Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 41 J'aime
  • 3 Commentaires

Les amis de ma mère...

Chapitre 2

Gay
Je me redresse et cherche mes affaires du regard... Ah, trouvées ! Je sors discrètement du lit, attrape ma sacoche, et je passe dans le couloir. Ou est donc la salle de bain ? J’ouvre une porte, les WC, une deuxième... Ah ! La voilà.   Je sors la brosse à dents de ma sacoche, je pique un peu de dentifrice à mes hôtes, et je me brosse les dents. 

  Il faut dire que j’en ai bien besoin après cette nuit... Elle ne s’est pas arrêtée après la discothèque, non, bien au contraire... Tout deviens flou autour de moi, je revis cette fantastique nuit...

  Nous sommes dans la voiture en train de rouler, ni moi ni Sébastien n’avons décroché le moindre mot depuis la sortie de boîte... L’atmosphère est pesante, chargée de gêne.   Je ne sais pas quoi dire... J’espère de tout mon cœur que je ne viens pas de faire une énorme ânerie... Je ne tiens pas à ce que ma mère ou ses amis soient au courant de mes penchants.

  C’est Séb qui brise le silence en premier :   "Je sais ce que tu penses, ne t’inquiète pas, tout ça restera entre nous."   Il me rassure, pas complètement, mais c’est déjà ça. Sa main viens se poser sur ma cuisse, je me sent tout de suite apaisé. Le reste du trajet se passe silencieusement, mais l’atmosphère est devenue légère, agréable. 

  Nous voilà arrivés devant chez eux, alors que je m’apprête à dire au revoir, Séb me devance :  "ça te dis d’entrer boire un ou deux verres ? T’as rien bu, mais tu as le droit de t’amuser aussi ! Tu peux dormir ici si tu veux."   Je réplique :  "un verre ? A cette heure ? Euh... Bon si je peux dormir ici... D’accord" 

  Je ne suis pas dupe... Évidemment que je sais que c’est pas un verre qu’il veut que je prenne... Et je trouve ça très tentant, tant qu’à faire, autant aller jusqu’au bout. Je me gare, nous sortons de la voiture et nous allons à la porte. Il m’ouvre, me laisse passer en premier, me montre le salon et me fait installer dans le canapé.   Il s’éclipse ensuite quelques instants puis reviens avec une bouteille de Get 27 à peine entamée et une dizaines de verres à shooter qu’il se met à remplir. 


  J’aime bien le Get, c’est un des seuls alcools qui ne te donnent pas mauvaise haleine, et puis ça se boit facilement pur. 

  "J’ai une idée, on va faire un jeu si tu veux bien. Mais alcoolisé ! Ça te dis ?" me propose-t-il.   "Euh, d’accord, pourquoi pas ? C’est quoi les règles ?   - A tour de rôle, on bois un shooter, et on annonce un, deux ou trois chiffres, et celui qui arrive à 21 perd. Petite subtilité, pas le droit de dire le même nombre de chiffres que le précédent.  - Et quand on perd, il se passe quoi ?  - Et bien je propose que le perdant boive 3 shooters, et prenne un gage ! Mais attention : peu importe le gage, on ne discute pas, on le fait. Ça te tente ?  - Je suis partant ! Je commence : 1 et 2!" Puis je bois un shooter.   Il boit aussi, puis annonce :  "3, 4, 5! - 6, 7 et 8 ! Dis-je après avoir avalé mon second verre.  - Ahah, perdu ! Bois pendant que je réfléchis à un gage..." Dis-t’il en riant. 

  J’avais déjà oublié qu’il ne faut pas dire trois chiffres s’il en a dis trois. Bon, tant pis c’est le jeux, je bois et attend le gage.   "Pour commencer, je vais juste te faire rattraper le retard : tu va boire double jusqu’à que je perde ! Et ça commence maintenant, tu va pouvoir reprendre trois shooters !" 

  Il a dis ça en me remplissant à nouveau les 5 verres. Bon, puisque c’est la gage, faut pas discuter. Il garde la bouteille à la main et me re-remplis les trois Gets que je prend. 

  On refait une partie que je perd, en tout je suis sensé prendre 18 shooters... Je n’en ai pris "que" 13 car la bouteille est finie, et Séb est parti en chercher une autre. L’alcool commence déjà à faire effet, je me sent plus léger, moins gêné.   Il reviens avec une autre bouteille, et me sert. Je finis mes verres puis il m’annonce mon nouveau gage : Tout les 3 verres finis, je dois enlever un vêtement. J’acquiesce et une nouvelle partie commence. 

  Cette partie est plus longue, je suis déterminé à gagner ! Je réfléchis à chaque coup, et je met aussi un peu plus de temps à boire... Il faut dire que même si les verres sont minuscules, ça en fait quand même pas mal, et je ne tiens pas spécialement bien l’alcool...   D’ailleurs, celui-ci aidant, je perd à nouveau... Avec cette défaite, je dois enlever mon dernier vêtement, le boxer. En plus de prendre les 6 shooters... 

  Il faut dire que je n’avais pas beaucoup de couches de vêtements... Un jean, une chemise, les chaussures, chaussettes et le boxer...   Bon, j’enlève le boxer et j’attends le nouveau gage...   Un silence pesant s’installe... Les yeux dans les yeux, lui réfléchissant, moi attendant. Il ouvre enfin la bouche : 

  "Suce moi." 

  Clair, net et concis. Je sais que lui comme moi, c’est le moment que nous attendions, trop gênés pour l’admettre. Sans un mot, je m’approche de Sébastien, et m’agenouille devant lui. Il lève le bassin le temps que je lui baisse le pantalon et le boxer, puis me laisse faire.   Tout à l’heure c’était lui qui avait pris les choses en main, ne me laissant pas vraiment le temps ni les moyens de réagir par moi-même. Là ce n’est plus le cas... C’est à moi d’agir.   Sa queue est à demi bandée, et ses bourses pendent devant moi. Je choisis de commencer par lecher ses boules. 

  Lentement, doucement, je ballade ma langue le long de son scrotum, gobant de temps à autres un testicule... Léchant complètement à d’autres moments. Je m’occupe bien de ses bijoux de famille, si bien que sa verge s’est déployée entièrement, dressée au dessus de mon visage, dure comme le roc.   Du bout de la langue, je titille la colonne sur toute sa longueur jusqu’au gland, que je lèche avec appétit. Puis je recommence, repartant de la base, pour à nouveau remonter. 

  Arrivé au gland, je recommence, je lèche et je repart de la base... Au troisième passage, monsieur n’en peut plus et m’attrape par l’arrière du crâne pour me faire Avaler son engin. Il est plus doux que tout à l’heure, mais je sent qu’il se retiens... Il ne m’impose plus son rythme, il maintiens tout juste sa main sur ma tête. Je joue donc uniquement avec ma langue sur son gland pour l’inciter à se lâcher. 

  On entend un bruit de clés, puis ma porte qui s’ouvre. Je ne sais pas quoi faire, j’arrête de sucer mais, alcool aidant, je ne réagis pas plus. Je reste donc agenouillé, nu, devant Sébastien, sans bouger.   C’est Olivier, seul, qui entre dans le salon. Il marque un temps d’arrêt et écarquille les yeux. Je crois que sa mâchoire a failli toucher le sol tant il a été surpris. 

  "Mais comment tu as fait ?" 

  La question est adressée à Sébastien, qui ne tarde pas à lui répondre : 

  "On a juste discutés, puis ça a dérapé...  - Waouh ! Euh, désolé, je vous laisse tranquille!" 

  Je réagis enfin, gêné :   "Mais non, reste, je vais m’en aller... Désolé..." 

  Je vois Olivier ouvrir la bouche, mais c’est Sébastien qui prend la parole en premier :   "Hors de question, tu as bu, et puis je t’ai promis une place ici cette nuit !" 

  C’est vrai qu’il serait risqué de rentrer maintenant au vu de mon état... Intimidé, J’acquiesce et attrape mon boxer pour me rhabiller.   Une main interromp mon geste, je lève la tête, c’est Olivier :   "Mais non, sois pas gêné parce que je suis là, je vais pas vous déranger plus longtemps ne t’inquiète pas.  -Mais non, reste... Enfin, je veux dire..." 

  Les mots ne me viennent pas, il est clair que je n’ai pas envie de m’arrêter maintenant, mais en même temps c’est très gênant... En baissant la tête je croise l’entrejambe d’Olivier, Waouh ! Il y a une bosse énorme ! Au moins aussi grosse que celle de Séb tout à l’heure !   Je reste bloqué, et je ne remarque pas que les deux hommes m’observent attentivement en silence. C’est la main d’Olivier qui me ramène a la réalité, il a posé sa main derrière ma tête, comme son compagnon l’avait déjà fait avec moi plus tôt dans la soirée... Et il me tire vers lui de la même manière aussi, guidant mon visage jusqu’à qu’il vienne s’écraser contre le pantalon au niveau de l’entrejambe. 

  Je sent sa queue, grosse et dure, au travers du jean. Je hûme l’odeur qui s’en dégage et je reconnais l’odeur du sexe, pas des attributs, non, l’odeur de l’acte sexuel. Cette odeur qui signifie qu’il viens d’avoir un rapport.   Je mordille sa pine au travers du tissus, de haut en bas, de bas en haut... Je la sent grossir encore. 

  Sébastien est venu nous rejoindre, je l’ai vu du coin de l’œil achever de se déshabiller et venir. Je sent aussi sa queue, imposante, a côté de ma tête. Mais c’est Olivier qui veux profiter de l’occasion : en me tenant fermement par les cheveux, il me tire la tête en arrière, et de son autre main, il descend son pantalon, me présentant son engin.   Il a une très belle queue, pas aussi longue que celle de son copain, mais sensiblement aussi large.   Me tenant toujours fermement les cheveux, il en profite pour diriger ma tête sur son dard, me me glissant dans la bouche, doucement mais en un seul geste, puis il me lâche. Au bruit je comprends que Séb est en train de le déshabiller, moi j’entame ma pipe. Je salive beaucoup, ce qui lubrifie énormément. Sébastien en profite pour pousser ma tête sur la queue d’Olivier jusqu’à que je l’avale entièrement. Ce dernier semble surpris et Séb en profite pour me tirer à lui, me fourrant la bouche sans ménagement. 

  On dirais qu’avec la venue de son homme, il a repris du poil de la bête. Il est redevenu dominant, tel que je l’ai vu un peu plus tôt. Les mains tenant fermement ma tête, il impose à nouveau son rythme, et au bout de quelques mouvements, glisse à nouveau danson oeusophage.   La queue plantée au fond de ma gorge, mon visage aplati contre son bas-ventre, il marque un temps d’arrêt, puis d’un coup, tire ma tête vers l’arrière.   J’ai de la bave qui coule sur le menton, beaucoup. Olivier viens se positionner à côté de Séb. Lui aussi s’est entièrement déshabillé.   Sébastien emmène ma tête directement sur la verge de son compagnon, me la  plantant dans la gorge, puis faisant de même avec la sienne, puis de nouveau celle d’Olivier et ainsi de suite... 

  Je me fait baiser la bouche quelques instants ainsi, gouverné par Sébastien qui me fait aller d’une queue à l’autre, restant des fois sur l’une ou l’autre, mais toujours avec des mouvements précis et efficaces, ne me laissant que très peu de repos. Donc dès qu’il me lâche je respire à fond et repose ma mâchoire.   Je prend les deux mains qu’on me tend, une chacun et je les suis, ils m’emmènent à la chambre. 

  Je ne me fait pas prier, et dès que je sent une poussée dans mon dos, je me laisse tomber en avant sur le lit. Ainsi, j’ai la moitié haute du corps sur le lit, et l’autre moitié, en dehors. Je sent toujours la main dans mon dos, mais je sent aussi une pression sur mon anus maintenant.   Ça ne peut être que Sébastien, puisqu’il m’a déjà pénétré tout à l’heure, il sait que je suis encore ouvert. Et d’ailleurs ça se confirme car je sent d’un coup son membre me remplir, ce qui me fait gémir. Dès la première pénétration, il est venu poser son bas-ventre contre mes fesses. Olivier quant à lui, est venu se positionner devant moi, et à étouffé mon gémissement en me fourrant sa pine dans la gueule. 

  Mon enculeur n’y va pas de main morte, il fait claquer ses boules contre mes fesses en me baisant sans vergogne. Celui que je suce par contre est plus doux, ou plutôt plus timide. Il impose son rythme, mais pas totalement. Il ne pousse pas sa queue à fond, et y va doucement...  C’est le jour et la nuit, derrière, on me Défonce, on tape dans le fond, et devant c’est doux, trop doux...   Sébastien a compris ça, et m’attrape la tête à son tour. Ainsi, à chaque fois qu’il fait un mouvement, il pousse en même temps sur ma tête pour me faire gober la queue d’Olivier. Celui-ci comprend vite, et Séb lâche ma tête pour attraper mes hanches, Olivier, lui, me chope par les cheveux, et me baise la bouche fermement. 

  J’émets des bruits, étouffés par l’engin dans ma gorge. Je prend un plaisir fou, chaque centimètre cube de mon anus est rempli, et ma bouche est très occupée... Je sent chaque veine, chaque pulsion de la colonne de chair enfoncée dans mon cul, et je goûte à chaque goutte de liquide séminal de celle qui martyrise ma glotte.   Soudain Séb sors de derrière et viens se positionner devant moi, piquant la place à Olivier, qui ne semble cependant pas mécontent de devoir s’occuper de mes fesses...   La queue qui entre dans ma bouche s’enfonce plus profond que celle qui pénètre mon cul, mais elle me donne autant de plaisir. Elle a le goût de mon cul.  Je sent une queue glisser dans mes intestins, me faisant défaillir à chaque va-et-vient, et l’autre qui semble me découvrir un point g dans la gorge...  Je me fait longuement baiser ainsi, ils changent des fois de poste, mais ne baissent jamais d’intensité. 

  Au bout d’un moment, Olivier, qui entre-temps est revenu profiter de mes lèvres, se contracte, je sent sa queue se raidir, les boules remonter... Il tire mon visage contre son bas-ventre, plantant ainsi sa verge tout au fond de ma gorge, dans l’œsophage.   Je sent un liquide chaud couler jusqu’à mon estomac, par rasade. Il ne lâche pas ma tête, et me force à avaler toute sa semence. Et lorsqu’il me tire la tête en arrière, c’est uniquement pour me gicler un dernier jet en travers du visage.   Pendant ce temps, Sébastien se démène toujours dans mon cul, et, l’excitation que me procure la jouissance d’olivier me fait moi aussi jouir, mon anus se contracte et je lâche de longs jets de foutre sur les draps. Les contractions de mon anus, elles, achèvent Sébastien. Je le sent me mettre de grands coups secs, je sent sa queue se contracter, et de la chaleur emplir mon ventre...

   J’ai la tête dans les étoiles, je ne réalise plus grand chose, et le monde s’assombrit autour de moi... Je m’endors aussitôt... 
Diffuse en direct !
Regarder son live