout le trajet. Sur ce le chauffeur de taxi qui l’avait convoyé jusqu’ici avait écouté une station de radio quasi inaudible et dont la programmation ne lui plaisait pas . Elle lui fit son chèque, sortit de la voiture et le regarda s’éloigner dans le lointain . 
     Elle serra la poignée de sa valise et s’approcha du portail . Sur la droite une sonnette avec visio, elle pressa la touche et attendit . Sans que quiconque ait parlé, le portail claqua et s’ouvrit doucement. Sophie entama de remonter le petit chemin dallé qui amenait à la maison . À peine avait elle fait quelques pas que la porte s’ouvrit sur une jeune femme, pas plus de 20 ans, qui la saluât et lui demandât si elle venait pour la session de formation à l’hypoanalgesie . Ce à quoi Sophie repondit que oui en précisant son nom et prénom . La jeune fille lui fit un sourire, lui tendit la main et la priât de la suivre . 

     L’intérieur de la maison était sobre mais fonctionnel, parfaitement cohérent avec la destinée des lieux, accueillir pour une durée d’une semaine à un mois ( dans le cas de Sophie il s’agissait de cette dernière option ) des adultes souhaitant se former à la technique de l’hypoanalgesie afin de garantir (notamment) des techniques de soins peu ou pas douloureuses , ce qui intéressait en premier lieu notre personnage principal pour sa carrière d’infirmière entamée il y a 10 ans déjà .

     La jeune fille précédât Sophie dans un escalier amenant vers le Ier étage , réservé à l’espace de vie des participants . Elle lui expliqua s’appeler Emma et être en stage d’école de commerce, elle était arrivé 3 jours avant pour "manager" la vie des participants durant le mois qui allait s’écouler, elle serait donc leur interlocutrice principale car le principe de l’apprentissage de l’hypnose médicale voulait que l’enseignant soit détaché du "matériel", de la gestion pure , des repas, etc ... Sophie comprit qu’Emma serait leur chaperon et cela la fit sourire car l’etudiante lui paraissait bien jeune pour avoir un tel rôle . Écoutant distraitement la jeune fille qui montait les marches devant elle, Sophie se surpris à la détailler de dos . Petite de taille, encore plus que Sophie qui devait bien faire 4 cm de plus qu’elle, elle avait un physique bien différent de notre héroïne. Brune alors que Sophie était blonde, la jeune fille présentait des cheveux ondulés sans grande recherche contre de belles anglaises frisottantes pour notre infirmiere . Des bras un peu potelés, une poitrine étonnamment généreuse et aussi ferme à première vue que son âge le lui permettait, associé à des hanches très fines serrées par une petite ceinture de cuir marron clair. Les fesses qui se trouvaient à hauteur de la tête de Sophie étaient indéniablement belles pour qui aimait les beaux pétards, pas qu’elles soient grosses bien au contraire mais plutôt par la rondeur parfaite qu’elles offraient . Sophie sourit intérieurement en pensant qu’avec un plus joli visage elle serait charmante alors qu’un faciès un peu quelconque lui donnait juste l’image d’une fille sur laquelle on ne se retourne pas . Justement la, Sophie faisait la différence, elle qui avait un physique de petit poids plume , 43 kilos, tres fine sans être anguleuse, mince sans être maigre , musclée par 10 ans de judo sans pour autant être musculeuse . Elle sur qui les hommes se retournaient sans cesse, elle qui se savait désirable et adorait en jouer auprès des hommes, en changeant souvent , papillonnant sans jamais s’abaisser , prenant son plaisir sans se lier outre mesure . Cette comparaison intérieur lui fit du bien au moral, elle qui depuis quelques temps tournait en rond en attendant de trouver sa voie .

     Sur ces entrefaits, la porte du palier était atteinte et s’ouvrit sur un long couloir éclairé par un mur en verre courant sur toute la surface de l’étage , ouvrant sur le jardin . Sophie resta interlocquée par cette architecture inattendue et stoppa un instant pour admirer la vue insoupçonnée . Aussi terne avait l’air le bâtiment depuis l’extérieur, autant depuis l’intérieur il révélait une vraie recherche d’art de vivre . Le mur de lumière donnait sur une cour intérieure paysagée à la japonaise, sobrement mais diablement efficace en terme de méditation . Sophie fit un tour d’horizon en écoutant distraitement Emma lui expliquer que la dernière semaine du module se ferait dans ce jardin la . C’était rassurant pensa Sophie, quelle mise en œuvre magistrale que de méditer dans un tel lieu ! Elle espéra secrètement apprendre facilement et arriver à s’intégrer dans l’effectif  qui se montait selon les dire d’Emma à moins de 5 personnnes .

     Emma finit par ouvrir la porte de la chambre numéro 2 tout au bout du couloir et s’effaça pour laisser passer Sophie . Cette dernière jeta un œil dedans et eu le plaisir de voir une chambre très confortable, assez standard d’un hôtel au final, donnant sur le jardin par lequel elle était arrivé depuis la route . Emma lui indiqua les commodité des lieux, insista sur le fait qu’il n’y avait pas de télévision (Sophie s’en moquait) et pas vraiment de réseau 3G (Sophie le savait c’était marqué sur la plaquette publicitaire et elle n’avait pas besoin de contacter trop souvent sa fille qui était partie avec son ex en vacances aux États Unis pour 3 semaines) . Elle lui indiqua l’interphone en lui disant que jour et nuit elle était joignable sur la ligne indiquée "assistante" . Puis elle sortit en indiquant que Sophie serait seule cette nuit comme participante , les autres arriveraient demain par le train de Paris . Elle pouvait donc "prendre ses aises" lui dit Emma en souriant . Puis elle sortit en saluant gracieusement Sophie par une petite courbette un peu désuète mais qui offra à Sophie une vue qu’un homme aurait apprécié sur sa jeune poitrine qui se décolleta brièvement . 

     La porte étant restée entrebâillée, Sophie se hâta d’aller la fermer pour prendre un peu de repos . Elle entendit alors un petit grognement étouffé . Curieuse elle sortit la tête par la porte et observa intriguée dans le couloir Emma qui lui tournait le dos, appuyée contre la rampe d’escalier et qui passait étrangement sa main sur ses fesses, semblant appuyer  au niveau de sa raie comme si elle cherchait à empêcher quelque chose d’en sortir . Le manège était dérangeant mais Sophie ne se l’expliquait pas et cela lui parut être plus une idée qu’elle se faisait car tout à coup la jeune fille se redressa et dévala l’escalier quatre à quatre . Sophie rentra prestement la tête et ferma silencieusement la porte de sa chambre en se demandant si elle n’avait pas plutôt halluciné . Après tout la jeune fille était super active et semblait pleine d’énergie, elle avait peut être mal au dos ou simplement une crampe à force de monter et descendre ces escaliers.

     Sophie rangea ses affaires dans les placards, fila sous la douche et profita du jet d’eau chaude qui semblait être une bénédiction divine après cette journée de sale temps, de galère de transport et sa vie qui depuis 6 mois n’était pas folichonne . Elle avait plaqué son dernier mec, il s’était accroché alors qu’elle n’éprouvait plus rien pour lui, il avait fait une dépression, était passé par toutes les phases , avait été très pénible avec elle . Bref . Elle avait saisi cette opportunité de faire une pause avec cette formation exceptionnelle et finalement elle en était satisfaite . Elle s’empara enfin du gant et se savonna avec un shampoing qui sentait merveilleusement bon . Elle était si détendue qu’elle se surpris à s’admirer dans le reflet de la vitre de la douche . Elle avait vraiment un beau corps, c’était si facile de faire craquer les mecs , presque trop simple . Elle aimait ce jeu . Elle aimait les rendre amoureux . Elle savait y faire pour leur donner tout ce qu’ils voulaient en terme de flatterie. Elle avait compris il y a longtemps, durant ses amours d’adolescente déjà, qu’elle fonctionnait à l’émotion qu’elle suscitait . Elle en tirait 80% de son plaisir . Les 20% restants c’était quand elle vivait en couple quelques temps , de façon intense , avec l’homme du moment . Ces 20% ne duraient jamais longtemps . 

     De toute façon elle n’était pas une folle de sexe . Non qu’elle n’aimait pas ca , au contraire , mais elle n’était pas aussi "talentueuse" que certaines de ses collègues qui se vantaient de leurs exploits dignes des films les plus sales de la Toile . Les hommes jouissaient plus de la "posséder" en la prenant que de ses "prestations" sexuelles qui restaient tres classiques au final . Cela l’avait inquiètè un peu pendant un temps mais elle même avait assez peu souvent des orgasmes avec ses amants, elle avait même exploré quelques pratiques différentes pour voir si cela lui convenait mieux mais cela n’avait pas été tellement convaincant . 

     La seule fois qu’elle en avait parlé à une rare copine (partie s’intalller en hollande depuis) cette dernière lui avait dit qu’elle devrait essayer d’en parler à un psy mais cela n’avait pas vraiment plu à notre Sophie qui avait préféré s’abstenir . Elle finit de prendre sa douche , s’essuya et entrepri de se sécher les cheveux . Chose faite elle regarda le tableau et sourit . Ses seins étaient petits , elle pouvait même porter ses robes d’été sans soutient gorge , ses fesses joliement dessinées . Le ventre bien plat masquait bien le fait qu’elle avait été enceinte 10 ans auparavant . La toison claire de son pubis dessinait un joli petit triangle au dessus de son petit "abricot" ( comme elle disait à l’oreille de ses amants pour les rendre bien durs ou pour les faire venir ) . Elle jeta un œil à son sexe et ne pu s’empêcher de penser à un de ses premiers amant qui lui avait dit qu’elle avait un sexe de "jeune pucelle" tellement il paraissait à peine fendu . De fait elle se savait tres étroite et avait d’ailleurs eu une déconvenue une fois avec un homme bien monté qui n’avait pu la pénétrer que longtemps après l’avoir entreprise ... 

     Sophie se secoua, passa dans la chambre et se glissa dans les draps . Elle avait toujours dormi plus ou moins nue , qu’elle soit seule ou en couple car elle aimait le contact avec les draps . Il arrivait même qu’elle soit réveillée trempée la nuit par un contact prolongé avec un pli du draps  sur son sexe . En général quand cela arrivait elle se branlait rapidement, sans bruit,  et connaissait ainsi le plaisir qu’elle n’avait que rarement durant l’acte d’amour avec un homme . Elle n’en éprouvait qu’une sorte de gêne indicible au matin, n’en parlant à personne ni même à son homme de l’instant . 

     Cette nuit la fut sans rêve ....

J O,  Emma ...

     De retour dans le hall central, Emma fit le point sur son carnet pro afin de s’assurer qu’elle avait checké tous les points de "l’accueil du participant" . Elle sourit en son fort intérieur en voyant qu’elle avait tout bon . À côté d’elle le téléphone sonna . Elle décrocha et repondit à la voix qui lui parla :      "- oui monsieur, oui elle est arrivée       - .........      - les autres arrivent demain matin     - ..........     - j’arrive monsieur "

     Elle raccrocha le combiné et se dirigea vers la porte marquée " service seulement " qui se trouvait au fond du hall . Une fois la porte refermée, un observateur extérieur aurait assisté à un manège étrange . Le visage d’Emma semblât se métamorphoser quasiment instantanément, le sourire authentique disparu pour laisser place à un visage frêle et penaud . Elle avança de quelques pas jusqu’à une patère fixée au mur . Emma retira son petit haut en coton blanc, laissant apparaître un joli petit soutient gorge présentant une particularité qui avait échappé au regard de Sophie un peu plus tôt : il masquait des petites pinces qui emprisonnaient la pointe des tétons de la jeune fille . La jeune fille retira le soutient gorge et l’accrocha à la patère . Elle jeta un œil à ses seins maltraités qui la faisait souffrir à chaque pas ou sa grosse poitrine ballotait maintenant qu’elle n’était plus soutenue .     Elle dégrafa ensuite sa ceinture et fit glisser son jean sur ses chevilles avant de le suspendre aussi à la patère . En se penchant elle eu beaucoup de mal à retenir le petit plug qui lui élargissait l’anus depuis maintenant 48h . Il était solidement encré en elle au début et dieu sait si elle était étroite de cet endroit , n’y ayant jamais accueilli autre chose qu’un doigt "égaré" vite ressorti . Mais depuis 2 jours le bijou avait bien travaillé et elle sentait qu’il ne tenait plus quand elle bougeait . De plus elle venait de ressentir le besoin de se vider les entrailles de plus en plus pressant .      Elle garda sa culotte de jeune fille, d’apparence sage car en coton blanc immaculé sans fioriture, mais bien plus secrètement renfermant en plus du plug anal , un petit cadeau très spécial .... elle passa par acquis de conscience la main brièvement sous le tissus et effleura un gros morceau de scotch qui oblitérait totalement son sexe depuis ce matin .....

     . Il allait se régaler, elle avait fait ce qu’Il lui avait dit ......

À suivre ..... 
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