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Oncle Robert

Chapitre 5

Gay
Les jours passèrent et je remarquai très vite que j’étais fait pour ça. J’avais l’impression que mon corps en redemandait à chaque fois que nous terminions nos ébats. J’étais tellement accroc qu’Eric et Robert avaient du mal à suivre la cadence et pourtant, ils adoraient quand je venais devant eux, nu et à genoux, en leur suppliant de me baiser encore une fois. L’ami de mon oncle avait pris ma chambre et je devais donc dormir avec Popi, ce qui ne me posait aucun problème, bien au contraire. Il m’arrivait, parfois, de me réveiller avec une envie soudaine que je ne pouvais assouvir tout seul. Robert eut donc droit à plusieurs fellations pendant les nuits où nous dormions ensemble, chose qu’il appréciait particulièrement. Et quand il était à bout de forces, j’allais m’occuper d’Eric, qui préférait insérer son sexe entre mes fesses plutôt que dans ma bouche.
Il ne restait plus que deux petits jours avant que ma mère ne rentre de vacances. Mon oncle l’avait eue au téléphone pendant le petit-déjeuner et il avait l’air dépité quand il raccrocha. Nous avions secrètement espérés que Nathalie resterait quelques jours de plus avec ses amies mais elle disait que je lui manquais et qu’elle avait envie d’être près de moi pour le reste des vacances. J’avais rassuré Popi en lui disant que je viendrai dès que mon emploi du temps me le permettrait. Il semblait vraiment content que je me sois autant attaché à lui et je ne pouvais pas dire le contraire, j’aimais passer du temps avec lui.
Tandis que je débarrassais la table, Robert et Eric étaient en grande discussion. Je ne savais pas vraiment de quoi ils parlaient mais vu leur regard insistant vers moi, il était évident qu’ils me préparaient quelque chose. Je les laissai donc tranquillement converser et montai dans la chambre que je partageais avec mon oncle. Je rangeai un peu les affaires qui traînaient dans le fond de la pièce avant de m’allonger dans le lit. Je me tournai vers le tiroir de ma table de nuit et en sortis un vibromasseur de couleur noire. Il n’était pas particulièrement long mais il avait une taille tout à fait respectable. Robert me l’avait offert pour que je m’occupe quand il n’était pas là. C’était donc l’occasion rêvée de l’essayer. Je ne l’avais encore jamais utilisé et je tremblais déjà d’excitation, rien qu’en le tenant en main. J’appuyai sur le bouton et le bâton se mit instantanément à vibrer. J’allais bien m’amuser...
Sachant que j’avais déjà eu droit à une sodomie ce matin, merci Eric, mon anus était parfaitement dilaté. C’est donc, sans résistance, que le vibromasseur entra en moi. La texture en silicone était agréable, et l’objet avait été conçu de telle sorte que le bout touchait directement ma prostate. Mon sexe commençait légèrement à se redresser et je pouvais déjà voir qu’une goutte perlait au bout de mon urètre. Je me couchai dans le lit, la tête entre deux coussins, restant ainsi pendant quelques minutes, avant d’enclencher la première vitesse. Je sentis de légères vibrations entre mes fesses et passai directement à la deuxième vitesse. Ça allait déjà mieux mais j’avais envie de savoir tout ce que pouvait m’offrir cet objet.
La troisième vitesse arriva assez rapidement et ma queue était complètement à la verticale, à présent. D’une main, je me masturbais et de l’autre, je poussais le vibromasseur un peu plus loin dans mon fondement. C’était vraiment excitant d’avoir enfin le contrôle sur mon propre plaisir. Je restai beaucoup plus longtemps sur la quatrième vitesse. Mon corps était parcouru de vibrations, provoquées par le phallus artificiel. J’étais maintenant proche de l’orgasme, mais il me restait encore une vitesse à essayer. Je l’enclenchai et cette dernière me mit littéralement en transe. Je fermai les yeux, tellement le plaisir était décuplé. Les vrombissements de cet objet de désir me parvenaient faiblement aux oreilles, étant trop occupé par ma jouissance qui était sur le point d’exploser. J’avais arrêté de me branler pour tenir le plus longtemps possible, mais c’était peine perdue. Je sentis mes sphincters se serrer autour du vibromasseur et mon sexe se contracter avant d’expulser de nombreux jets blanchâtres qui atterrirent sur mon torse ainsi que sur mon visage. Ma semence coulait le long de mes joues mais je n’avais plus la force de la ramasser pour l’avaler.
J’avais dû crier en éjaculant, car sur le pas de la porte, Eric et Robert étaient en train de me regarder avec un sourire. Mon oncle essaya de me nettoyer le visage en essuyant tout le foutre que mon membre avait craché mais il y en avait tellement que Popi décida de laisser tomber. De son côté, Eric enleva le vibromasseur, toujours allumé, de mon anus. Il l’éteignit et le déposa au bord du lit.
-Je vois que tu as essayé le nouveau joujou. Ça a l’air de t’avoir plu.-Oui, je ne pensais pas qu’il me ferait autant d’effet, dis-je faiblement à mon oncle.-Pendant que tu t’amusais, nous avons réfléchi à ce qu’on pourrait te faire avant de partir.-Je vous écoute.-Non, c’est une surprise. Tout ce que je peux te dire, c’est que quelqu’un viendra cet après-midi pour s’occuper de toi. Je pense que ça va te plaire.-Je dois m’habiller ou je peux rester comme ça ?
Mon commentaire fit rire les deux amis.
-Non, tu ne dois pas t’habiller. Il arrivera dans moins d’une heure alors je voudrais que tu te laves. Parce que tu ne le sais peut-être pas mais, tu empestes le foutre à des kilomètres !
Je ris doucement, encore trop fatigué après cet orgasme foudroyant. Il me laissèrent seul pour aller préparer leur surprise tandis que je partis prendre une douche. Dans la salle de bain, je passai devant le miroir et mon reflet me fit rire et m’excita même un peu. Mon visage était maculé de sperme qui coulait et tombait au goutte à goutte sur mon torse. Cette image me rappela une photo que j’avais vue dans l’un des magazines pornographiques de Robert. Je ressemblais terriblement à une personne après une partouze. Cette idée m’excita mais mon sexe ne réagissait plus, bien trop épuisé pour se redresser. J’entrai dans la douche et j’avoue que l’eau chaude sur le corps me fit un bien fou. Je restai un long moment sous le jet avant de me laver. Les restes de foutre dans les cheveux furent les plus difficiles à faire partir mais, à force de passer ma tête sous l’eau, je parvins à tout enlever.
J’étais resté plus de trente minutes dans la douche, adieu les économies d’eau, avant de sortir me sécher. Apparemment, la surprise de Robert et Eric était arrivée plus vite que prévu. En effet, j’entendais une troisième voix parmi celles que je connaissais déjà. Une voix plus aiguë, plus douce. Ce n’était pas une femme mais bien un homme. Ne voulant pas gâcher leurs préparatifs, je décidai d’aller dans la chambre, attendre que quelqu’un vienne me chercher. Ce n’est que quelques minutes plus tard que Robert entra dans la pièce.
-Merci de ne pas être descendu. Tu peux venir maintenant mais attention, tu dois directement aller à la cave !
Robert me suivit jusqu’au rez-de-chaussée et me laissa seul dans le couloir pour rejoindre les autres. Je descendis rapidement les escaliers qui menaient à la cave et arrivai dans la pièce qui était faiblement éclairée. Au centre, se trouvait une table de massage et à côté, des huiles et des crèmes avaient été disposées sur un petit plateau. Génial, ils m’avaient réservé une séance de relaxation ! J’étais vraiment heureux qu’ils me fassent ce cadeau et j’espérais que ce ne soit pas le dernier de ce genre... Il y avait un bandeau à l’extrémité de la table et je compris que je devais le mettre. Une fois fait, je m’installai sur ce petit lit en hauteur, qui était plus confortable que je ne le pensais. Je me mis sur le dos, en attendant qu’une personne vienne s’occuper de moi.
Un bruit de pas étouffé par la moquette m’indiqua que quelqu’un était enfin arrivé. Le masseur se mit à ma gauche et commença à faire couler de l’huile sur ma peau. Le liquide était tiède, mais ce contact déclencha un frisson qui parcourut tout mon corps. Il posa ses mains sur mon torse et débuta une série de petites caresses, ses doigts glissant doucement autour de mes tétons, s’attardant parfois dessus. Il me massa successivement le torse, les bras et les jambes. Jamais il ne toucha mon sexe ou s’en approcha. Pourtant, ce dernier semblait beaucoup aimer ce traitement. Je ne le voyais pas mais je sentais qu’il s’était tendu et qu’il était au garde-à-vous. Je n’étais absolument pas gêné et le professionnel avait sûrement l’habitude. Il continua en silence son massage, en malaxant chaque muscle de mon corps. Le liquide qu’il utilisait me chauffait doucement chaque partie de ma peau. C’était divinement bon.
-Vous pouvez vous retourner à présent.
Sa voix me fit sursauter. Je ne m’attendais pas à ce qu’il me vouvoie ! Mais c’était plutôt agréable d’être traité ainsi. Sa voix était douce et autoritaire. Je m’exécutai et me retrouvai rapidement sur le ventre. Un trou avait été découpé dans la table pour que je puisse mettre confortablement ma tête. Je gardai mes bras le long de mon corps et le masseur refit couler de l’huile sur ma peau. Il me massa longuement les épaules ainsi que le dos en utilisant parfois ses mains, parfois ses coudes. Aucun centimètre de peau ne fut oublié, il savait vraiment ce qu’il faisait et tant mieux ! Il descendit lentement jusqu’à mes pieds qu’il massa une dernière fois, avant de remonter au niveau de mes fesses. Enfin ! Je m’étais demandé s’il s’en occuperait. Il pétrit mes globes et rajouta un peu d’huile chauffante, pour mon plus grand bonheur. Ses doigts agiles s’insinuaient de plus en plus entre mes fesses et je n’attendais qu’une chose, c’était qu’il passe à la vitesse supérieure !
Le masseur prit un peu de crème dans un pot et badigeonna gentiment mon œillet avec ses doigts. Il les tournait autour sans pour autant rentrer à l’intérieur, il savait se faire désirer... Après un moment qui me parut durer une éternité, il rentra enfin un doigt. Il le remuait légèrement avant de le poser sur ma prostate. Il appuya doucement et des vagues de plaisir montèrent doucement de mon bas-ventre. Grâce au bandeau qui m’obstruait la vue, mes autres sens étaient beaucoup plus sensibles et je ne pouvais qu’apprécier ces nouvelles sensations.
Il ne rentra pas d’autres doigts. Ce n’était pas plus mal, je n’avais pas envie de violence pendant ce massage. J’avais besoin de me relaxer et l’homme qui s’occupait de moi semblait l’avoir compris. Il retira son doigt, après un long moment passé à l’intérieur, puis approcha son visage entre mes jambes. Je sentis son souffle chaud caresser mon anus et le bout de sa langue râpeuse commença à me laper la rondelle. À ce contact doux et humide, je ne pus m’empêcher d’émettre un léger gémissement. Il écarta mes fesses avec ses mains afin d’avoir un meilleur accès à mon petit trou et poussa sa langue dans mon intimité. Il devait avoir une sacrée langue, car il arriva à rentrer plusieurs centimètres dans mon fondement.
J’étais maintenant à quatre pattes et je me cambrais pour qu’il puisse me fouiller le plus possible avec son bout de chair. Il me masturbait doucement avec sa main gauche et me caressait l’urètre avec son pouce. Il s’arrêtait à chaque fois qu’il sentait que j’allais jouir. Ce traitement dura plusieurs minutes avant qu’il n’enlève sa langue et me remette à plat ventre sur la table. J’étais beaucoup trop excité à présent. Il m’avait mis au bord de l’orgasme plus d’une dizaine de fois et je sentais mon sexe vibrer en continu sous mon corps. Il le savait certainement et c’était sûrement le but.
Je l’entendis enlever ses vêtements et une minute plus tard, il se plaça au-dessus de la table et s’allongea de tout son long sur moi. Il n’était pas très lourd. Il devait avoir le même poids que moi, si ce n’est moins. Je compris que, comme moi, il était entièrement nu. Je sentais son sexe contre mes fesses qui s’insinuait lentement entre celles-ci. Le masseur se frottait à moi, en allant de haut en bas. Après quelques mouvements, son membre se posa parfaitement à l’entrée de mon cul, déjà légèrement entrouvert par l’excitation. Il lui suffit de pousser un petit peu pour que le gland de son sexe soit aspirer par mon trou. Son pénis rentra entièrement en un seul coup de rein. Il n’était pas spécialement gros mais il compensait avec sa longueur. Il allait parfaitement dans mon fourreau.
Il donnait de petits coups de reins, qui suffisaient à toucher ma prostate et provoquer des ondes de plaisir dans mon ventre. Son visage était enfoui dans mon cou et je l’entendais respirer paisiblement. Il n’avait pas besoin de faire quoi que ce soit d’autre pour me faire du bien. Je gémissais faiblement et mon sexe vibrait de plus en plus sous moi. Je respirais de plus en plus vite et je finis par éjaculer sur la table. Je sentais ma semence se répandre et souiller mon corps parfaitement huilé. De son côté, le masseur n’avait toujours pas terminé. Il continua de me pénétrer au même rythme, si bien que j’eus un deuxième orgasme quelques minutes après le premier. Il sortit enfin de mon fondement et me fit mettre sur le dos, la tête dans le vide. Il laissa le bandeau en place et inséra son membre dans ma bouche. J’étais complètement passif, ne faisant aucun geste pour le faire venir plus vite. Son pénis entrait et sortait simplement de ma cavité. D’une main, il me tenait la tête et de l’autre, il me caressait le torse.
Il éjacula tendrement dans ma bouche et je me fis un plaisir d’avaler toute cette semence. Une fois débandé, il retira son sexe et déposa un doux baiser sur mes lèvres avant de s’habiller et de sortir de la pièce. Je restai plusieurs dizaines de minutes dans cette position pour profiter des derniers moments de bien-être. J’enlevai enfin le bandeau et m’étirai tout le corps. J’étais tout endormi mais il fallait que je rejoigne les autres. Je remontai dans le salon et je fus surpris de ne trouver que Robert et Eric qui discutaient dans le fauteuil.
-C’était comment ?-Formidable ! Je ne vous remercierai jamais assez pour ce moment !-Ne t’en fais, on voulait que tu sois totalement détendu pour demain, dit Eric.-Demain ?-On n’en dit pas plus ! dit Robert.-Et où est le masseur ?-Il est parti, il reviendra dans quelques jours pour s’occuper d’Eric et moi. C’est pour ça qu’il a tout laissé.-Bande de coquins !
Je pris rapidement une douche après cette discussion et je revins pour le dîner. Eric avait préparé un délicieux poulet rôti et nous le dévorâmes en entier, ne laissant que les os dans le plat. Après le repas, chacun alla dans sa chambre, Eric dans la sienne, Robert et moi dans la nôtre. Rien d’autre ne se passa pendant la nuit, mon oncle voulait que je sois en forme pour mon dernier jour en leur compagnie. Il me disait que la surprise d’aujourd’hui n’était rien comparée à celle qui m’attendait demain. Ça promettait !
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