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Leïla, maman soumise

Chapitre 6

Hétéro
Dans les transports, je sens Leïla remplie de gêne à l’idée de se faire capter sans culotte sous sa jupe si courte et si volante qu’elle pourrait se retrouver cul nu au moindre courant d’air. J’en profite pour la faire s’assoir devant des passagers et je me mets à ses côtés. Je pose ma main sur sa cuisse et la force à entrouvrir ses jambes, malgré sa réticence, je serre son genou et sous la douleur, elle commence à se laisser faire. Après un certain temps, l’homme devant nous remarque mon manège et lève les yeux de son portable. Son regard se bloque sur le haut des cuisses de ma chienne. Je tire un peu plus sur la jambe de Leïla. Elle me tient fortement la main pour que j’arrête, mais je n’y prête pas attention. Je vois le regard de ce quadra briller plus il s’immisce dans l’entrejambe de la belle devant lui. Le métro s’arrête station Blanche, l’homme griffonne quelque chose sur un ticket de métro et en sortant il le jette sur Leïla et lui lançant un « quand tu veux ma salope ! »Le métro repart et Leïla me tend le bout de carton. L’homme a marqué dessus son nom et un numéro de téléphone portable. Je souris, le lui montre et le range dans ma poche de pantalon.
— Il m’a prise pour une pute ou quoi ? (l’air vexé)— Mais pour lui c’est ce que tu es, ma belle ! Une vraie petite salope qui se laisse mater dans les transports.— …
Nous arrivons à notre arrêt. Je lui fais signe et nous sortons. Elle ne me lâche pas le bras de peur d’être accostée par d’autres hommes. Une fois à l’air libre, je lui dis de me tenir la main et de me suivre, ce qu’elle fait sans broncher. Nous arrivons dans un supermarché du sexe. Nous y rentrons, la caissière me reconnait et me lance ses salutations.
— Bonjour, Monsieur K ! Vous allez bien ?— Oui ! Très bien Marion ! Et vous ?— Bien aussi, Monsieur K ! Faites comme chez vous, je suis à votre disposition si vous voulez le moindre conseil !— Merci Marion !
Leïla est subjuguée.
— Vous la connaissez Monsieur ?— Oui, je viens régulièrement ici !— Vous n’avez pas peur qu’elle le dise à votre femme ?— Non, pas le moindre risque, et puis en plus j’y viens avec elle et avec nos maitresses respectives ! D’ailleurs Marion a déjà participé à nos soirées avec Delphine. Sache que tout ce que je te fais, Delphine est ou sera au courant rapidement.— Ha ! Carrément !— Oui ! Tu es ma chose, ma salope, mon vide couille ! Mais tu es aussi le jouet de Delphine si elle veut que je te fasse quelque chose, je te le ferais ! Regarde ce matin !— Vous avez raison Monsieur.
Nous commençons nos achats, je commence à lui faire voir des trucs soft, lingerie ouverte, cache tétons, gel lubrifiant et sextoys. Ensuite, je l’amène dans les rayons plus spécifiques, je lui montre des pinces, quelques godes de diamètres différents, des plugs anaux, … Leïla reste bouche bée et n’ose rien dire à part des « Comme vous voulez Monsieur ! ». Son panier se remplit petit à petit. Dedans se trouve, 2 ensembles de lingeries ouvertes, un gode de taille normale et un en forme de pénis de chien, des petites ventouses que l’on met sur les tétons, un martinet en cuir avec le manche en forme de phallus et un plug anal serti d’un strass rouge. Nous nous dirigeons vers la caisse avec nos emplettes. Leïla est rouge pivoine de honte, elle regarde tout autour d’elle.

— Tu as peur ?— Oui Monsieur !— Peur de quoi ?— De me faire reconnaitre !— Par qui ? Tu es une chienne, tu connais d’autres chiennes qui iraient faire ses courses en pleine journée dans un sexshop ?— … Non, Monsieur, vous avez raison.— J’ai toujours raison, alors avance et vas payer tes achats !
Arrivés à notre tour, Marion, la vendeuse, nous accueille avec un grand sourire.
— Une nouvelle Monsieur K ? Je ne l’avais jamais vue !— Oui, ma petite Marion, elle est en plein dressage.
Nous nous mettons à rire tous les 2. Leïla nous regarde sans broncher.
— Je mets tout dans un sac ?— Non, je vais utiliser le plug tout de suite !
Leïla écarte encore plus les yeux.
— Bien, Monsieur K. Madame est pressée de l’utiliser rapidement ?— Marion, ce n’est pas une dame qui est devant toi, c’est une chienne que je dresse, et non elle ne savait même pas que ça existait avant de le voir dans ton magasin.— Bien, Monsieur K, je vous laisse lui mettre alors !— Non, Marion, je veux que Tu lui mettes après lui avoir lubrifié son petit anus tout serré.
Leïla met ses mains devant sa bouche ouverte comme pour empêcher tout bruit de sortir, Marion à l’œil brillant et me regarde avec un sourire jusqu’aux oreilles. Je pousse le plug resté sur le comptoir vers Marion, elle le déballe et commence à le lécher. J’attrape Leïla par la main et la fais virevolter sur elle-même.
— Mais Monsieur, pas devant tout le monde !— Ta gueule ! Tu ne vois pas qu’ici personne n’en a rien à foutre de toi ! Alors, tourne-toi pour recevoir ton bijou !
Elle se laisse faire, je finis de la tourner, je l’enlace sous mon bras en lui pelotant un sein à travers son pull au passage et de l’autre main, je soulève sa jupe. Marion à pendant ce temps pris un fiolle de lubrifiant en exposition sur la caisse et en verse une noisette sur son index et le dirige vers le sillon de Leïla.
— Vas-y franchement Marion, elle aime avoir mal !— Bien Monsieur K !
Elle pose sa main libre sur le cul de sa future proie et d’un coup sec, elle enfonce son doigt dans le rectum de Leïla. Cette dernière lâche un cri de surprise dans le magasin. Seuls deux ou trois clients se retournent. Après quelques va-et-vient, Marion échange son doigt par le plus qu’elle avait mis entre-temps dans sa bouche pour le réchauffer un peu. Une fois en place, Marion lui claque le cul comme pour la faire redresser, je lâche sa robe et son étreinte. Leïla se redresse en se tenant le fessier et nous regardant tous les 2 encore plus rouge de honte qu’avant. Elle paie ses emplettes, prend son sac, j’embrasse Marion et nous sortons.
— Tu vois personne à broncher à ton sort !— Oui Monsieur, j’ai vu.— Bon rentrons maintenant, j’ai envie que tu me suces !— Oui, monsieur.
Leïla commence à se diriger vers la station de métro.
— Non, on rentre à pied.— Mais Monsieur, je ne sais pas si je vais réussir !— Pourquoi, quand tu marches dans la rue tu chies par terre comme une jument pendant un défilé ?— Non !— Alors, contracte ton sphincter et marche !— Bien Monsieur.
Pendant que nous marchons, aucun mot ne sort de sa bouche à part des réponses brèves quand je lui parle. Arrivés près d’une impasse, je la tire vers moi et nous nous engouffrons dedans. Je la plaque au mur et commence à lui rouler des pelles. Mes mains se baladent sur tout son corps, une main passe sous son pull et lui pince ses tétons déjà en érection, la deuxième remonte sous sa jupe et fond sur sa fente liquide à souhait. Je sens le plus bien ancré dans son fondement, je remonte vers son clitoris et le mal mène un peu, elle geint à mon oreille. Je la pénètre avec 2 doigts, je les ressors et les rentre de nouveau. Je lui fais sucer, je m’écarte un peu et commence à ouvrir mon pantalon.
— À genoux !— …
Je lui claque la cuisse.
— À genoux, j’ai dit !
Elle me regarde un peu paniquée. Elle sait ce qui l’attend, à peine à genoux devant moi que je lui enfourne ma bite dans la bouche. Elle n’a pas le temps de faire quoi que ce soit, elle n’est là que pour me vider. Je me répands dans sa bouche mais aussi sur son menton et son cou. Une fois fini, j’étale ma semence sur son cou et la relève.
— Viens, on prend le métro j’ai trop envie de te baiser !
Je lui attrape la main et la tire jusqu’à la bouche de métro la plus proche. Le métro est bondé, j’en profite pour me serrer à elle et passer ma main sous sa jupe. Elle sursaute et cherche mon regard. Quand elle le trouve, elle comprend que si elle parle, c’est elle qui passera pour une moins que rien auprès des autres usagers. Donc elle se laisse faire. J’en profite pour lui mettre quelques doigts, elle ne bronche pas. Je passe au niveau supérieur, j’attrape son plug et le retire de son cul, elle se mord les lèvres pour ne pas crier. À peine remis, je le réintroduis d’un coup sec, elle s’agrippe à la barre en acier devant elle. Maintenant je le tourne en elle, elle colle sa tête sur la barre et de sa main libre essaie de me faire lâcher prise.
Nous arrivons à destination, elle me suis de près, nous montons les escaliers et sortons à l’air libre. Toujours dans mes traces, elle me suit sans broncher. On arrive devant son immeuble, elle a du mal à sortir ses clés, je lui arrache des mains et ouvre la porte du hall. Elle se dirige vers l’ascenseur, je lui tire le bras et lui fais voir l’accès de la cave. Elle me suit sans broncher, à peine quelques marches de descendues que je la stoppe et la fais mettre à 4 pattes dans les escaliers. Je me mets derrière elle, retire son plug et lui enfourne dans la bouche.
— Tète ça, salope !
Elle obéit, je relève sa jupe et plonge mon visage dans son sillon de luxure. Ma langue passe de sa chatte a son œillet, je pénètre ce dernier avec la pointe de ma langue, mes doigts ont investi sa chatte et la malmène avec vigueur. Leïla n’en peut plus, elle feule de plaisir sans retenue, elle se laisse aller à mes assauts et pose même sa tête sur le lino de l’escalier pour apprécier encore plus la joute. Je me redresse et sors ma bite qui me fait mal tellement elle est dure. Je frotte mon gland sur son sillon pour l’humidifier et je le présente au niveau de son petit cul. J’agrippe ses 2 globes fessiers et d’un coup, j’entre dans son fondement le plus intime. Elle lâche un cri étouffé par le plug encore dans sa bouche. Je lui lime le cul sans vergogne, pour me répandre en elle rapidement. Je sors d’elle et essuie ma colonne de chair sur son cul encore tendu, me rhabille et tout en lui claquant légèrement le fessier en remontant vers la porte je lui lance :
— Va prendre une douche et repose-toi ! Tu l’as bien mérité salope ! Maintenant, je ne te reverrais qu’après avoir vu ton gynéco, j’attends ton message !
Elle ne me répond pas, je la laisse sans me retourner dans cette position obscène dans les escaliers de sa cave.
Vivement son appel.
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