Après trente minutes de voiture, on arrive devant une immense bâtisse de style provençal. Immense avec trois portes de garage attenantes à une maison immense. Etant dans deux voitures, Salam se gare devant un des garages et nous fait signe de stationner un peu plus loin. Isa et moi, nous descendons. On rejoint la magnifique noire, qui de tout blanc vêtue, nous sourit et nous invite à renter. Tout y est décoré à l’Africaine. Des masques en ébène, des lances, des boucliers et des statues en bois.
— Euh, cela ne vient pas du Tchad mais de Tanzanie. Ma tante y habite... Mignon non ???
On lui répond par un large sourire. Elle se déshabille et se met nue. On l’imite. Elle nous propose d’aller prendre une douche. On la suit et elle ouvre une porte sur une immense salle d’eau, tout de marbre revêtue. Sur le mur du fond, Une immense douche à l’italienne, sur le mur de droite, deux grandes vasques. L’éclairage est variable, de cette façon elle tamise l’éclairage. On prend notre douche. Dur de ne pas être tenté de toucher ces deux corps de femmes. Mais je résiste. Je suis vanné mais je bande encore. Salam est obnubilée par ma bite qui retrouve, petit à petit, une érection totale.
— Bouh, il fait chaud ici !!! Nous dit Salam.
— Oui, j’ai d’un coup des bouffées de chaleur... lui répond Isa.
Ayant compris le message, je m’essuie et me sauve sur la terrasse. Je m’arrête hébété par la beauté de l’arrière de la villa. On se croirait au paradis.
Une immense piscine en forme d’haricot. Bordée d’immenses palmiers, elle est irréelle. Au sol du gazon et des oiseaux de paradis, magnifique. On se croirait dans un pays exotique. Isa a le même reflex. Elle stoppe, bouche bée. Salam arrive et nous pousse dehors.
— Salam, c’est magnifique !!!
— Oui, je sais... Merci Nat... Elle a la main verte. Me répond-elle en explosant de rire.
Elle nous invite a prendre un bain avant d’aller se coucher, ce que l’on accepte. Plus question de sexe on est vanné.Bip-bip-bip-bip. Je regarde mon portable... 10h00. Les filles ne sont plus là. J’émerge. Je suis allongé dans un lit que je ne connais pas. J’essaie de me lever. Dure de se faire souffrance pour se sortir de ce lit. Je me dirige à l’odeur de café. Arrivé à la cuisine, j’y trouve Isa et Salam en train de déjeuner.
— Bonjour amour. Me dit Isa.
— Bonjour mon bel étalon. Poursuit Salam.
— Salut... les filles.
Pourquoi j’ai l’impression d’avoir louper un épisode. +Elles m’expliquent qu’après notre bain, je m’étais endormi sur un transat. Après avoir joué entre elles, elles m’ont ramené dans la chambre, et là c’est terminée notre soirée. Je me sens mal de n’avoir pas assuré jusqu’au bout. Isa invite Salam chez moi, enfin, chez nous.
— Non Isa, J’aimerai récupérer. N’oublie pas que vendredi, on récupère Lili.
C’est un peu déçu qu’elle quitte Salam. De retour à la maison on vaque chacun à nos occupations. Moi à la cuisine, elle au peu de ménage qu’il y a faire. La semaine se passe tranquille. Enfin, si je puis dire... un coup de queue par ci, une pipe par là. Arrive vendredi matin.
— J’ai eu un appelle de Vanessa ce matin. Lui dis-je. Elle nous attend pour midi. Je lui ai expliqué notre rencontre avec Salam. Elle m’a demandé de venir avec elle. Tu l’appelles ?
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase, qu’elle est au téléphone. Après avoir raccroché, elle me dit qu’elle sera là vers 11h00. Elle est toute excitée à retrouver SA Lili et de voir comment Vanessa l’a transformé. On se prépare, bois bandé pour moi ainsi que l’épilation intégrale à la crème, idem pour Isa. Vu que l’on s’est levé à 9h00, 11h00 arrive vite. On sonne et Isa s’empresse pour ouvrir. Elle se jette dans les bras de Salam.
— Oh, doucement... Puis-je rentrer ?
— Hihihi, oui...
J’accueille Salam par un petit smack et lui indique le chemin de la terrasse. Elle est resplendissante dans sa petite robe-fuseau jaune. Isa, qui nous a précédés, nous attend avec trois bières fraîches. Salam, sans aucune pudeur, ôte sa robe. Elle nous montre son sexe glabre. Rasé de frais ou épilé ?
— Voilà, je me suis mise au goût du jour.
Salam nous explique qu’elle n’avait jamais osé l’épilation intégrale mais en voyant tout le monde épilé à la sauterie de sa marraine, elle s’est dit pourquoi pas. Il est vrai que cela lui fait un sexe magnifique. Ces lèvres noires encadrent parfaitement son petit clitoris rose. Elle nous dit qu’elle a un peu peur de rencontrer Vanessa. Je lui explique qu’elle est cool, sans prise de tête. Isa trépigne d’impatience.
— OK, on y va, lui dis-je... Tu m’énerves. Va t’habiller !
Je téléphone à Vanessa pour la prévenir de notre arrivée. Elle nous dit que le portail sera ouvert et que je devrais enlever le scotch de l’œilleton et il se refermera. On part donc en direction de la villa de Jean. Isa et Salam me précédent. Elles se tiennent par les hanches. Drôle de tableau. Une petite boulotte blanche au côté d’une grande black. On arrive très vite. Je retire le sparadrap et le portail se ferme dans un bruit de tôle et de roulement. Pas très discret. Je me présente à la porte d’entrée qui est ouverte.
— Ouh, ouh, on est là.
— Oui, entrez, je suis à la salle de bain. Mettez-vous à l’aise et attendez-moi sur la terrasse. Hervé, tu seras mignon si tu prends une bouteille de champ dans le frigo et fais le service. J’arrive.
— Vous êtes des habitués des lieux ? Me demande Salam.
Je lui explique notre relation très particulière entre Jean, Éva et de leur « fille » Vanessa. On s’installe autour de la table de jardin de la terrasse. Cinq verres y sont posés. Je les remplis. Vanessa apparaît. Elle est vêtu d’un grand sari.
— Bonjour mes cœurs !!!
Elles nous embrassent, Isa et moi et se bloque devant la beauté noire. Elle la dévisage. Elle rougit. Je lui présente Salam. Elle reste bouche bée.
— Hé, Vanessa, tu es avec nous ou quoi ?
— Euh, oui, oui. Tu m’avais parlé d’une beauté mais là c’est un diamant que j’ai en face de moi !!!
Salam ne sait plus où se mettre. Elle aussi est sous le charme de la grande blonde. Vanessa s’approche et va lui déposer un petit smac du bout des lèvres. Subjuguée par ce premier contact, Vanessa reste proche du visage de Salam. Elles se dévorent des yeux. Puis Vanessa pose sa main sur la nuque de Salam et l’embrasse à pleine bouche.
— Bon, bin, je crois que les présentations sont faites... Dit Isa. Et tu peux enlever ton pagne, Hervé lui a expliqué.
Elles ont toutes les deux les yeux fermés. Vanessa laisse tomber son bout de tissus au sol. Elle se recule. Salam peut admirer Vanessa dans toute sa splendeur, son rostre à moitié bandé. Vanessa s’assied à coté de Salam. Je tends les verres aux trois « femmes ». Salam ne peut quitter Vanessa, elle est subjuguée par la prestance de sa voisine. Isa me regarde en rigolant et me fait un clin d’œil. Effectivement, il se passe quelque chose entre ces deux créatures de rêve, Vanessa regardant Salam avec envie.
— Où est Lili ? Demande Isa.
— Oui, euh, je vais vous la présentée. Lili, chérie tu peux venir. Dit-elle.
Mon épouse sort de la maison. Moi et Isa poussons un « OH » d’étonnement. Elle est métamorphosée. Coupe de cheveux à la Cléopâtre, une coupe carrée et teintée d’un noir aux reflets bleuté. Maquillage discret, sauf pour les lèvres qui sont recouvertes d’un gloss noir. Autour du coup, un petit collier que je devine être du cuir. Ravissant. Ses seins sont percés par deux anneaux en or, reliés entre eux par une fine chaîne du même métal. Ses ongles sont couverts d’un vernis noir également. Elle porte de fin bracelet en cuir noir. Son sexe est, bien évidemment, rasé et on peut voir cinq grands anneaux. Un sur le fourreau de son clitoris et les deux autres sur ses petites lèvres et grandes lèvres. A ses chevilles, des bracelets, les même qu’aux poignets. Son bronzage est parfait.
— Avance vers ton mari. Lui demande Vanessa.Elle se met à côté de moi. Elle a une odeur envoûtante. Un parfum suave, animal, presque bestiale. Elle s’assied et écarte les cuisses, offrant à la vue de tous sa vulve humide.
— Voilà, Hervé, ta chère Lili. Je n’ai presque rien eu à lui apprendre mais juste lui faire redécouvrir la joie d’être une bonne salope. Je l’ai juste un peu customisé. Alors qu’en dis-tu ?
— Piu... Je reste sans mot.
— Elle est splendide. Rajoute Isa.
— Si tu veux tu peux aller t’isoler dans mon cabanon et faire connaissance avec ta nouvelle femme. Nous on va apprendre à mieux se connaitre. Dit Vanessa en regardant Salam.
— Et moi ? Je me les roule ? Interroge Isa en faisant sa moue.
— Tu peux accompagner ton chéri pour découvrir les nouveaux talents de ta chérie.
On part tous les trois, laissant Vanessa et Salam en tête à tête qui, me semble-t-il, va être torride.
