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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine

Chapitre 22

Divers
Chapitre 22 :Cours particulier Le lendemain, Morgane se présenta à 15h devant la porte d’entrée d’Isabella. Elle était passée dans une allée qui exposait un impressionnante quantité de voiture de luxes en tout genre avant d’atteindre la porte d’entrée. La maison en elle-même était incroyablement grande et le jardin paraissait sans fin. Elle frappa avec le loquet et patienta. Quelques minutes s’écoulèrent avant que quelqu’un vienne ouvrir la porte. C’était Isabella.

-Oh, c’est vous ?

Morgane sourit devant la tenue décontractée de la maman. Elle portait une fine chemise qui laissait entrevoir le creux entre ses seins et une mini-jupe en jeans qui la rajeunissait d’une dizaine d’années. Elle était littéralement bandante. Morgane saisit Isabella par les hanches et l’embrassa avec fougue. Lorsqu’elle se retira, la maman papillonna des yeux, étonnée par la spontanéité de la prof. Elle se reprit bien vite en enlaça Morgane en lui rendant son baisé. Elle dirigea ensuite la main de la prof vers son entrecuisse. Cette dernière constata qu’Isabella n’avait pas de culotte et enfonça immédiatement deux doigts dans son antre.

-Oh, oui … gémit celle-ci. Attendez, attendez. Mon mari est rentré cette nuit, il est encore à la maison …-Oh … Où est-il ? Demanda Morgane sans cesser de doigter Isabelle.-Je ne … Mmh … il doit être … Oh oui … quelque part là-bas … dans le salon.-Parfait, sourit Morgane. Où sont tes toilettes ?-Mes toilettes … mais … Mmh … viens.

Isabella prit Morgane par la main et la guida jusqu’au toilette. Morgane ouvrit la porte et poussa la maman dedans avant de s’enfermer toutes les deux.

-Heu … Vous ne deviez pas aller aux toilettes ? Hasarda Isabella.-Ne soit pas bête, bien sûr que non.

La jeune femme fit retourner la maman et baissa sans préambule sa jupe qui dévoila un cul digne des plus grandes pornstars. Elle avait des fesses rondes, galbées et aussi lisse que la peau d’un nouveau-né. Morgane les plota avec joie et constata qu’elles étaient d’une fermeté exquise. Elle fit aller sa langue entre les deux fesses et titilla coquinement la rosette faisant ainsi gémir Isabella de bonheur. Elle fit se cambrer davantage la maman ce qui exposa la vulve de cette dernière. Morgane y glissa un doigt et constata qu’Isabella mouillait beaucoup plus qu’avant.

-Mmh oui ! Gémit la maman.-Chéri ? Tout va bien ?

Isabella ouvrit de grands yeux paniqués. C’était son mari qui l’appelait. Elle tourna la tête vers Morgane et lui fit signe d’arrêter mais cette dernière n’y prêta pas attention.

-Je … oui, oui. Enfin … je crois que je suis … Mmh … je … je suis un peu …malade.

Morgane se releva et elle vit de la gratitude briller dans les yeux d’Isabella. Cette dernière croyait sûrement que Morgane avait l’intention de s’arrêter pour la laisser parler avec son mari. C’était bien mal la connaître …

Elle déboutonna son jeans et le descendit à mi-cuisse. Elle avait une violente érection et sa verge ne demandait qu’à s’échapper de sa prison de tissus. Morgane baissa son string et présenta son engin devant l’entrée de la maman qui n’avait encore rien remarqué.

-Tu veux que je vienne t’aider ? S’enquit le mari.-Non ! S’alarma Isabella. Je … J’en ai encore pour un moment, tu sais … et je ne sais pas si …

Soudain, elle sentit quelque chose entré en contact avec sa rosette. Elle se retourna et découvrit l’énorme verge de Morgane placée juste à l’entrée de son anus. Elle ouvrit de grands yeux incrédules et mit sa main devant sa bouche.

-Chérie ? Tu es sûre que ça va ?-Je ne peux pas … répondit Isabella à Morgane avant de se rendre compte que son mari était toujours là. Heu … je ne peux pas te parler pour l’instant, mon cœur. J’ai …

Morgane poussa tout en douceur et fit entrer son imposant engin dans la chaude grotte de la maman. Cette dernière dût s’accrocher à la poignée de porte pour mieux contrôler toutes les sensations qui s’imposaient à elle.

-Oh ! Madre de dios ! Gémit-elle.-Isabella ? Ca va ?-Oh ! Oui !-Si tu as besoin de quoique ce soit, tu m’appels hein.

Morgane s’enfonça davantage dans les tréfonds de sa nouvelle conquête en s’agrippant fermement aux hanches de cette dernière. L’anus s’ouvrait comme une timide jeune rose et laissait un étroit passage à l’imposant membre de chair qui s’engouffrait en lui. C’était un pur délice, aussi bien pour Morgane que pour Isabella.

-Mmh ! Oui, mon cœur … Oh ! Attends … wouah !

Isabella entrouvrit la porte et passa la tête au dehors. Morgane paniqua légèrement mais n’en retira pas moins sa queue du délicieux fourreau dans lequel elle se trouvait. Elle continua à pousser tout en écartant les fesses de la maman.

-Je … Mmh … Donne-moi ta bite ! Vite !-P … Pardon ? S’ébahit le mari. Mais …-Vite, ne discute pas !

Le mari sortit sa verge encore un peu molle. Isabella s’en empara avidement et la glissa derechef dans le fond de son gosier. Elle enclencha un mouvement de va-et-vient qui enfonçait à un moment une bite dans sa gorge, et l’instant suivant un pilier de chair entre ses fesses.

-Oh, Isabella ! C’est … c’est sublime !

Morgane sourit mesquinement et poussa davantage. Les gémissements naseaux de la maman prirent des accents orgasmiques alors qu’une queue gigantesque labourait son anus avec gourmandise.

-Mmh … Mmh … Mmmh !

Le mari s’agrippa à la nuque de sa femme et enfonça cette dernière sur son chibre lorsqu’il sentit la sève monter. Isabella lui procura une gorge des plus profonde et Morgane en profita pour donner de véritables coups de boutoir dans les fesses de la maman. Isabella, réduite au silence par cette queue qui giclait dans le fond de sa gorge, ne put émettre le moindre son mais tout son corps vibra de plaisir face à cette incroyable perforation.

Finalement, le mari relâcha la pression et Isabella put gémir tout son soûl.

-Oh oui, c’est trop bon … Mmh … me amore ! Mmh !-C’était divin ! S’exclama son mari. Merci mon cœur. Tu ne veux pas que je t’apporte des médicaments ?-Merci à … Mmh … toi. Non … Mmh … ne t’en fais pas, tu m’as apporté … Mmh … ce qu’il fallait pour mon mal … Mmh … de gorge. Travaille bien … Mmh !

Elle tentait tant bien que mal de faire passer ses gémissements de plaisir pour des geignements de douleurs mais ce n’était pas chose aisée. Le mari finit par partir mais à peine Isabella eut refermé la porte qu’elle se faisait écrasé contre cette dernière en hurlant de plaisir. Son cul se faisait violemment ramoner et le bonheur qu’elle en tirait était éblouissant !

-Oh, c’est trop bon ! Cette queue dans mon vieux cul, putain !-Rassure-toi, haleta Morgane, ton cul est divin. On dirait presque celui d’une jeune étudiante.-J’ai … j’ai bien envie que tu mettes ta bite dans ma chatte …

Morgane se coucha sur le dos de la maman et l’enlaça tendrement. Une main vint pétrir l’un de ses seins tandis que l’autre se dirigea vers le jardin secret d’Isabella.

-Mmh … gémit cette dernière.-Ooh, c’est vrai que tu es toute mouillée, là en bas … susurra Morgane contre l’oreille d’Isabella. On dirait que tu n’attends que ça.-Oui, souffla la maman. J’en ai vraiment envie.-Désolé, mais ce ne sera pas pour tout de suite … Plus tard, dit Morgane en reprenant ses va-et-vient, si tu es sage …-Mmh ! Oui, je serai sage, alors.

Morgane s’agrippa aux hanches de la maman et envoya de puissants coups de boutoirs dans son cul. Isabella gémit et cria en même temps sans s’en rendre compte. Elle se doigta furieusement tout en encaissant les violentes perforations dans son postérieur déjà tout rouge.

Finalement, Morgane sortit sa queue et la posa sur le dos de la maman. Elle souleva prestement la fine chemise qu’Isabella portait toujours et se mit à jouir sur son dos nu. La maman atteignit également l’orgasme et les deux femmes crièrent dans un bel ensemble.

-Oh, c’est boooooon !-Putain, ouiiii !

De longs traits de sperme vinrent s’étaler sur le dos de la maman et se mêlèrent à ses cheveux. Son anus et son vagin détendu se contractèrent sous le coup du plaisir. Isabella s’affala par terre et des gouttes de sperme ruisselèrent sur son dos et vinrent se perdre dans sa nuque. La queue de Morgane reposait sur le cul surélevé de la maman et bavait encore quelques crachats de sperme onctueux. Morgane reposa la chemise qui se colla immédiatement sur le dos couvert de semence et devint légèrement transparente.

Isabella se releva et Morgane vit que le sperme avait couler jusque sur ses joues et y avait tracé de gluants sillons. Elle se pencha et lécha goulûment son foutre sur la face d’Isabella. Morgane s’éloigna et l’observa en se mordant la lèvre inférieure.

Isabella avait les cheveux en bataille où s’accrochaient à certains endroits des gouttes de foutres, les yeux brillant de plaisir, la respiration haletante, une chemise qui collait sur tout son corps et qui laissait entrevoir des formes plus que généreuse, l’entre-jambe luisante de cyprine et de superbe cuisse entièrement dénudée. À l’instant, Isabella était incroyablement désirable.

-Maman ? Tu es là ? Fit une voix dans le couloir.
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